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Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence
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N. Zeppelin Redeccini


And what else ?

Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence Tumblr_lophe4aERc1qc4g8vo5_r1_250

✔ AGE : 19 ans
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 30 mars 1992
✔ CUPIDON : Libre comme l'air mais très amoureuse ...
✔ MON BOULOT : Fille à papa !
✔ MON HUMEUR : fétarde
✔ PORTE(S) BONHEUR : - Le chiffre 6 ! C'est mon porte bonheur.
- Frutti la peluche de mon frère !
- La gourmette de mon autre frère.
✔ MES SURNOMS : Led, Zep, Nirvi, Rinà, et j'en passe !
✔ MA CITATION : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence...
© CRÉDITS : Baylee
★ AVATAR : Kristen Stewart
✔ SEXE : Féminin
✔ MESSAGES : 110
✔ DOUBLE COMPTE : Nop
✔ INSCRIPTION : 21/07/2011
✔ NAISSANCE : 31/10/1989

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My life
Salaire: 5 000 Dollars par client.
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MessageSujet: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 7:50
feat : Kristen Stewart
NAISSANCE : 30.03.1992 (à Trapani Sicile mon ami ! )
EMPLOI : Bloup, faut pas le dire je prends des cours par correspondance pour mon diplôme... Mais sinon je ne bosse pas dans les casinos.... non pas besoin ... Je suis simple escort Girl...
LOISIRS : chauffer les hommes J'adore les voir tout excités et se dire qu'ils vont pouvoir m'avoir dans leur lit... Mais je suis tellement plus maline ! Je pars bien avant ... J'écarte pas les cuisses si facilement ... n'abusons pas ! J'aime terriblement jouer au poker, arnaquer les gens ! Je suis putain de bonne au bluff c'est violent t'a pas idée.. Tu devrais avoir peur de moi ! J'aime jouer à la roulette, j'ai une chance de fou ! Pour pas dire Chatte *c'était trop tentant '-' * J'aime fumer des tonnes de clopes par jours ! Me faire un putain de rail de coke et le sniffer jusqu'à saigner du nez ! J'aime m'injecter ma dose d'héroine. J'aime danse boire a en crever et a faire des coma éthyliques ! J'aime aussi le chauffer, le draguer et le rendre totalement chèvres pour le tuer au lit... ça c'est mes loisirs... Ouais j'aime ça que veux tu... Quand je suis une petite fille sage... Oui ça m'arrive... J'étudie et je fais mes devoirs ... (a)

COMPTE EN BANQUE : Papa il est riche ! Papa il me donne sa gold ! Papa il me donne de la coke et des sous ! Papa il vaut des millions ! Papa c'est... papa ! Il pourrait tuer pour moi et je pourrais tuer pour lui ! Il cède à tous mes caprices ! C'est papa quoi ! Mais quand je ne demande pas d'argent à mon papa chéri d'amour que j'aime à la folie, je dépense l'argent que je gagne avec mon boulot... Parfois je touche le pactol quand je taff pour des stars connues... Il m'est arrivée une fois de toucher cent milles dollars pour trois jours avec... Tu veux savoir ? Ben tu ne sauras pas (:

CARACTÈRE : Je suis une chieuse de première, on vient pas me faire chier sans que je ne cris ! Je suis d'un orgueil sans fin... Lunatique comme t'a jamais vu... Bipolaire par moment ! Je suis narcissique, j'aime terriblement me regarder et m'arranger mais ce n'est que fossette et tromperie ! Vulgaire à souhait, pète plus haut que son cul, Caractérielle, Possessive, jalouse, vaniteuse, un brin salope, Egoiste, hypocrite avec les gens que je déteste, mais je sais être douce, gentille, à l'écoute, sincère, franche, et attentionnée... je suis un grande gueule et veut toujours avoir le dernier mot... Mais je te jure à côté de tout ça je suis un ange... Je peux surprendre je sais...

J'AIME : Les tomates mozzelle ! Les pates bolo, carbo, les pizza, les plat Italien et Sicilien ! Le soleil, la drogue, la clope, le cul, la télévision, la musique, mon papa, lui et encore lui. Les casinos, les boites de nuit, le champagne a six milles dollars et pas moins ! J'aime aussi quand y'a de l'or dedans ! J'aime faire les soins aux feuilles d'or, ça me donne un teint de fou ! Je suis riche j'en profite et alors ? J'aime enduire mon corps de crème pour hydrater ma peau et m'en occuper ! J'aime poser des morceaux de concombre sur mes yeux pour dormir avec un bon masque sur la gueule ! J'aime bouffer des avocats en pagaille ! J'aime boire l'alcool à la bouteille, j'aime tirer longuement sur ma clope au point de la fumer en deux taff. J'aime la musique, peindre et sentir l'odeur de la peinture, j'adore faire des photos en pagaille, j'aime dessiner des BD et écrire des petites cantine, j'aime tenir mon journal intime et y écrire tout ce qui me passe par la tête, j'aime danse, chanter, m'amuser, j'aime être parfois une simple fille... J'aime me balader en string soutif dans ma demeure, j'aime dormir nue. J'aime me rouler un bon joint et le fumer sur le toit de ma villa en regardant les étoiles. J'aime crier et hurler a coeur joie dans les rues de Las Vegas ! J'aime les pipes, les cunis, l'amazone, le missionnaire, la levrette, le shit, l'exta, la vodka, le whisky, le chocolat, le pain, la chantilly, le café, les films historiques, Le roller, la gym, lui et encore lui, faire l'amour avec lui.

JE DÉTESTE : Les flics, les gens qui bossent légalement... Les mafieux russes ! Les putes, les capotes, la drogue pourrie et coupé. Je déteste les filles qui cherchent à coucher avec mon père, elles restent pas longtemps avec lui vous pouvez me croire ! Je déteste les déjeuners simple... genre céréales.... BERK ! Je déteste l'impolitesse, je déteste les racailles, les gens incultes, les blondes écervelés, les débiles mentaux, pas mal d'Américain...

TICS/HABITUDES : J'adore claquer ma langue contre mon palet, craquer mes doigts, passer mes mains dans mes cheveux. J'aime crier sur mon chien, tuer mes poissons rouge en foutant de l'acide dans le bocal et en racheter d'autre pour les tuer à nouveau... Oui j'ai des habitudes un peu bizarre mais putain que je kiff ça ! J'aime terriblement bouffer comme quatre, bouffer gras, me foutre des tonnes de paquets de gâteau et vomir par la suite... Oui... J'ai des tendances boulimiques... J'assume je suis surement malade... Je suis une réelle fana du chiffre six... Ne cherchez pas a comprendre moi même je n'en sais rien, c'est mon chiffre fétiche ! Je dois toujours voir l'heure qui se finit avec un chiffre PAIR ! Mon réveil est branché sur un chiffre finissant par deux, quatre, six ou huit ! Pas les chiffres impaires ! BERK ! Quand je monte le son pareil, ça doit finir par un chiffre pair... Je suis compliquée ? Mais je vous emmerdes! Je fais ce que bon me semble !

ANECDOTES :

Rah les anecdotes... Que dire, que dire... Je suis une grosse allumeuse de première... le genre chaudasse à souhait tu vois ? Et un jour en boite de nuit, un mec ma rejoint sur le dance floor... Je n'ai rien dis, nous avons danser comme jamais nous n'avions dansés puis je l'ai embarqué dans ma voiture sur la plage arrière. Assise sur lui je l'ai chauffé en le touchant bougeant bien le bassin, je le rendais totalement fou de moi... J'aimais le voir perdre le contrôle... Puis je l'ai déshabillé, totalement je l'ai rapidement caressé, avant d'ouvrir la portière rapidement et de le pousser hors de la voiture m'enfermant a clé dedans pour partir avec ces fringues ! Oui je suis une salope ! Oui je m'assume !

Une autre ? Bon ... Mon père... Ramène parfois des petites minette à la maison de mon âge, chose que je ne supporte pas... Un jour je l'ai trouvé nu dans la cuisine fouillant le frigo.... Très drôle... J'ai pas pu m'empêcher de la tabasser... Au point de la foutre dans le coma... Rien de bien méchant je le promet (a)




AGE : 21 piges mon ami ! mais bientôt 22 '-'
AUTRES : Je veux un cappuccino avec un carré de chocolat s'il vous plait ! AH OUI ! Ne touchez pas vraiment PAS Jared Leto ! Ou je bute (a)
QUESTIONS : Nothing.
GROUPE :Les clients et les habitants de Las Vegas
PARRAIN : Nop je vais harceler Pandichou sur msn Very Happy
STATUT DE FICHE : UC
MOT DE PASSE : Pearl, le tampax


Dernière édition par N. Zeppelin Redeccini le Mar 26 Juil - 13:36, édité 12 fois
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N. Zeppelin Redeccini


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- Frutti la peluche de mon frère !
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 7:50


Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence Tumblr_ln9p7hCGmQ1qjyzzgo1_500

La vie est magnifique, la vie doit être simple, magique et on doit profiter au maximum de la vie. Oui on se doit de la croquer à pleine dent de faire de notre vie un réel comte de fée à notre manière, on se doit de mener la vie que l’on veut avoir car elle est courte. La mienne n’est pas forcément la meilleure, elle n’est ni la pire, elle est ce qu’elle est et je l’aime. J’aurais surement aimé avoir d’autre choix, faire d’autre chose mais dans le fond, j’aime ce que je suis devenue et ce que je suis ! La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Il y a des hauts et des bas, plus de bas que de hauts, ma vie est un échec un réel échec, je ne fais jamais ce qui est bon, je fais toujours les mauvais choix, mais je suis habituée… Oui je vis ainsi je n’y peux rien… Il parait que nous autres les siciliens nous sommes barges, tarés et surtout terriblement têtues et bornées… C’est ainsi… je m’assume, j’assume ma vie ce que je fais et je ne regrette rien… La vie est ce qu’elle est. Parfois on est heureux, l’instant d’après on est triste c’est comme ça on n’a pas forcément tout ce que l’on veut dans la vie. Pleurer fait du bien, rire fait du bien, nous somme sadique avec nous même. Nous aimons maltraiter notre corps pour aller de l’avant ! Nous avons besoin de malheurs pour être heureux c’est irrémédiable, tout le monde le sait. Même si parfois j’ai beaucoup de malheurs on ne peut pas dire que je sois si malheureuse… J’ai une vie qui me convient, de l’argent, de la puissance… Non, ma vie est ce qu’elle est ! Et dieu que je l’aime ! Je ne suis peut être pas vieille, je n’ai peut être que dix neuf ans depuis peu mais j’ai vécu et je sais ce que c’est que d’avoir à faire a des malfrats et j’en passe… La mort ne me fait pas peur, elle ne m’a jamais fait peur à la vérité, pourquoi elle me ferait peur d’ailleurs ? Je me le demande bien… Alala… Zep… Il faut que tu cesses de penser de la sorte… Ma vie, personne ne l’envie, et je m’en fous car à mes yeux, ma vie est tout simplement parfaite.


Le silence dans la salle se fit entendre, comme tous les jours à vrai dire. Un silence de plomb pendant que le contrôle s’opère. La professeure n’aimait pas les cancres, non elle aimait que les élèves puissent bucher et ramener des bonnes notes. C’est pourquoi elle faisait pratiquement tous les jours des petits contrôles surprises. Parfois c’était sur du français, parfois des mathématiques… Personne ne savait et par conséquent tout le monde buchait ces cours. Esméralda était assise au dernier rang et écrivain tranquillement sur sa copie, la langue entre ses lèvres, totalement concentré comme jamais. Sa chevelure brune au reflet roux lui tombant sur les épaules, elle était magnifique, ses yeux d’un vert intense rivés sur sa copie, elle se mit alors a réfléchir quand elle reçu un papier replié en forme de petite boulette sur sa table. Haussant un sourcil, elle croisa alors le regard de Gino, un regard noisette très intense. Il était rare de voir des italiens aux yeux chocolat mais ça faisait là toute la différence et elle le savait parfaitement. Ouvrant le bout de papier de son ami elle se mit alors a lire le contenu. Faut que tu m’aides… La réponse de la question cinq, sept, et quinze s’il te plait ma puce… Relevant le regard vers lui, elle lui fit un franc sourire avant de se mettre a écrire sur le bout de papier les réponses alors pour Gino. Ils vivaient une histoire d’amour des plus parfaite depuis… Longtemps à vrai dire. Ils se connaissaient depuis l’enfance et avait toujours été dans la même classe, il était rare de voir Esméralda sans Gino. C’était un petit couple discret qui vivait leur vie… Mais depuis peu on savait tous que Gino trempait dans des affaires plus ou moins illégales avec la mafia du coin… La mafia sicilienne n’était pas franchement des meilleures, elle était redoutable et pouvait se montrer pire que la mafia italienne, russe, ou bien même corse… Lorsque l’on fait parti de la mafia c’est à vie… Et on engage toute la famille… Lui lançant la boulette de papier discrètement sans que la professeure ne le voit il lui murmura un doux je t’aime de loin se mettant alors à noter les réponses. Esméralda le contempla un long moment. Elle savait qu’il avait intégré depuis peu la mafia sicilienne et bizarrement ça ne lui faisait rien, elle n’avait pas peur … Elle faisait entièrement confiance en son petit amie et elle se sentait protégé. Rien ne pouvait lui arriver, non absolument rien ! Finissant le contrôle, elle se leva rapidement pour déposer alors sa copie sur le bureau du professeur avant de prendre ses affaires et quitter alors la pièce. Attendant dehors pendant quelques instants elle vit alors Gino sortir de la pièce. Souriant elle se jeta sur lui pour l’embrasser tout en douceur, celui-ci posant ses mains sur ses hanches en la regardant avec amour. « Merci pour les réponses ma puce. « « Tu sais que j’aime t’aider ! Si tu avais buché hier soir tu n’aurais pas eu besoin de moi… » Il savait qu’elle n’avait pas tord, elle n’avait jamais tord… Partant du lycée main dans la main, ils partirent alors vers chez lui ayant du temps devant eux avant qu’elle n’ait à rentrer chez elle pour son couvre feu. Entrant dans la maison, la trouvant vide, ils partirent alors vers la chambre de celui-ci fermant derrière eux. Perdant doucement le contrôle, Gino la prit dans ses bras pour l’embrasser et la câliner avec force et envie tout en la poussant vers le lit son souffle s’accélérant avec force « J’ai … Très envie de toi… Je me fiche de ton âge, du mien, je t’épouserai et je te ferais les plus beaux enfants qu’il puisse y avoir… » Gémissant fortement elle le laissa faire tombant alors sur le lit, celui-ci se plaçant entre ses cuisses avec une rapidité hors norme bougeant le bassin, tout en la déshabillant. « Promet moi de ne jamais me quitter Gino… » « Je te le promet bébé » « alors fais moi un enfant, la tout de suite… Je t’aime, on s’en fout de nos parents… » Sans répondre, obéissant comme jamais, il finit de la déshabiller avec lenteur avant de se déshabiller lui-même. Gino et Esméralda, un couple totalement pur, totalement saint… Découvrant alors le plaisir de la vie ensemble, un plaisir charnel des plus intense et fabuleux. Se caressant, se murmurant des mots doux, des je t’aime en pagaille, l’amour coulait à flot pour cette première fois… Et elle était d’autant plus excitante qu’ils voulaient concevoir un enfant pour leur première fois. Allant doucement, très doucement, Gino s’occupait de sa petite amie, lui faisant l’amour, la faisant gémir de plaisir, il aimait terriblement l’entendre gémir et la voir se arquer sous ses coups de reins. Vivant dans leur bulle à eux, leur petit monde, la relation dura peu de temps, pour une première fois, chose normal. Une fois finie, la jeune fille repartie chez elle pour ne pas être en retard, heureuse comme jamais, le sourire aux lèvres, elle se sentit libre, oui libre de tout, libre et de ne plus appartenir à ses parents… elle vivait entièrement pour la première fois de sa vie… Et toute la soirée, oui toute la soirée, elle la passa a se caresser le ventre, le toucher et voir le moindre changement, excitée à l’idée de devenir mère très bientôt… Même si elle n’avait que seize ans encore… Elle était prête a endurer la sentence de ses parents, d’être viré du cocon familiale pour avoir donné sa virginité avant le mariage eux de très catholique pratiquant… Pour Gino elle ferait tout, car l’amour n’a pas réellement de prix…

« Mes bien-aimés, vous voici réunis devant Dieu et cette assemblée, afin d'unir cet homme et cette femme dans les liens bénis du mariage, état très honorable, institué par Dieu lui-même avant que l'homme ne succombe au péché, et symbolisant pour nous l'union mystique qui joint le Christ à son Eglise. Cette institution fut sanctifiée et bénie par la présence même du Christ, et par le premier miracle qu'il accomplit à Cana, en Galilée; elle est recommandée dans les Ecritures, comme honorable entre tous les hommes. C'est pourquoi il y a lieu de ne pas contracter un tel engagement, ni même de l'envisager, avec légèreté, imprudence ou par coup de tête, mais plutôt avec respect, discrétion, sobriété, et dans la crainte de Dieu, avec la pleine conscience des fins pour lesquelles le mariage a été institué. Le Mariage a été institué pour la sanctification de l'union entre l'homme et la femme, pour la procréation des enfants qui seront élevés dans la crainte et le respect du Seigneur, et pour l'affection, l'assistance et le réconfort mutuel des conjoints, dans la prospérité comme dans le malheur. C'est le sacrement par lequel les deux personnes ici présentes désirent être unies. Donc, si l'un d'entre vous connaît une raison valable qui s'oppose à leur union légitime, qu'il parle maintenant, ou qu'il se taise à jamais. » Le silence se fit dans la salle. Tous aux aguets de vois si quelqu’un allait se prononcer. Mais rien. Personne. Le soulagement se fit d’ailleurs ressentir. « Gino Veux-tu prendre cette femme pour épouse légitime, et vivre avec elle selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, la consoleras-tu, l'honoreras-tu, dans la maladie, comme dans la santé, et renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?» Un regard échangé, un sourire, deux sourires, des larmes aux yeux, la joie envahissait la salle… « Oui, je le veux. » « Esméralda consens-tu à prendre cet homme pour époux légitime, à vivre avec lui selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, le consoleras-tu, l'honoreras-tu, le garderas-tu, dans la maladie comme dans la santé, et, renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?» un sourire, des larmes, toujours, un moment de pur bonheur se produisit dans cette église. « Oui je le veux. » souriant en coin en se mettant face a face, un témoin apporta alors les alliances. Gino prenant la main gauche de sa fiancée il pointa la bague devant son annulaire sans la quitter du regard. « Moi, Gino. déclare te prendre, toi Esméralda pour épouse légitime, à partir de ce jour, pour le meilleur et pour le pire, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer et te chérir jusqu'à ce que la mort nous sépare, selon le décret de Dieu, et je t'en donne ici ma foi. » Passant la bague a son doigt, la jeune fille cru mourir sur place, son cœur ayant un raté. Dans quelques instants elle allait être mariée, elle allait être une épouse et une femme on ne peut plus enceinte de six mois…Prenant la bague a son tour ainsi que sa main elle le regarda droit dans les yeux sentant le moment fatidique arriver a grand pas. « Moi, Esméralda, déclare te prendre, toi Gino pour époux légitime, à partir de ce jour, pour le meilleur et pour le pire, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer et te chérir jusqu'à ce que la mort nous sépare, selon le décret de Dieu, et je t'en donne ici ma foi. » Passant la bague a son doigt elle le regarda longuement les larmes coulant sur ses joues en silence. « UISQUE N. et N. ont consenti d'un commun accord à la vie conjugale, et en ont témoigné devant Dieu et devant cette assemblée, donnant et engageant ainsi leur foi l'un à l'autre; ce qu'ils ont confirmé par le don et l'acceptation de l'anneau, et par l'union de leurs mains, je les déclare époux et épouse, vous pouvez embrasser la mariée, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen. » Se contemplant un long moment, se rapprochant alors en se tenant fermement les mains, Gino s’approcha de sa dulcinée tout en posant une main sur sa joue la lui caressant avant de poser son autre main sur son ventre arrondis de femme enceinte. S’approchant encore plus d’elle, il se pencha alors pour déposer un tendre et doux baiser sur ses lèvres. Baiser simple, chaste qui se prolongea alors lorsque celle-ci entrouvrit les lèvres laissant échapper un bref gémissement de plaisir. Passant sa langue dans sa bouche, le baiser s’intensifia quelque peu avant de se rompre, plusieurs baisers se firent avant qu’ils ne se détachent… Des applaudissements se firent alors entendre, des cris de joies, des cloches sonnèrent, un couple venait de se marier, un couple venait de s’unir… Malgré l’absence de la famille d’Esméralda, le mariage fut une réussite sans faille. Un mariage simple, heureux, un mariage remplit d’amour et de joie. Gino venait de faire Esméralda sa femme et il était persuadé, oui persuadé qu’elle le resterait toute sa vie…

Gino et Esméralda s’aimaient, oui, ils n’avaient que seize ans mais ils s’aimaient éperdument et savaient qu’ils finiraient leurs jours ensemble. C’était ça l’amour non ? Ils étaient heureux ensemble et depuis le mariage tout se passait à merveille. Ils s’étaient installés chez les parents de Gino, puisque les parents de la jeune fille ne voulaient plus avoir a faire avec elle, dessus de la voir se marier si jeune et surtout d’être enceinte. Pour eux c’était un mariage forcé en vu des rumeurs qui disait que le fils Redeccini était depuis peu dans la mafia. Mais personne n’osait parler, ou dire quoi que se soit, après tout on ne se frotte pas à la mafia Sicilienne sans avoir une quelconque punition… La mafia était terrible et à l’époque on peut clairement dire qu’il y en avait des règlements de compte que même la police ne s’en mêlait pas. Pourquoi faire de toute façon ? Ça ne servait à rien a part se foutre dans la merde soit même… Non ici tout le monde se taisait et tout le monde faisait profil bas pour ne pas avoir à faire à la mafia. De toute façon c’était bien connu, la Sicile et l’Italie étaient redoutées pour leurs mafias… Vivant le grand bonheur tous les deux, l’école continuait pour eux, même si pour l’instant ils étaient en vacances scolaire. Passant alors dans la classe suivante sans aucun souci. La chambre était dans la pénombre, les rideaux étaient fermés, c’était l’après midi, la chaleur se faisait ressentir et pour la belle Esméralda qui était enceinte de huit mois, c’était presque insupportable. Elle avait besoin d’être constamment rafraichis et n’avait pas le courage de se lever, Gino était aux petits soins pour elle, il lui apportait des serviettes humide, bien fraiche, de quoi manger, car elle ne faisait que manger… Comme toutes femmes enceintes. Simplement vêtu d’un long t-shirt long un ventilateur dans la chambre, elle regardait la télévision en s’humidifiant le visage avec la serviette trempé. Entendant la porte s’ouvrir elle ne tourna pas le visage une seule seconde, elle savait qui entré. Elle savait que c’était son mari, sa moitié son tout qui venait la rejoindre dans le lit. « T’as sortie c’est bien passé ? » Demanda-t-elle sans rentrer dans les détails sachant pertinemment qu’il était sorti pour la mafia tout simplement. « Oui… Ne te soucie pas de ça ma princesse. » susurra-t-il contre son Oreille en l’embrassant doucement tout en posant sa main sur le ventre de sa femme, caressant alors longuement celui ci en sentant les coups de pieds de son enfant. Ils ne savaient pas s’il s’agissait d’une fille ou d’un garçon, ils n’avaient pas voulu le savoir, ils voulaient tout simplement la surprise et ça les rendait tout aussi fou l’un l’autre, ils étaient tellement impatient de savoir si se serait une fille ou un garçon… Le laissant faire en souriant en coin elle pencha doucement la tête sur le côté tout en inspirant longuement. « Gino… Ne joue pas avec mes hormones s’il te plait… Tu vas me rendre dingue à force… » Ses baisers s’intensifiant allant alors jusqu’à sa bouche il l’embrassa d’abord lentement avant de l’embrasser de façon plus osé, sa langue percutant avec délicatesse et franchise la sienne dans un baiser des plus expressifs. « Je ne joue pas… Je veux…. Et je vais t’avoir… » Soupirant faiblement, les gémissements d’Esméralda se firent légèrement entendre quand son mari la déshabilla pour se mettre entre ses cuisses sans attendre se déshabillant lui-même pour sans attendre unir leurs corps. Dans des mouvements lents, long et totalement sensuels, ils ne se quittèrent pas des yeux, les caresses se faisant alors sentir. Les minutes défilèrent lorsque la jeune femme se mit a pousser un cri qui n’était pas un cri de plaisir, mais de souffrance. Cessant tout mouvement il la regarda longuement sans comprendre, bougeant quelque peu. « Princesse ? Ça va ? » « Je… Perds les eaux je crois, je… Oh mon dieu sort ! Pousse toi Gino » Sans même eu avoir le temps de sortir, Esméralda perdit les eaux. Poussant un cri en se touchant le ventre, Gino sortit, se leva et enfila rapidement un caleçon avant de mettre un short pour appeler sa mère a l’aide. Revenant rapidement en posant une serviette sur son corps pour le cacher plus ou moins, il tira les couvertures pour mettre des tonnes de serviettes sous ses jambes. « Chérie…. Ne t’inquiète pas, ma mère s’occupe d’appeler le docteur, pas le temps de t’amener à l’hôpital… souffle… souffle et pousse… Je ne sais pas moi…. Euh… Pense à ce qui te fait du bien… fini notre rapport dans ta tête… Pense a mes caresses… Tu ne souffriras plus… » souffla-t-il paniqué, ne sachant pas quoi faire. Posant ses mains sur ses genoux, il baissa un regard vers son intimité en plissant le nez « Bordello ! Je préfère quand tu n’accouches pas pour voir entre tes jambes… » « Tu m’aides pas là ! » « Pardon princesse ! » Paniquant encore plus il lui écarta un peu plus les jambes la laissant pousser, n’aimant pas l’entendre hurler de douleur. Sa mère arriva enfin avec un docteur du coin. Se poussant pour s’assoir aux côtés de sa femme, il lui prit une main la serrant fortement en posant son front contre le sien soufflant tout comme elle, pour lui montrer qu’il était là, qu’il était là pour elle et qu’il s’impliquait tout aussi fort. Les minutes passèrent, les heures, les cris ne cessaient de s’amplifier quand tout à coup on entendit un cri d’enfant, de nouveau né. Le corps d’Esméralda s’arqua avant de s’affaisser dans le matelas totalement épuisé, Gino lui se figea en tournant le regard vers son enfant les larmes aux yeux pleurant de joie. « Mon enfant… Je suis papa ! Je suis papa ! » « C’est un garçon ! » Lâcha alors le docteur. Souriant en venant embrasser sa femme il la prit dans ses bras en inspirant fortement. « Nino… Mon Nino… On peut l’appeler Nino Chéri ? » « Oui, tout ce que tu voudras princesse… » Voilà comment mon grand frère arriva dans ce monde. Nino Redeccini.


« Nino, regarde maman, Nino chéri ! » Deux ans s’était déroulés depuis l’accouchement de Nino, un garçon des plus beaux. Il faisait déjà tomber tout le quartier à ces pieds. Il était beau, d’une élégance sans faille. Des cheveux légèrement blond foncé, des yeux marrons clair virant vers le vert, un mélange des yeux de ses parents, un teint halé, il faisait bel et bien italien, pas de doute la dessus. « Maman, ‘en veux pas ! » levant les yeux au ciel en lui tendant une cuillère remplit de soupe à la courge elle fit comme si de rien n’était lui mettant la cuillère sur les lèvres « Ouvre et mange ! Maman commande… pas toi ! » Ouvrant la bouche le petit garçon prit la bouchée de la soupe en grimaçant quelque peu mangeant alors en silence, tandis qu’Esméralda regarda la télévision tranquillement en ce jour du mois de Juillet. Dans un petit mois Nino ferait trois ans, mais avant tout, dans quelques jours voir moins d’une semaine elle allait accoucher de son second enfant. Un petit garçon. Cette fois ils n’avaient pas pu résister à l’envie de savoir ce qui les attendait. Ils avaient même convenu du prénom ensemble pour cette fois. Sergio, oui, leur fils s’appellerait Sergio, un prénom simple, court, un prénom qu’ils aimaient tous les deux. Le lycée était fini pour eux deux depuis un an à présent. La fac était leur nouvelle école, bien que Gino n’y aille pas. Non, il passait le plus clair de son temps avec la Mafia, vendre de la drogue, jouer au petit dealer et imposer les règles de la mafia aux gens qui ne lui obéissaient pas. Il était devenu une sorte de dur à cuir, bien qu’avec sa femme et son fils, il soit totalement différent, étant un agneau, un homme totalement doux et amoureux. Mais dans le fond Esméralda était heureuse, elle s’en fichait de ce que faisait son mari tant qu’il l’aimait, qu’il la choyé et qu’il s’occupait d’elle. Pour elle s’était tout a fait normal même. Finissant de donner a manger à son fils, elle le sortit de la chaise haute le posant au sol une fois le visage bien nettoyer le laissant alors partir vers ses jouets. Rangeant le tout en faisant quelque peu le ménage. Chantonnant doucement tout en faisant le ménage, elle regarda son fils tout en souriant. Montant doucement dans sa chambre pour se changer ayant bien trop chaud, elle se posa sur le lit en posant sa main sur son ventre. Le souffle coupait elle poussa un faible gémissement perdant alors les eaux. S’allongeant sur le lit en ayant beaucoup de mal a bouger les cris se mirent a retentir dans la chambre s’allongeant en poussant fortement. La porte en bas claquant, il y a eut un moment sans bruit, la jeune fille guettant les bruits en bas. Gino venait de rentrer, elle en était persuadée. Entendant des bruits dans les escaliers, elle le vit arriver, la regardant longuement avant de repartir aussitôt. Le petit, il fallait que quelqu’un s’occupe de Nino tout de même ! Le voyant alors revenir avec le petit il le mit dans sa chambre dans le lit pour qu’il ne puisse pas bouger ni faire de bêtise. « Je suis là, je suis là, c’est la seconde fois allez… Pousse, on peut le faire ! Pense à quelque chose de bien… » Poussant franchement en hurlant, les cheveux collés sur le front, la sueur perlant sur son corps, les cris se firent a nouveau entendre dans la chambre. Esméralda accouchait de son second enfant et c’était toujours aussi difficile et dur pour elle. Un accouchement est douloureux, et elle le faisait bien remarquer ! « Bordel de merde ! Va te faire foutre ! Pourquoi ce n’est pas toi qui porte l’enfant ! Sale italien de merde ! Gros bâtard ! Je te quitte ! Dégage de ma vie ! Aaaaaaaah » Des injures en pagaille, fusant dans la chambre à tout va, la souffrance qu’elle ressentit était décuplé par rapport au premier accouchement elle avait l’impression de crever et de ne jamais finir avec cette souffrance. Les minutes étaient des heures pour elle, oui ça ne faisait aucun doute… Apres de longues heures à pousser et que le docteur soit arrivé, l’enfant sorti enfin du ventre de sa mère. Les cris de celui-ci se firent entendre. S’occupant du bébé, elle le prit rapidement dans ses bras. Un beau bébé parfait, avec quelques cheveux bruns, des petits yeux fermés, un petit nez et de petites lèvres. Sergio était un beau bébé. Bienvenue dans la famille Redeccini grand frère...

« NINO ! Pose ça tout de suite ! Pose je t’ai dis ! Nom d’un chien je t’ai dis de ne pas t’amuser avec ça c’est à papa ! » Le garçon tenant une arme à feu dans ses mains s’amusant alors avec, il ne se doutait pas un seul instant que ce jouet comme il aimait tant l’appeler pouvait être dangereux et pouvait porter des conséquences… Des conséquences surement lourdes, la mort de certaines personnes si jamais il se mettait à tirer. L’arme était chargée et Nino lui ne comprenait pas réellement la peur de sa mère. Du haut de ses six ans il n’avait pas encore la notion réelle du danger et de ce qui pouvait être dangereux pour son entourage. Riant en regardant son petit frère il se tourna l’arme au point l’index sur la gâchette l’arme totalement armée et déverrouillé. Il lui suffisait d’appuyer et la balle partirait… Esméralda s’approchant de lui doucement les mains tendues en avant paume vers lui, comme pour lui montrer qu’elle ne ferait rien de dangereux, ne voulant pas commettre l’irréparable elle se figea en voyant la porte d’entrée s’ouvrir derrière le petit pour voir son doux et tendre mari passer la porte sans se douter de quoi que se soit. « Bonjour tout le monde ! » la jeune femme se figeant, elle vit son fils ainé se tourner vers son père tout sourire aux lèvres « Papa, papa regarde mon jouet ! » Gino baissant un vague regard vers son fils, il reculant en tendant les mains vers lui la voix lui échappant aucun son ne sortant de sa bouche. Il voyait bien que l’arme était prête a être utilisée et surtout il se souvenait parfaitement l’avoir chargée la veille au soir… « Nino, pose ça tout de suite, ce n’est pas un jouet ! » Répéta sa mère d’une voix calme. Souriant en coin Nino voulant faire plaisir à son père appuya sur la gâchette, la détonation partie, le petit fut quelque peu projeté en arrière tandis que Gino reçu une balle en pleine cuisse. Hurlant sous la douleur, sa femme elle hurla de peur en se jetant sur son fils pour lui prendre l’arme et la poser en haut d’un meuble avant de courir vers son mari comme elle pouvait, l’enfant qu’elle avait dans le ventre ne lui permettant pas d’aller trop vite. Posant sa main sur la cuisse de son mari stoppant l’hémorragie comme elle le pouvait, l’afflux de tout ce sang la fit paniquer comme jamais. « Je vais appeler les secours ! Je vais les appeler ça va tu n’as pas trop mal ? » « Non voyons… C’est rien ça… absolument rien, je pète la forme… appel ces putain de secouriste ! » Lâcha-t-il en hurlant a la fin sous la douleur intense qui le submergeait. Se hâtant comme elle le pouvait, elle prit le téléphone pour contacter alors le SAMU donnant l’adresse et la cause de la blessure. Revenant vers son mari essayant d’appuyer sur la blessure, elle vit Nino et Sergio les regarder ne comprenant pas réellement ce qu’il se passait. « Filez dans vos chambres ! Et n’en sortez plus ! » Ordonna alors la jeune femme regardant ses enfant partir dans leurs chambres. Se tournant a nouveau vers son mari elle le suivit par terre tenant toujours sa plait qui saignait quelque peu abondamment. La vue du sang la terrifiant, elle essaya tant bien que mal de ne pas trop regarder, plongeant son regard dans celui de son mari. « Princesse… ça parait dérisoire si je te dis que j’ai une violente envie de te faire l’amour là ? » Riant doucement elle lui lança un regard amoureux et taquin l’embrassant alors du bout des lèvres. « Mon amour… Je me demande quand tu n’as pas envie… Tu pourrais mourir que tu aurais envie de moi… » « Tu sais que tu es belle et enceinte tu es encore plus parfaite, tes rondeur, ton corps, tu es… Epoustouflante, je suis marié avec la plus belle femme du monde ! » « Arrête, tu vas me rendre folle, on ne peut pas tu as entendu le gynécologue, je ne dois pas trop bouger, et j’ai déjà assez bougé là… » Caressant le visage de sa femme il l’embrassa doucement en la contemplant avec amour. Ils s’aimaient éperdument, ils étaient fous l’un de l’autre, ils ne pouvaient pas passer plus d’une journée sans se voir, c’était ça l’amour… Et ceux depuis tout petit. L’ambulance arrivant quelques minutes après, elle les laissa s’occuper de son mari avant de prendre ses enfants pour les suivre et aller a l’hôpital avec eux afin d’être présente auprès de son mari une fois la balle retiré de sa cuisse. Conduisant tranquillement en regardant ses fils dans le rétroviseur, elle se demanda alors si le fait que leur père soit un mafieux ne nuisait pas à l’éducation des enfants… C’est vrai après tout s’il n’avait pas été dans la mafia il n’y aurait jamais eu d’arme à feux chez eux. Et Nino n’aurait jamais tiré sur son père, non il aurait eu a la rigueur une arme fausse en plastique si tant et que cela ait pu exister et encore heureux que cela n’existait pas… Elle s’en voulait, elle aurait du être plus vigilante, et surtout ne pas laisser trainer l’arme de son mari de la sorte sur le bureau du dit homme. En même temps normalement Nino n’entre pas dans le bureau de son père. Mais elle ne pouvait pas s’empêcher de culpabiliser, la blessure aurait pu être bien plus grave, de la chance que du haut de ses six ans l’enfant ne soit pas si grand que cela dans le fond… Non vraiment ils avaient eux beaucoup de chance sur ce coup là. Conduisant prudemment elle suivit de plus ou moins près l’ambulance avant de filer de l’autre côté de l’hôpital pour se garer. Marchant avec difficulté tenant d’une main la main de Nino qui lui tenait Sergio elle posa une main sur son ventre. Son enfant lui donnait des tonnes de coups de pieds… Elle ne savait pas si c’était une fille ou un garçon ayant eu l’envie d’avoir la surprise… Mais au plus profond d’elle, elle savait que c’était une fille, quelque chose lui disait que c’était elle, oui, une petite fille et elle savait déjà comment elle allait l’appeler. Zeppelin. Oui, Zeppelin Nirvanà. Elle voulait lui donner son second prénom par envie pour lui donner une par d’elle bien entendu. Entrant dans le bâtiment en demandant au secrétariat la chambre ou serait mis son mari, elle attendit quelques minutes avant qu’on lui demande d’aller au second étage la chambre deux cent vingt deux. Filant vers l’ascenseur ils s’engouffrèrent dedans en appuyant sur le chiffre deux. Hurlant tout a coup de douleur, une douleur qu’elle n’avait jamais eu avant lors de ses deux grossesses elle se replia sur elle-même les larmes montant rapidement elle se laissa tomber à même le sol perdant alors connaissance sans même s’en rendre compte. Les enfants appelant leur maman en s’agenouillant pour la secouer tant bien que mal, les portes s’ouvrirent sur deux infirmières celle-ci se jetant alors sur Esméralda appelant du secours a voix haute. Rapidement elle fut prise en charge sans savoir ce qu’il se passait. Malheureusement pour Esméralda elle avait trop bougé, elle n’aurait pas dû autant bouger. Une hémorragie s’était déclaré en elle à tel point que l’enfant qu’elle portait pouvait en avoir des conséquences. « Dépêchez vous ! Il faut enlever l’enfant pour s’occuper de cette femme ou nous allons la perdre ! » Césarienne, rapidement ouverte, l’enfant, une petite fille en sorti du ventre de sa mère. Rapidement mise dans les bras d’une sage femme. Une légère chevelure brune des petits yeux fermés, l’enfant était beau, oui, cette fille serait belle. Il n’y avait même aucun doute.
« Ou est ma femme ?! Mon enfant ? Comment va l’enfant ? » « Monsieur Redeccini, calmez vous s’il vous plait, votre femme est en salle d’opération et votre fille… » « Fille ? J’ai une fille ? Je veux la voir ! Je veux MA fille tout de suite ! » « Monsieur… » « MA FILLE ! Si vous ne me la passez pas je vous étripe vous et votre femme ce soir… » Le médecin regarda longuement Gino, tout a coup il eu un doute. Mafia ou pas Mafia ? Il ne voulait pas avoir de souci, et il savait parfaitement que les menaces faites par ce genre d’homme n’étaient pas des paroles en l’air loin de là même. Sortant de la chambre sans rien dire, il revint quelques minutes plus tard avec le petit charriot ou était sa fille qui dormait paisiblement. « Voilà, votre fille. Souhaitez vous lui donner un prénom ou attendez-vous votre femme ? » « Zeppelin. Zeppelin Nirvanà, ma femme voulait l’appeler ainsi si c’était une fille et c’est une fille... J’ai une fille. Une fille, j’ai une petite fille, oh mon bébé d’amour… » Dit-il en prenant rapidement sa fille dans ses bras la réveillant. Ouvrant les yeux, la petite ne voyant rien, normal, au vu de son âge, elle ne voyait que des ombres, la vue ne venant que bien plus tard. A cet âge les enfants reconnaissent les gens à la voix et non à la vue. Caressant doucement ses petites joues, Gino se mit à pleurer. Il avait une fille, son sang sa chair et il savait malgré lui qu’il ferait des préférences, c’était là sa fille… Il avait toujours rêvé d’avoir une fille et le voilà a présent père d’une petite fille, le trente mars mille neuf cent quatre vingt douze était a présent le plus beau jour de sa vie.

Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence Tumblr_li2iadKlEL1qbsfgco1_500


La vie était faite de façon à ce que tu naisses dans un monde en paix. Ou pas. Un monde en paix, comme si un monde en paix pouvait existait, non bien sur que non, la guerre était présente partout, la guerre faisait partie de nos vies, elle était là présente même si dans le pays il n’y en avait pas une, il y en avait dans d’autre pays. Le monde était fait ainsi, cruel, sans sentiments sans rien. Il fallait simplement se débrouiller. Et c’était ainsi dans la famille Redeccini. Esméralda s’en était tirée de son hémorragie, elle était sortie deux semaines après son intervention et avait retrouvé une maison… sans dessus dessous. La première chose qu’elle remarqué et ça elle ne pouvait pas passer à côtés se fut de voir son mari s’occuper avec autant d’importance de sa fille. Il en était fou, oui, il était raide dingue de sa fille. Elle était heureuse de voir cela, mais bizarrement un sentiment de jalousie s’empara d’elle. Elle avait peur qu’il la délaisse elle, et surtout qu’il fasse des préférences envers ses deux petits. Elle ne voulait pas de cela, elle ne voulait pas d’un mari qui néglige tout le reste et privilège sa fille chérie. Zeppelin était une fille magnifique, elle était belle et on ne pouvait pas le nier ou bien même dire le contraire. Tout le monde le disait dans le quartier et la famille. Cette fille serait belle et Gino aurait le devoir de la protéger des hommes. Mais ça il n’avait pas attendu qu’on le lui dise, des le moment ou il avait su qu’il avait eu une fille, il savait qu’il allait la protéger et la surprotéger. Il voulait le meilleur des mondes pour sa fille, il voulait la choyer, la rendre belle, désirante, aimante, il voulait la faire rire, il voulait être le meilleur des papas, oui c’était cela qu’il voulait. Il voulait que sa fille chérie plus tard vienne le voir lorsqu’elle a un souci, il voulait être le confident de sa fille, il voulait être présent pour elle, chaque jour de sa vie. Il en faisait même le serment ! Les jours passaient et passaient, tout comme les semaines et les mois et Gino ne changea pas de comportement envers Zeppelin et le reste de la famille. Il la nourrissait, il l’a lavait il l’habillait, il faisait tout, c’était sa fille. Même Esméralda n’avait pas le temps de la prendre dans ses bras que Gino était la pour la reprendre, il faisait tout avec sa fille, il avait un mal fou à la lâcher, il en était accro, amoureux, tout… Il l’aimait éperdument. Il était prêt a tout sacrifier pour sa fille… Il ne faisait même que le repas pour celle-ci. Il lui préparait des soupes, des bouillons des purées… Et quand elle commença a mal faire ses nuits, il la prit avec lui pour dormir. Installant rapidement un lit dans la chambre de sa fille il se mit alors a dormir avec la pouponnant et la chouchoutant. Cette fille serait et était surement la fille la plus gâtée du monde. Si elle n’aimait pas un plat, il le jetait ou le donnait à ces fils pour en faire un autre à sa fille. Il lui passait ses moindres désirs. Et si lui voyait cela comme normal, ses fils eux commencèrent à s’éloigner de leur père. Nino âgé de huit ans, Sergio lui de cinq ans, ils ne pouvaient que ressentir la différence énorme… Zeppelin n’avait qu’un an et demi et elle était surement plus gâtée qu’eux en vêtements, en jouet, en tout à vrai dire. Il en était tellement fou de sa fille qu’il l’amenait avec lui aux réunions. Cette petite était constamment entourée d’homme et pas n’importe quel homme. Zeppelin était connu de toute la mafia Sicilienne. Elle était choyé, pouponné par de nombreux hommes qui eux même n’avaient pas eu la chance d’avoir une fille. Elle passait de bras en bras, les gens l’embrassaient, la regarder et l’admiré, car du haut de ses un an et demi elle était déjà terriblement belle. Un regard vert des plus envoutant un sourire fabuleux, une petite voix chantante et douce, une malice à vous faire craquer. Non cette petite était bel et bien la plus belle de toute aux yeux de tout le monde. Elle était parfaite à tel point que son premier mot fut papa et non maman. Pour raison, c’était tout a fait normal, puisqu’elle ne voyait que très peu sa mère. Pourtant la petite aimait énormément sa mère, le souci n’était pas là, mais elle était constamment avec son père il était donc normal que ce mot sorte le premier et que le maman vienne en second. Et elle était tellement habituée a être avec son père que les rares fois ou elle n’était pas avec lui, elle le réclamait à tout va. Pleurant comme jamais, tapant de longues crises, elle voulait son père et simplement son père rien de plus rien de moins. Juste Gino, son papa chéri et adoré. Et en grandissant c’était de pire en pire. Si la nuit elle ne trouvait pas son père dans sa chambre, elle sortait de son lit et venait sans bruit dans la chambre de ses parents pour tirer son père du lit, elle le voulait dans sa chambre et ne voulait pas le partager avec sa mère. Non, juste pour elle et rien d’autre. Elle était tellement habituée a dormir avec son père qu’il en était devenu comme son doudou. Sans lui elle ne dormait pas. Elle avait besoin de lui et simplement de lui. Et la nuit quand il n’était pas là, bizarrement elle allait rejoindre son ainé, Nino pour se glisser sous ses draps et se blottir dans ses bras. Elle aimait les hommes et négligeait sa mère sans trop s’en rendre compte. Pour elle, c’était même tout a fait normal. Il arrivait même qu’elle fasse un caprice pour dormir avec Nino et Sergio. Elle voulait être même entre les deux et se sentir aimé et choyé. Elle n’avait que deux ans et était déjà très capricieuse. Elle savait déjà marchander et faire en sorte d’avoir ce qu’elle voulait. Elle devenait une petite peste, oui, une peste de première qui voulait simplement qu’on lui prête attention tout simplement. Mais elle n’avait pas besoin de crier, de hurler, car ses frères et son père était là pour elle. Lorsque sa mère s’occupait d’elle c’était bien différent. Puisqu’Esméralda était littéralement jalouse de sa propre fille. Jalouse mais elle l’aimait malgré tout et faisait en sorte de le lui montrer. Après tout elle était sa mère, elle se devait d’aimer sa fille comme tout autre enfant… Oui, et elle ne se doutait pas un seul instant qu’elle ne passerait pas beaucoup de temps avec sa fille contrairement au temps passait avec ses garçons…

« Maman ? » « Oui ma puce ? » « Il est ou papa ? » demandais-je doucement en prenant ma tartine de beurre chocolat pour la porter à mes lèvres regardant alors mes frères devant la télévision qui eux jouaient à la console se criant dessus pour savoir lequel avait gagné, lequel avait triché ou pas triché. Un quotidien dans la maison à vrai dire. Tournant un vague regard vers ma mère rencontrant ses yeux tout aussi vert que les miens, je lui fis un franc sourire tout en la regardant longuement. Ma mère était une femme belle, oui, même si nous n’étions pas réellement proche je l’aimais quand même par-dessus tout. Nous ne passions pas beaucoup de temps ensemble, mais le peu de temps que je passais avec elle, j’aimais bien. Mon père me manquait atrocement dans ces moments là, mais je faisais avec, je me rabattais sur mes frères. J’aimais mes frères, je les admirais même. Nino âgé de onze ans était d’une intelligence sans faille. Il avait deux ans d’avance au niveau scolaire, il aimait terriblement les livres, il les buvait comme de l’eau. Il s’amusait certes avec Sergio mais par la suite il s’enfermait souvent dans sa chambre pour étudier. Pourtant au vu de son âge il ne devrait pas bosser autant. « Il est au travail, tu sais qu’aujourd’hui… Il doit démissionner de son boulot… » Me tournant vers ma mère croquant a nouveau dans ma tartine me mettant du chocolat sur le bout du nez je le laissais la sans m’essuyer en la regardant sans rien répondre avant de prendre mon verre de jus d’orange pour en boire quelques gorgées avant de me relever pour m’assoir sur la table en croisant mes jambes nues. Nous étions en plein été, la chaleur était très forte a tel point que je passais mes journées en simple bas de maillot bleu avec mes petits nœuds sur le côté. « Il ne veut plus travailler avec tonton Diego ? » « Diego n’est pas ton tonton ! » « Parain Diego alors ? Mais maman, a chaque fois que je vois Diego il me tend les bras pour me dire de venir câliner tonton Diego… » Soufflai-je en léchant mes doigts couverts de chocolat tout en souriant croisant le regard de mon grand frère lui tirant la langue en riant doucement les voyant se battre pour déterminer qui avait triché. « Allez Sergio ! Allez Sergio ! » Hurlai-je en me levant sur la table pour sauter dessus tandis que la mère m’attrapa par le bras pour me mettre au sol assez sèchement. « On ne saute pas sur la table, combien de fois je te l’ai dis ! » La regardant surprise je reculais en lui donnant un coup de pied dans ses mollets. « Tu ne m’aimes pas ! Papa lui il me laisse sauter sur la table ! Alors je saute sur la table ! » Recevant une violente gifle sous le coup j’eus l’impression que ma tête se décollait de mon cou me propulsant contre le meuble derrière moi en tombant sur les fesses. La première gifle de toute ma vie. Certes je n’avais que quatre ans mais tout de même… Elle restait ma première et j’espérais même la dernière ! Relevant un regard vers elle, je la foudroyais du regard, voyant alors le sien apeuré et choquée. Elle s’en voulait ? Je l’espérais bien oui… Me relevant en ignorant le fait qu’elle s’avançait vers moi, je me mis a courir dans la pièce pour filer alors dans ma chambre claquant la porte en filant alors à la fenêtre montant le mur pour essayer de sortir. La porte s’ouvrant je l’entendis crier m’attrapant alors par la taille pour me tirer hors de la fenêtre, m’accrochant en hurlant de toute mes forces, j’essayais de ne pas lâcher la fenêtre mes mains cédèrent me prenant alors le sol en pleine face je me mis a pleurer comme une idiote tandis qu’elle me tirer pour me prendre dans ses bras. « Pardon… Pardon, maman s’excuse, je n’aurais jamais du te frapper, pardonne moi ma puce » La laissant faire en reniflant doucement elle déposa ses lèvres sur mon front et mon visage. Me serrant de plus belle elle glissa ses doigts dans mes cheveux les caressant alors longuement. « Je t’aime Nirvanà… Je t’aime et tu le sais… Tu es ma fille chérie, mon petit bébé à moi… Il n’y a pas que papa qui t’aime, je t’aime… » « Mais… Mais, papa lui il ne me frappe pas. Papa il s’occupe de moi, toi tu fais jamais rien, papa c’est papa… » « Ma puce, ton père t’aime il veut te garder pour lui, il ne me laisse pas le temps de m’occuper de toi mais je t’aime, je suis ta maman, je t’aime de tout mon cœur… tu es mon bébé à moi, ma princesse ma puce… Je t’aime, je t’aime, rentre toi le dans ta tête d’accord ? » La regardant longuement en séchant doucement mes yeux, j’hochais brièvement la tête en inspirant doucement mon corps tremblant quelque peu. Voyant une ombre a la porte, je me tournais rapidement en voyant mon père, mon père avec une mine assez sombre et pale. Me détachant de ma mère je me mis a courir vers lui les bas tendus pour qu’il me porte. « Papaaaaaaaaaa » hurlai-je la joie de vivre étant rapidement venu sautant alors dans ses bras celui-ci me faisant rapidement tourner avant d’enfouir son visage dans mon cou pour m’embrasser remontant a mon visage l’embrassant pratiquement partout. « Ma petite Nirvi chérie…. » murmura-t-il doucement en caressant ms cheveux embrassant doucement ma mère en même temps. Regardant mon front, passant son pouce sur une parcelle de peau me faisant mal je fronçais les sourcils en posant mes petites mains dessus. « Aie. » « Tu es tombée ? » Demanda-t-il en regardant ma mère. Hochant doucement la tête en entrouvrant la bouche se fut la première fois que je mentis à mon père. « Oui, j’ai voulu ouvrir la fenêtre et je me suis prit le coin… C’est pour ça que maman me consolait… » un baiser de mon père il me posa sur le sol avec douceur. Partant sans demander mon reste je filais vers mes frères en m’asseyant sur les genoux de Nino les regardant alors jouer tranquillement le pouce dans ma bouche le suçant longuement.

« Attends, je te dis t’attendre, arrête de te toucher les cheveux » « Mais ça me tire la peau maman ! » « Pourquoi tu lui fais des tresses partout a Zep man’ ? » « Car j’ai envie et qu’elle est toute belle comme ça ! » Tournant un regard vers Sergio je levais vaguement les yeux au ciel en lui tenant alors la main, nos doigts s’entrelaçant je le regardais de son autre main dessiner sur un cahier fait pour, en fait c’était le mien, sauf que lui il débordait en masse contrairement à moi qui ne débordait jamais. J’aimais trop dessiner et j’avais même une palette de peinture et des feuilles en papier cartonné pour pouvoir y peindre dessus. Ma mère ne cessait de dire que je serais surement une petite artiste dans le temps à venir. Je ne savais pas si c’était vrai mais… Peut être qui sait. D’après mes parents, Nino serait le plus intelligent des trois, et il ferait de longues études… Sergio lui serait le plus sportif et moi apparemment j’aurais tout l’air d’une petite artiste en herbe. Me penchant pour regarder de plus près le dessin de mon frère je sentis la main de ma mère sur mon épaule me remettant droite. Soupirant longuement, je ne comprenais pas pourquoi elle me faisait des tresses… Depuis notre altercation de la dernière fois, nous nous montrions… Beaucoup plus proche, je passais plus de temps avec elle et j’apprenais à connaitre ma mère, et à la vérité je l’aimais fortement, tout comme mon papa d’amour. Maman était ce qu’elle était, mon père était ce qu’il était, il y avait une différence je ne pouvais pas le nier mais je m’étais vraiment rapproché d’elle et dans un sens ça me plaisait atrocement. « Pourquoi tu débordes ? Ce n’est pas beau quand tu débordes ! » Dis-je a mon grand frère en fronçant les sourcils comme énervée de voir qu’il ne respectait pas mon cahier. Non, pour le coup il ne le respectait vraiment pas. « Mais c’est joli quand sa déborde ! Tu verras tu comprendras quand tu seras plus grande soeurette ! » Haussant un sourcil en grimaçant sous la douleur que provoquais ma mère je plissais le nez en soupirant fortement tapant la main de ma mère quand elle me fit mal en criant quelque peu. Elle tirait mes cheveux bien trop fort c’était horrible et désagréable ! Entendant la porte d’entrée s’’ouvrir, j’essayais de me retourner pour voir mon papa entrer mais ma mère me tapota doucement la tête. « Cesse de bouger je te fais des tresse Zep ! » Soufflant fortement en croisant mes bras, j’attendis que mon père vienne me délivrer de cette souffrance mais bizarrement rien… Je vis mon frère regarder derrière nous et se relever pour partir laissant même le cahier et les feutres sur le bureau partant en courant s’enfermant dans sa chambre. Ma mère ne bougeait plus. Prenant le feutre de mon frère et le cahier je me mis a dessiner sans trop réfléchir pour finir le travail de Sergio avant que ma mère ne se remette à me faire les tresses de façon bien trop rapide par rapport à tout a l’heure. « Esméralda, tu es très en beauté ce soir… Ta fille aussi. » Une voix inconnue, totalement inconnue a mes oreilles. Mais je compris rapidement que c’était un ami du travail de papa. Travail dont papa voulait se séparer. Il ne cessait de dire qu’il voulait arrêter la mafia de ce que j’avais entendu derrière la porte de leur chambre… Me tournant le feutre en main, je vis mon père se tenir derrière un homme, le visage pale, alors que son ami Diego était à ses côtés légèrement tristes aussi, d’autres hommes se trouvaient là, me regardant comme si j’étais de trop, alors que ma mère ne me lâchait pas se hâtant de faire mes tresses. « Mario… » Lâcha ma mère de façon sèche. Me tirant encore plus les cheveux je poussais un faible cri de douleur avant de lui taper la main une nouvelle fois. « Tu me fais mal maman ! » Dis-je d’une voix colérique, celle-ci me mettant une tape sur le crâne je me poussais pour lui échapper alors qu’elle me rattrapa au vol me prenant alors dans ses bras tandis que j’entendis des bruis bizarre. Redressant la tête je vis les hommes avec des armes, le dit Mario l’arme pointé sur ma mère le baissant lorsqu’il croisa mon regard. « Tu devrais surement lâcher la petite… Il serait préférable pour elle, qu’elle aille dans sa chambre… » « Mario… Laisse les, s’il te plait, elles ne t’ont rien fait, je dois payer les conséquences moi-même… » « Non… Il faut que tu comprennes que nous ne rigolons pas. Tu rentres dans la mafia, tu n’en sors plus. Pas de favoritisme. Tu m’as très déçu Gino… Toi qui étais un bon homme… » « Mario, tue moi… Mais ne touche pas mes femmes. » Un rire éclata dans la pièce, alors que je croisais le regard de mon père, ma mère elle posant sa main sur mes yeux je la repoussais doucement pour voir mon père qui, pleurait pour la première fois devant moi. Je ne comprenais rien de ce qui se passait mais ça se passait… « Tes femmes ? Comment vouloir tuer cette petite… Elle est si jolie… autant la préserver non ? Tu as quel âge ma mignonne ? » S’approchant de moi je sentis un de ses doigts se poser sur ma joue la caressant lentement. Son regard bleu foncé plongeait dans le mien je fronçais les sourcils en le regardant longuement. « J’ai quatre ans ! Je suis grande ! » Dis-je en levant ma main lui montrant alors quatre doigts le sourire aux lèvres ne comprenant pas ce qu’il se passait. Sentant la main de l’homme me prendre la mienne il y déposa un doux baiser dessus avant de s’approcher a nouveau de moi, bien plus près cette fois. « Ma mignonne, si tu allais dans ta chambre. » « Ma maman me ait des tresses, elle doit finir avant le souper. » « Certes mais nous parlons entre grand, tu peux nous laisser seul ? » « Je n’obéis qu’à papa et maman. Papa dit toujours de ne jamais écouter les inconnus ! » Souriant en dévoilant ses dents toutes bien alignées et blanche, je le regardais avant de tourner le visage vers mon papa qui me souriait faiblement. « Il t’a bien éduqué ton papa, tu le sais ça ? Mais je ne suis pas un inconnu, je suis Mario, le boss de ton papa…. Tonton Mario… » « Non. Je n’ai pas de tonton Mario ! J’ai qu’un tonton Diégo, c’est lui mon tonton ! » Pointant du doigt Diego, je lui fis un franc sourire en tendant les bras pour qu’il vienne me prendre dans ses bras mais il me fit non de la tête en souriant faiblement. « Tonton Diégo ? Hum, mais je vais devenir ton tonton moi aussi, allez la gosse vient ici ne me ait pas perdre mon temps ! » Me prenant par la taille, je sentis ma mère me tirer vers elle comme pour l’empêcher de me prendre, hurlant en voyant qu’il voulait m’enlever des bras de ma mère je lui mis un coup sur le nez en criant « Tu me fais mal ! » Recevant une claque alors que des cris se mirent a fuser dans la pièce je vis alors un bout de métal froid sur ma joue. Me figeant en regardant mon père qui lui faisait de même sur Mario, les autres hommes avaient la même sur mon père. A quatre ans, on ne sait pas ce qu’est qu’une arme a feu, un flingue, un révolver et j’en passe… La tension se fit sentir dans la pièce. « Ne lui faite pas de mal, s’il vous plait… Gino… baisse ton arme, ne fait pas de connerie, ils ont besoin de toi, les enfants ont besoin de toi. Surtout Zeppelin. Je savais dans quoi je m’engageai quand je t’ai épousé… » « Ferme la, princesse… Il y a d’autre solution… » L’homme enlevant le bout de métal de sur ma joue baissant alors sa main, tout le monde fit de même sans rien dire. Sans que je n’eus le temps de faire ou de dire quoi que se soit un bruit strident retentit dans la pièce et des cris dans la maison accompagnèrent le bruit qui m’assourdis me rendant pratiquement sourde. Figée, je me sentis partir vers le sol, ma mère tombant avec moi, ses bras me relâchant. Tombant en roulant quelque peu, je me redressais en voyant alors ma mère par terre comme moi. La regardant longuement, ses yeux grand ouvert figé, sans bouger, je vis alors une flaque rouge couler de sur son front se rependant. M’approchant d’elle en posant ma main sur son visage je la secouais doucement. « Maman ? Maman, relève-toi. Maman… » Des mains me prenant par la taille je me sentis alors décoller en l’air regardant toujours ma mère. « Ta maman dort, tu devrais partir dans ta chambre maintenant ! » L’homme m’amenant alors vers les escaliers me posant dedans me laissant là, je restais immobile un long moment avant de me tourner pour voir mes frères en haut des escaliers ne comprenant pas ce qu’il se passait, leurs regards allant de mes yeux à mon corps. Baissant mes yeux je pus constater que j’étais couverte de sang. Descendant doucement les marches, je vis la porte d’entrée ouverte les gens discutant avec mon père qui lui était effondré et commencer a plus ou moins élever la voix. La porte claquant, je revins alors vers ma mère en me stoppant devant elle caressant doucement son visage me fichant du sang qu’il y avait partout m’agenouillant a ces côtés sans réellement comprendre ce qu’il venait de se passer. « Nirvi, s’il te plait, file dans ta chambre, laisse moi seul avec ta mère… » « Non… Maman devait finir mes tresses… Je veux qu’elle finisse mes tresses, elle voulait m’en faire car elle aimait ! Je veux des tresses… » Ne quittant pas du regard ma mère, son regard vert totalement inerte d’émotions, je sentis les mains de mon père dans mes cheveux finissant alors le travail de ma mère. Se fut la dernière fois que je vis le corps de ma mère.


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N. Zeppelin Redeccini


And what else ?

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✔ AGE : 19 ans
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 30 mars 1992
✔ CUPIDON : Libre comme l'air mais très amoureuse ...
✔ MON BOULOT : Fille à papa !
✔ MON HUMEUR : fétarde
✔ PORTE(S) BONHEUR : - Le chiffre 6 ! C'est mon porte bonheur.
- Frutti la peluche de mon frère !
- La gourmette de mon autre frère.
✔ MES SURNOMS : Led, Zep, Nirvi, Rinà, et j'en passe !
✔ MA CITATION : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence...
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✔ INSCRIPTION : 21/07/2011
✔ NAISSANCE : 31/10/1989

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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 7:55


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« Zeppelin mais qu’est ce que tu fais ? On vient de sortir de table ! » Lança mon ainé, Nino, alors que je m’empiffrais franchement de gâteau et de pâtes. Comme si c’était tout a fait normal de s’empiffrer autant… Non bien sur que non. Six ans, six petite années et je mangeais déjà comme jamais. Ignorant les commentaires de mon frère, je pris un gâteau entier dans ma bouche le mangeant rapidement tout en prenant un second gâteau. Depuis quelques temps j’étais devenu… comme boulimique. Je mangeais, lors de crise de stress, je mangeais atrocement beaucoup, au point de me faire vomir tellement j’avais trop mangé. Pas me faire vomir, non car moi je ne voulais pas vomir, mais mon corps ingurgité trop pour garder toute la nourriture. Je n’avais que six ans et j’avais déjà ce genre de problème. Surement la mort de ma mère qui m’avait rendu de la sorte. Je me sentais affreusement coupable de sa mort et le peu de fois que j’en parlais, mon père ne cessait de me dire que ce n’était pas ma faute et que je n’y pouvais rien, que tout était de sa faute à lui. Mais je ne pouvais pas m’arrêter de dire que c’était tout aussi bien ma faute que la sienne, si je n’avais pas provoqué cet homme peut être qu’il n’aurait pas tué ma mère. Inspirant longuement en buvant a la bouteille de coca, mon frère me l’arracha rapidement en me secouant par les épaules. « Oh ! Zeppelin je peux savoir ce qu’il t’arrive ! Tu as déjà mangé comme quatre à table ! Tu vas te faire vomir là à trop manger ! » Mon regard vert plongé dans le sien marron vert je restais immobile sans bouger, juste le regarder, la lèvre tremblante, avant de baisser la tête pour ne plus voir son regard si perçant si pénétrant. Nino était tellement… Compréhensif, doux, il avait un don pour percevoir les sentiments des autres et savoir ce que l’on pensait… Comme s’il avait étudié la psychologie ou dieu sait quoi alors qu’il n’avait que treize ans ! Me détachant de lui je montais dans ma chambre avec rapidité fermant la porte derrière moi en me laissant tomber sur le lit tout en pleurant comme une idiote. Voilà ce que je faisais ces temps ci quand je repensais à ma mère. Je l’a revoyais toujours de la même façon et pas autrement. C'est-à-dire allongée sur le sol, un trou rouge sur le front, les yeux grands ouverts inerte sans plus bouger. Je n’arrivais plus a la voir vivante, ou bougeant. J’aimerai tellement la revoir quand elle jouait avec nous, ou nous engueulais quand on faisait des bêtises, surtout moi, qui réclamais toujours mon père. Et je le réclamais toujours autant. Il m’arrivait même parfois de quitter la maison sans rien dire à mes frères pour le chercher dans les rues de Trapani. Et a chaque fois mon père me passait un savon mais me consolait toujours par la suite car je pleurais. Il ne supportait pas de me voir triste ou en pleurer, et c’est surtout comme cela que j’ai compris qu’avec lui je pouvais faire ce que bon me semblait, il m’aimait trop pour me punir ou autre. Il était un papa gaga de sa fille et je ne pouvais que le constater. Même ms frères me le disaient et me demander de ne pas trop abuser de mon père. Si au début je n’en abusais pas par la suite c’était devenu de pire en pire. Je faisais un caprice par jour, puis deux, puis trois, puis je cessais de les compter. Plus ls jours passaient et plus je changeais. Je devenais une sorte de peste, oui, voilà comment m’appeler mes frères quand je faisais cela avec mon père ou bien même des gens totalement inconnu. J’étais devenue une petite peste du haut de mes sept ans je répondais, je frappais, je criais et je ne me démontais pas même si c’était un garçon bien plus fort que j’avais face à moi. J’étais comme ça, j’étais une fille au sang chaud, une fille qui avait besoin de faire extérioriser sa colère sur les autres. De plus bizarrement ma mère me manquait. Sa présence, le fait qu’elle cuisine, ses plats, l’entendre chanter, la voir danser tout en faisant le ménage alors qu’elle mettait la musique a fond. Tout ça me manquait atrocement. Il parait que tout enfant a besoin de la présence de sa mère, ou du moins de ses deux parents, c’était peut être vrai. Depuis sa mort, j’avais des photos d’elle dans ma chambre, sur la table de nuit, sur le mur, sur les meuble, plein de photos de toutes les deux ou avec la famille, une famille qui rit, heureuse, pas une famille déchirée, qui ne se parle presque plus et qui voit à peine son père. Car oui on le voyait de moins en moins, il bossait tellement pour ce Mario qu’à force on avait plus de père, on était livré à nous même. Et ça encore se n’était rien comparé a quand il passait du temps à la maison. Lorsqu’il passait ses journées ici, dans la maison familiale il venait avec ses collègues de boulot. Diégo était toujours de la partie et les autres, je ne savais pas trop leurs prénoms et à vrai dire je m’en fichais un peu. Mais tout ce que je savais c’est que d’énorme sachet de poudre blanche, telle de la farine se cachet dans nos placards. Une farine dite spécial qu’il ne fallait pas utiliser pour cuisine. J’entendais encore mon père me dire clairement à mes frères et moi de ne jamais toucher ces sachets blancs. Chose que nous ne faisions pas, nous ne voulions en aucun cas avoir de soucis avec notre père ou bien même ses amis… Nous avions très bien pu voir de quoi ils étaient capables. Nous n’avions pas envie de perdre quelqu’un d’autre, non, vraiment pas. Mais il ne faut pas croire au miracle pour autant…

Il faisait nuit noir, les étoiles dans le ciel faisaient quelque peu de la lumière dans ma chambre, la fenêtre grande ouverte, els rideaux virevoltant a cause de la légère brise de vent, je tournai vaguement le regard vers celle-ci pour voir les étoiles dans le ciel. Le ciel était dégagé, pas un seul nuage à l’horizon, c’était une nuit parfaitement étoilé avec une lune pleine et bien éclairé elle aussi. Me levant lentement sans faire de bruit, je vins à ma fenêtre pour voir la rue qui s’offrait a moi en soupirant longuement avant de tourner un vague regard vers le réveil. Trois heures. Attrapant mon coussin, je sortis de ma chambre toujours sans faire de bruit, descendant alors en bas pour ouvrir la porte de la chambre de mon père, trouvant le lit vide. Mon pouce en bouche je frottais doucement mon nez de mon index en faisant demi-tour. Allant dans la cuisine, j’allumais silencieusement la lumière ouvrant alors frigo montant sur une chaise pour pouvoir attraper les yaourts tout en haut redescendant pour manger le paquet entier. Yaourt, jus d’orange, tout y passait. Je ne cessais de manger, constamment, je ne pouvais pas m’empêcher de manger. Du coup mon père ayant vu que je commençais un peu a grossir, malgré que je puisse vomir tout autant, il me fit faire du sport. De la danse. J’aimais la danse, oui c’était bien, on se défoulait, on faisait les folles j’aimais la musique en plus donc autant dire que c’était bien à mes yeux et sa me permettait de compenser l’excès de nourriture que je dévalisais à moi toute seule. Il disait de moi que j’étais malade. Que j’avais un complexe ou dieu sait quoi, mais moi je ne voyais pas de complexe… Je n’en voyais vraiment pas. J’avais simplement envie de manger quand j’étais en état de panique ou de stress. Laissant les pots de yaourts sur la table ainsi que la bouteille de jus d’orange, vide et ma cuillère le ventre totalement plein, ayant même mal à celui-ci, je pris mon coussin mettant mon pouce dans ma bouche le suçant alors longuement. Montant les escaliers avec lenteur, je filais vers la chambre de Sergio regardant son lit en hauteur avant de monter les escaliers de son lit me faufilant sous la couette posant mon coussin a côté de sa tête le regardant alors dormir, celui-ci bougeant quelque peu. « Zep… Papa n’est pas rentré ? » Murmura-t-il doucement en frottant quelque peu ses yeux. « Non… Il est toujours dehors. » « T’a dévalisé le frigo ma belle » « Non… » « Tu sens le chocolat et… Tu as bu quoi ? » « Jus d’orange… » « Tu as rangé ? » « Non… » « Sale chieuse… » Inspirant doucement en lui donnant un coup de coude, je vins me blottir tout contre lui en faisant alors un câlin a mon frère, tandis qu’il me prit dans ses bras en me berçant quelque peu. Fermant les yeux je m’endormis lentement dans ses bras suçant alors mon pouce avec lenteur. Une nuit sans rêve, une nuit noire, une nuit ou le sommeil est paisible dans les bras de mon frère. Une nuit comme tant d’autre. Un bruit strident retentit dans la maison, un bruit qui me rappelait que trop bien le bruit qu’avait fait l’arme à feu de Mario lorsqu’il avait tué ma mère. Sursautant dans le lit je me redressai alors que Sergio me tira le bras pour ne pas que je tombe du lit. Nino entrant dans la chambre sans faire de bruit il posa son index sur ses lèvres, signe que nous ne devions pas faire de bruit. Montant rapidement à son tour, il se cala dans la couverture me prenant dans ses bras en nous poussant contre le mur. Le laissant faire j’enfouissais ma tête dans son torse ne bougeant plus entendant alors des cris dans les pièces d’en bas. Des choses se brisant d’autre coup de feu retentissant. Et si… Et si papa… Me redressant en poussant la couette, je me mis a hurler de tout mes poumons voulant aller en bas pour voir mon père. Il ne pouvait pas partir lui aussi, il ne pouvait pas nous abandonner. Non, non ce n’était pas possible ! Mes frères me retenant l’un des deux, lequel je ne saurais le dire, plaqua sa main sur ma bouche. Le mordant avec force, je me débattais pour rejoindre mon père en bas qui avait besoin de nous. Me tirant les cheveux et me foutant une gifle pour me calmer je les laissais faire en gémissant de douleur les larmes coulant le long de mes joues. Je ne voulais pas perdre mon père, pas lui, pas l’une de mes raisons de vivre ! Me calmant au bout d’un moment comprenant que je n’arriverais pas à me défaire de l’emprise de mes frères. Ne bougeant plus en restant sous la couette, je ne saurais dire combien de temps se déroula alors que l’on restait silencieux dans le lit de Sergio. Lorsque la porte s’ouvrit, nous ne bougeâmes même pas. « Les enfants ? Vous êtes là ? » Poussant la couverture et mes frères, je fus la première a sauter du lit allant dans le vide pour atterrir dans les bras de mon père me mettant alors a pleurer tandis qu’il me serrait d’un bras prenant mes frères dans ses bras nous écrasant contre son torse avec lui. « Faites vos valises. On s’en va d’ici. On file dans une autre ville. Prenez le strict minimum. Les vêtements les affaires d’écoles et quelques jouets… Rien de plus et dépêchez-vous ! Zeppelin je vais t’aider à faire ta valise ma chérie. » Lâchant mes frères pour partir de la chambre m’embarquant alors avec lui Posant ma tête sur son épaule en suçant mon pouce, je sentis sa main tirer sur la mienne. « Cesse de sucer ton pousse ma chérie, ce n’est pas bon pour tes petite dents tu le sais, combien de fois je te l’ai dit ? » « Mais j’aime sucer mon pouce papa… » « J’en ai rien à faire, ne le fait plus … Evite au maximum… » Inspirant doucement entrant dans la chambre, il me posa sur le lit, tandis que je me laissais tomber sur celui-ci croisant mes jambes en attrapant ma peluche la prenant dans mes bras le regardant alors faire mes valises. « On prend ta tenue de danse bébé ? Tu voudras continuer ? » Hochant la tête pour répondre oui, je le laissais faire en contemplant mon père. Pourquoi on partait ? Je n’en savais rien… Le laissant prendre toute mes photos de maman je souris faiblement en inspirant doucement m’installant alors sur le bord du lit en le regardant longuement. « Papa ? C’est quand que je serais vraiment grande comme toi ? » Se tournant vers moi en haussant un sourcil il reprit le rangement « Dans onze ans… quand tu auras dix huit ans… Pourquoi ? » « Dans onze ans, je pourrais me marier avec toi papa ? Je t’aime. » Le regardant se tourner a nouveau vers moi en souriant il s’approcha de moi pour me prendre dans ses bras me serrant très fort moi-même faisant de même avec ma force de mouche déposant un baiser sur sa joue en souriant franchement. « Ma puce, je suis ton père tu ne peux pas épouser ton père, plus tard tu… trouveras un garçon et tu l’aimeras et ça sera lui que tu épouseras. » « Mais… Comment je saurais que je l’aime ? » « Quand ton cœur s’emballera, quand tout ton corps tremblera et aura comme des fourmillement, que ton regard sera attiré par cette personne… tu auras chaud, très chaud, tu te sentira surement rougir… Et quand cette personne te parlera tu seras aux anges… » « Aux anges comme maman ? » « On peut dire ça… Oui. Mais… Ce n’est pas parce que tu aimeras ce garçon… Ou… Cette fille… que tu dois te donner à lui ? » Fronçant les sourcils je le regardais longuement sans comprendre. « Papa ! Tu parles comme un grand ! » « Pardon… Et bien… Tu sais… Ce que font, un garçon et une fille pour… Rah mais tu es trop petite pour que je te parle de ça ! » « Tu parles de faire des bébés ? On ne le fait pas que pour faire des bébés ? » « Que sais-tu sur ça toi ? » « Nino m’a expliqué ! Alors le garçon met le zizi dans le sexe de la fille et il fait pipi et le bébé il se créait et apres la fille elle le sort ! » Me regardant longuement surpris il haussa doucement les épaules. « Ok… C’est un peu ça, sauf que le garçon ne fait pas pipi non… Il… il met une graine ! Mais c’est pas ça le souci chérie… On ne fait pas ça que pour faire des bébés… On le fait par plaisir… Promet moi de rester vierge jusqu’à tes dix huit ans… Et plus même ! Et de ne pas te donner a n’importe quel garçon… d’accord ? » « D’accord papa. Dis, dis, dis, on peut prendre a manger ? Beaucoup hein ! J’ai faim ! » Riant en déposant un doux baiser sur le bout de mon nez il me posa sur le sol finissant de faire mes valises avant de les sortir de la chambre. Nous allions partir pour un autre monde, un monde meilleur. Ou pas.

« Hey ! Hey, petite range moi ça et vite ! » Attrapant mon paquet de gâteau que je tenais et le gâteau que j’étais en train de manger, la servante, femme de ménage enfin bref la femme a tout faire que notre père embauché, me les prit. La regardant stupéfaite, je fronçais les sourcils en tournant un vague regard vers mes frères qui eux me regardaient de façon désolés avant de se détourner pour se replonger dans leur console. Assise sur le lit attendant mon tour de jouer j’avais juste prit un paquet de gâteau dans la cuisine, rien de bien méchant ! La voyant partir, je me pinçais ls lèvres en essayant de me canaliser. Sentant la main de mon frère sur mon épaule, je lui assénai un regard des plus noir en cherchant a me contrôler. Plus je vieillissais et plus je devenais mauvaise et méchante. A tel point que mon père était souvent convoqué à l’école pour entendre dire la maitresse que j’étais violente, perturbante et horrible avec tout le monde. Chose qui était tout a fait faux à mes yeux. Je n’étais pas non plus super méchante… J’étais moi, j’étais simplement une fille de huit ans qui cherchait à vivre sa vie et qui… Etait comme elle était ! C’était eux qui n’étaient pas comme moi et puis c’est tout ! Pour moi j’étais tout ce qu’il y a de plus normal. « Laisse là, tu avais trop mangé de toute façon, Zep tu manges trop… Le docteur à dit que si tu continuais a vomir autant ta gorge et tes dents allaient se dégrader… Tu ne veux pas de ça ? » « Mais j’ai ce besoin de manger… J’ai faim, je ne le contrôle pas, tu sais que quand je stresse j’ai besoin de manger… Comme Sergio de faire du sport ! » Tournant un vague regard vers mon autre frère je soupirais faiblement. Le docteur m’avait déclaré boulimique. Je ne l’étais pas ! Je ne me faisais pas vomir ! Je vomissais car j’avais trop mangé ! Là, était toute la différence à mes yeux… Mais a vrai dire je m’en fichais un peu, je faisais ce que bon me semblait je n’avais pas d’ordre à recevoir de gens qui n’était pas de ma famille et encore moins d’une servante qui n’était pas ma mère et qui se croyait l’être ! En plus elle était toute vieille et moche ! Un vieux crouton autant qu’elle se tire ! En plus sa robe à fleur était moche et elle puait ! Je ne l’aimais pas ! Je n’aimais pas qu’elle nous fasse à manger qu’elle nous ordonne de faire ci et pas ça, que l’on doive porter tel chose et pas autre chose ! Et si je voulais porter une jupe courte ? C’était mon problème ! Elle me faisait toujours porter des jeans… hors maman disait toujours qu’une femme est belle lorsqu’elle s’assume et qu’elle porte de jolie robe ! Je portais toujours des robes avec ma maman ! Les photos étaient là pour en témoigner ! Je n’aimais pas les jeans ! Regardant mon jean je me levais pour l’enlever sous le regard de mes frères qui se demandaient ce que je faisais avant de partir dans ma chambre pour mettre ma petite jupe ample a carreau qui m’arrivait au dessus des genoux. Allant en bas voyant l’espèce de sale vieille morue, je filais dans la cuisine sans faire de bruit ouvrant le frigo pour prendre des pâtes puis des yaourts commençant alors a manger les deux en même temps sans même me soucier du fait que ce n’était pas normal… La voyant arriver je pris le tout pour partir en courant à travers la maison continuant de manger en courant. « Zeppelin Nirvanà Redeccini ! Reviens ici et lâche ça ! » « Va te faire foutre sale vieille ! » « Pardon ?! Excuse toi et tout de suite ou je rapporte à ton père ! » « Non crève ! Je ne m’excuse pas auprès des crevards ! Sale balance ! Traitre ! T’es pas ma mère t’es rien pour moi sale morue toute fripé ! » courant dans toute la maison faisant tomber les chaises a travers la pièce pour ne pas qu’elle me rattrape je lui jetais même le pot de yaourt en verre dessus une fois vide en riant de plus belle. Retournant à la cuisine pour poser le plat de pâte a la sauce de tomate je tirais les tiroirs pour prendre des gâteaux tandis qu’elle s’empara de mon bras me le tirant avec force. « Espèce de sale petite peste ! Tu vas voir moi je vais t’apprendre les bonnes manières ! » Attrapant le plat de pâte encore plein je le lui renversais en plein visage la frappant avec le plat par la suite. Me lâchant je lui assénais un coup de pied dans les jambes. « Laisse moi tranquille j’ai faim ! » hurlais-je en cherchant les gâteaux. Ou elle les avait mis. Ou avait-elle mis les gâteaux ? L’entendant crier de douleur elle m’attrapa une nouvelle fois me tirant cette fois bien trop fort pour que mes mains restent attaché aux poignets. Me trainant dans toute la cuisine, j’essayais de m’agripper a tout ce qui me venait sous la main, attrapant alors le couteau de cuisine. Sans même réfléchir je levais la main qui tenait fermement le couteau la frappant dans le bras. Son cri était terrible. Strident et terrifiant. Mes frères arrivant je vis alors le sang couler. Lâchant le couteau en voyant sa peau toute coupée je plissais le nez en ayant des images bien trop douloureuses en tête. L’ainé s’occupant de la vieille qui pleurait comme un enfant, moi je restais devant elle avant de filer pour ouvrir le frigo prenant à boire buvant tout en la regardant. « Tu es un petit diable ! Ton père va te faire la correction. » « Ta gueule ! » « Zep… Tu devrais arrêter… » « Elle est pas ma mère cette vieille ! Elle est rien ! Elle n’a pas d’ordre à me donner je fais ce que je veux quand je veux et ou je veux ! Et si je veux manger et bien je mangerai ! Et si je veux porter une jupe je la porterai ! » « Une fille avec des jupes si courte dans notre pays ? Tu fais simplement pute petite ! Tu veux racoler tous les garçons du quartier ! » La regardant longuement bouche bée, elle venait d’insulter ma mère en même temps. C’était ma mère qui m’avait toujours mis en jupe… Serrant la mâchoire sans qu’elle ne s’y attende je lui explosai la bouteille en plein visage, les cris fusant alors que je me mis a la frapper avec tout ce que je pouvais. Poings, pieds… J’y mettais tout mon cœur en hurlant de rage jusqu’à ce que je reçoive une claque tellement forte que ma tête et mon corps firent un tour rapide. Croisant le regard de mon père, choquée qu’il m’ait frappé pour la première fois de ma vie je le poussais avant de partir en courant. « Je te déteste ! T’es plus mon père ! »

Si la vie est dure ? bien sur qu’elle l’est ! Encore plus quand on a que huit ans… ça c’était bien entendu ce que je disais, car franchement ma vie n’était en rien compliquée ou dure ou dieu sait quoi. Enfin, pour d’autre elle serait tout bonnement affreuse, mais pour moi elle était normale, ma vie était normale oui… Un père dans la mafia, une mère morte sous mes yeux, je poignarde mes gouvernantes, ou est le mal ? Amen mon frère… Je suis une fille tout ce qu’il y a de plus sainte ! Non ma vie n’était vraiment pas à plaindre loin de là. Du haut de mes petit huit ans, je n’avais encore rien vu ni vécut de la vie alors bon… Autant ne pas porter de jugement hâtif. Nous vivions dans la belle ville de Catania depuis maintenant quatre mois. C’était à l’autre bout de l’île, ça ne nous changeait pas des masses, la maison était approximativement la même forme que l’ancienne, nos chambres en haut, celle de mon père en bas… bref, une maison comme l’ancienne quoi, notre père avait fait en sorte de ne pas nous faire trop de changement et on ne pouvait que l’en remercier pour cela. Notre père faisait tout pour notre bien à nous … Même si depuis quelques temps je ne lui parlais plus lui faisait atrocement la tête depuis qu’il avait osé lever la main sur moi. Je lui faisais payer le fait qu’il ait prit la défense de cette femme et pas de la mienne ! Moi qui était sa fille, sa petite chérie, son petit bébé et j’en passe, c’était une trahison importante ! Une trop grande trahison même a mon gout ! Et il méritait franchement d’être puni ! Oui puni pour toujours même ! « Zep ? Zeppelin Hého tu m’entends ? » Relevant un regard vers mon frère, je serrais un peu plus sa main dans la mienne me dirigeant alors vers le lycée pour aller rejoindre Nino… Quel idée aussi d’avoir deux ans de plus par rapport aux autres ? il n’avait que quinze ans et été déjà en terminal… Soit dernière année de lycée… alors que moi j’étais encore au primaire et Sergio au collège. Le sac sur les épaules on marchait tranquillement dans les rues de la ville. « Hum quoi ? » demandai-je doucement en regardant autour de nous les gens qui marchait, sortait du travail et ainsi de suite, une vie normal quoi. « Tu crois que papa il va me tuer d’avoir fait l’école buissonnière aujourd’hui ? » Inspirant longuement, je haussais les épaules ne sachant pas quoi répondre. « T’es pas obligé de le lui dire non ? » « Ils vont l’appeler non ? Ou envoyer une lettre… » « Je ne sais pas trop… Je ne pense pas qu’il te punisse, il préfère bosser que s’occuper de nous de toute façon… » soufflai-je en serrant ses doigts dans ma main nos mains entrelaçaient. Tournant dans une rue en gardant alors le silence, surement en train de penser à comment faire pour ne pas que notre père découvre qu’il n’était pas allé à l’école, je regardais le ciel bleu, sans aucun nuage tout en restant silencieuse. La ruelle était vide, ou presque, il était seize heures, une heure assez normal, les gens travaillaient, d’autre finissaient le boulot, tout dépendait du travail… Et nous, nous étions là a marcher pour rejoindre le lycée du grand frère. Entendant du bruit non loin de nous, des gens hurlaient à tout va. Croisant le regard de mon frère j’haussais lentement les épaules signe qu’on s’en foutait, les gens faisaient bien ce qu’ils voulaient après tout non ? Avançant toujours vers le bout de la rue, passant devant une autre ruelle, les cris cessèrent avant de faire place à des tirs d’arme. Me figeant en hurlant je n’eu le temps de rien comprendre. « Attention ! » Mon frère m’attrapant pour me sortir de devant la ruelle, on se mit a courir alors pour échapper au tir quand tout a coup d’autres tirs se firent entendre. Mon oreille sifflant, la balle ne passant pas loin de ma tête, je poussais un hurlement de peur avant que mon frère ne me plaque au sol se mettant alors sur moi me couvrant de tout son corps. Roulant sur le sol cherchant a se cacher ou dieu sait quoi nos regards se rencontrèrent avant que les armes se rapproche et mon frère se figent. Recevant quelque chose de dur et chaud dans le ventre je hurlais de douleur comme jamais je n’avais hurlé. On m’avait tiré dessus, on m’avait tiré… dessus ! Regardant mon frère, ses yeux d’un vert identique au mien effrayé me regardèrent longuement du sang sortant alors de sa bouche. Non… Non… Les tirs continuant, j’entendis des voix, ne comprenant rien tant j’étais surprise, choquée, ahurit de voir qu’on venait de nous tirer dessus. Ne bougeant plus comprenant le regard de mon frère je sentis du liquide chaud sur mon corps, la douleur qui empoignait mon ventre me fit quelque peu trembler. Entendant les gens partir nous restâmes alors tous les deux dans cette ruelle, le corps de mon frère se faisant de plus en plus lourds alors qu’il crachait du sang par la bouche. « Sergio ? Sergio… Tu vas t’en tiré d’accord… On va s’en tirer… Je t’aime Sergio… Je t’aime… » Soufflai-je en pleurant essayant de bouger mes bras pour caresser son visage. Respirant avec difficulté je poussais doucement son corps l’entendant tousser fortement faisant gicler sur mon visage. « Zep… Tu… Dis pas de connerie, je vais … Crever… » « Non…. Non… Tu es fort, tu ne peux pas… Sergio… » Criant de douleur en portant ma main a mon ventre, du sang en coulait me sentant alors franchement pâlir sous le coup. Ce sang… Non… Toussant à mon tour en crachant du sang, je me mis à pleurer franchement en prenant mon frère dans mes bras. « Zeppelin, tu diras à papa que je suis désolé hein… Et… A Nino, dis lui que j’ai planqué le jeu sous la latte du parquet a coté de ma porte… et… Et que je les aime… Et toi… Toi aussi je t’aime soeurette, je… occupe toi bien de Nino et de papa… Et… Frutti ! N’oublie pas ma peluche hein ? Notre peluche qui nous a suivis partout… Je… » Secouant la tête en pleurant de plus belle je tremblais de plus en plus ayant froid. « Non, non ne me dis pas ça… pas ça… S’il te plait… Je t’aime… Je… » toussant a nouveau je me sentis alors partir en avant, l’inconscience ayant raison de moi.
« Charriot de Réa ! Vite ! Il nous lâche ! » entrouvrant un œil cherchant a bouger doucement je poussais le masque qui était sur ma bouche tout en toussant quelque peu. « Elle est réveillée ! La petite bouge ! » Gémissant fortement en cherchant a me relever je sentis des mains sur mes épaules m’en empêchant. Le plafond était blanc, trop blanc à mon gout, tout était flou… Trop flou… « Ton prénom ? Comment tu t’appelles ? Et le garçon qui était avec toi ? Nous n’avons rien trouvé sur vous… Il faut prévenir vos parents… » « Notre mère est morte… » Soufflai-je sans savoir quoi dire d’autre, ne comprenant pas réellement ce qu’il disait. Tournant le visage je cherchais Sergio du regard en entendant un bip intense, un bip qui se faisait trop long comme dans les films lorsque que le cœur cesse de battre. Le mien ? Non, je respirai encore… Sergio ? Je n’en savais rien, je ne comprenais plus rien, je ne savais pas quoi faire, tout était flou dans ma tête, tellement flou… « Et ton père ? » « Gino… Redeccini… Je… ou est mon frère… » Soufflai-je en perdant une nouvelle fois connaissance.
Sursautant franchement en me redressant, je me mis a hurler en arrachant le masque de sur mon visage voyant des tuyaux partout je les arrachais en criant de plus belle, paniquée comme jamais je sentis des bras m’encercler et me coller contre le lit avec force. « Zeppelin, tu m’entends ? ne bouge pas, il faut que tu restes en place, tu es à l’hôpital, tu es sous dialyse. Il ne faut surtout pas que tu enlèves les tuyaux, reste calme… Reste…. Apportez des calmants ! Vite ! » Bougeant de plus en plus en la frappant je hurlais de plus en plus en la regardant paniquée, ne sachant même pas ce qu’était que ce mot. Dialyse ? C’est quoi ça ? Je me le demandais bien… Criant de plus en plus en me débattant, je bougeai les bras et le visage pour ne pas qu’elle remette le masque sur mon visage avant de voir un homme en blouse blanche grand, très grand s’approcher de moi pour sentir alors une piqûre sur mon bras avant d’arrêter de bouger poussant un faible cri en me mettant a pleurer comme une idiote. Je voulais simplement voir mon frère, Sergio, ou était il ? Est ce qu’il était vivant ? Je voulais mon frère, je voulais l’une de mes raisons de vivre… Mon frère.

« Tu crois qu’elle va se réveiller ? » « Elle ne peut que se réveiller… J’ai confiance en elle, il faut qu’elle se réveille… » « Et Sergio ? Il est dans le coma lui aussi, pourquoi aucun des deux ne se réveillent ? Papa… Ils venaient me chercher au lycée… Je leur avais demandé de venir pour qu’on rentre tous les trois ensembles… Je n’aurais pas du… » « ne te sens pas fautif Nino… C’est du pur hasard… Je les vengerai… Nous sommes tous sur la piste du gang qui a fait ça… Ils vont le payer cher… » « Papa… Tu ne peux pas régler tout le temps les affaires avec la mafia… »[/color] « J’ai que ça pour les retrouver alors laisse moi faire… d’accord ? Je vais faire payer à ces gens d’avoir tiré sur deux de mes bébés ! J’ai perdu ta mère, je ne veux pas perdre un de mes enfants… » « Papa… On devrait rentrer il se fait tard, aucun des deux ne se réveillera aujourd’hui… »

« Nirvi… ça fait quinze jours… quinze jours que tu es endormie… Tu es tel un ange quand tu dors, tu le sais ça ? Quinze jours sans toi c’est long… Ta voix me manque, même tes crises de nerfs ! Bon dieu que j’aimais quand tu plisses ton petit nez en fronçant les sourcils pour me répondre d’une voix colérique ! Je vendrais tout ce que j’ai pour te revoir faire ça… Tu as les même mimiques que ta mère à la vérité… En toi je retrouve ma femme… je t’aime tellement… Tu manques aussi beaucoup à Nino, il parle tout le temps de toi… Il fait même tes plats préférés… On a même étudié le régime que tu vas devoir suivre pendant ton attente de greffe de rein… Ne t’inquiète pas, il te faudra simplement supprimer tous le sel… ça va toi tu es sucré… On s’est même plié au régime, on l’a commencé sans toi pour te prouver qu’on te soutient à fond ma princesse chérie ! Ton taux de créatine est super tu peux vivre même sans le rein encore un moment avant que la greffe ne soit nécessaire. Tu as de la chance… Nous avons fait les tests avec Nino… Nous ne sommes pas compatible… Mais… Sergio l’est… et… Tu vas recevoir son rein… Très bientôt… A vrai dire dans … Quelques minutes. Je… Nirvanà chérie… Sergio nous à quitté aujourd’hui… Je ne sais pas si tu m’entends ou pas… Mais… Je… Ne sais pas quoi faire. Il est… était si jeune… Onze ans… J’aurais tellement aimé… qu’il vive, qu’il se réveille… S’il te plait ne me quitte pas toi aussi, je ne le supporterai pas… Je t’aime ma princesse… Je veux te voir grandir, je veux être grand père m’occuper de toi, de tes enfants, je veux être présent dans ta vie ma choupette... » Plusieurs heures plus tard après l’intervention. « Zeppelin… Tu as deux reins ! Tu es… resplendissante, ok tu dors toujours mais… Tu es belle, ton corps se sent mieux et ça se voit. Bon en fait tu es… Affreusement maigre, tu as perdu près de dix kilos, on te voit les os sur les joues, tu es squelettique ! Mais bordel que tu es belle contrairement à il y a deux jours. Sa craint si tu m’entends, toi qui aime être une petite fille coquette et belle… tu tiens ça de ta mère aussi. Tu tiens beaucoup d’elle, c’est tout à fait normal… tu es… Nirvi ? Tu… Nirvi tu m’entends ? » Bougeant doucement le visage en déglutissant longuement la gorge totalement asséché, j’entrouvris la bouche en inspirant fortement cherchant alors a pousser le masque que j’avais sur le visage en gémissant longuement. Le masque s’enlevant grâce à mon père et non moi-même, je cherchais à ouvrir les yeux, mes paupières étant réellement lourde. Toussant franchement m’arrachant la gorge, je portai ma main à celle-ci. « Boire… J’ai soif… » Murmurai-je d’une voix a peine audible. Entendant du bruit dans la chambre je sentis rapidement un verre contre mes lèvres et de l’eau en sortir. Redressant ma tête pour boire j’avalais a grande goulée tout en prenant mon temps, ma gorge m’arrachant violemment. « Ma puce, tu es réveillée ! Tu es réveillée. » Inspirant longuement en clignant des yeux la lumière m’aveuglant sous le coup. Essayant de me redresser, je l’écoutais me parler, comprenant à moitié ce qu’il me disait, appelant les infirmières pour les prévenir, puis Nino, des tonnes de gens venant dans ma chambre, je les laissais m’examiner alors me palpant le ventre a tout va m’arrachant des cris de douleurs. Me montrant quelque peu mauvaise en cherchant à les frapper, j’entendis mon père rire, disant qu’il reconnaissait bien sa fille là. Bla, bla… Je décrochais totalement de la conversation, jusqu’à ce que j’entende mon frère ainé entrer dans la pièce, Nino. Ouvrant enfin les yeux je croisais alors son regard. Il pleurait. Le regardant sans pleurer, je déglutis longuement en détournant le regard en inspirant longuement. « Ou est Sergio ? » Demandai-je doucement d’une voix quelque peu rouillée, ayant même du mal à me reconnaitre sous le coup. Les voyant se regarder, je fermai vaguement les yeux en riant nerveusement sans pouvoir m’en empêcher. Il était mort… Il était… Pleurant franchement sans pouvoir me contrôler j’inspirai longuement en posant mes mains sur mon visage pour essayer de m’en remettre, même si je savais que c’était tout bonnement impossible. « Il s’excuse d’avoir fait l’école buissonnière papa… Et il t’aime… Quand à toi Nino, ton jeu vidéo est planqué sous une latte de son parquet dans sa chambre a côté de sa porte… et il t’aime aussi… Je… Il vous aime très fort… » Dis-je doucement avant de crier franchement sous la tristesse que je ressentis en moi. Je venais de perdre un second membre de ma famille.

« Aujourd’hui je suis allée à l’école… C’est d’un naze… Franchement pour le coup tu rates rien, vraiment je t’assure… Mademoiselle Vixenti est chiante, elle est horrible ! En plus elle n’arrête pas de me regarder de son regard de pitié tout ça parce que tu es mort. Elle me gonfle, je ne suis pas une petite chose toute fragile… ça fait deux ans maintenant… Ok, tu me manques, atrocement Sergio, tu me manques comme jamais, mais… J’ai su m’en remettre plus ou moins… Je ne sais pas ce que te dis Nino sur moi… Ou bien même papa, mais ne les écoute pas s’il te plait… Je ne suis pas devenue folle ! Ni une sale garce ! Je n’insulte pas mes professeurs et je ne frappe pas les gens à tout va… Bon, d’accord c’est un mensonge mais… Je n’y peux rien moi si je suis comme ça, j’ai toujours eu ce caractère, le sang chaud, j’ai besoin d’extérioriser ce que je ressens… Je ne peux pas m’empêcher de faire ma chieuse comme tu aimais tant dire et ma capricieuse… Je sais que c’est mal, je te jure j’en suis consciente, affreusement consciente, mais c’est plus fort que moi… Je me dois d’être comme ça… Pourtant une fois que j’ai fait mon caprice ou autre je culpabilise, je me dis que tu ne dois pas être fier de moi là ou tu es… Mais … C’est vital… Pardonne-moi Sergio… Oh tu ne devineras jamais qui est avec moi ! Frutti ! Notre peluche chérie ! Oui elle me suit un peu partout, je dors avec, je vis avec le vais a l’école avec… J’ai beaucoup de mal a me séparer d’elle… Je porte même des fringues à toi… Papa dis que je devrais les jeter car sinon je ne ferais que penser à toi, mais moi, je m’en fous, je t’aime, je ne veux pas t’oublier… Il y a plein de photo de toi maintenant dans ma chambre, tu es aux cotés de maman. Au fait, j’espère qu’elle va bien ? Que tu l’as retrouvé ? Il me tarde tellement de vous revoir… De vous prendre dans mes bras… Je m’en veux tellement c’est moi qui devrait être en haut et pas vous… » « Zeppelin ! Arrête de dire ça ou on rentre de suite ! » Fronçant les sourcils en me tournant dos à la tombe je vis alors mon frère en posant mes mains sur ma taille. « Dégage ! Tu vois pas que je parle a notre frère ! Je t’avais demandé d’aller plus loin ! » « Je suis loin ! » Pinçant mes lèvres en m’avançant plus sur la tombe de mon frère, je montais dessus en posant ma tête sur la dalle en inspirant longuement. « Il m’énerve ! Depuis qu’il a dix sept ans, il ne se sent plus… La fac et tout ça, ça ne le réussi pas crois moi tu ne rate rien là aussi… Bref, donc je disais quoi moi ? Sergio tu me manques… J’ai tellement envie de te prendre dans mes bras, de chanter, danser à tes côtés, dormir avec toi… Tout ça, ça me manque… J’aimerai tellement me dire que c’est un rêve, que je vais me réveiller et que tu seras là a me traiter de chieuse mais à m’aimer quand même… Mon frère, ma raison de vivre…C’est plus pareil sans toi. J’entends plus toi et Nino vous battre pour savoir lequel a gagné, lequel a triché pour gagner…Bref, vos chamailleries quotidienne quoi…. Tout ça me manque et… » Me stoppant en pleine parole, je posais rapidement ma main sur ma bouche me figeant violemment les larmes montant a mes yeux pleurant alors franchement sans pouvoir me retenir. La bouche entrouverte, les larmes coulant le long de mes joues, je ne pus m’empêcher de pleurer, pleurer et encore pleurer à tout va me vidant alors de toutes mes larmes en chialant comme une idiote. Secouée par des spasmes je me mis à gémir de douleur, une douleur incontrôlable, une douleur au cœur, la perte d’un frère bien trop absent à mes yeux depuis deux ans. Sentant les bras de mon frère m’encercler me serrant fortement je le pris dans mes bras à mon tour pleurant de plus belle en regardant a présent la tombe de mon frère. Les larmes ne cessant de couler, je sentis mon frère pleurer avec moi fixant alors la tombe toujours, sans pouvoir me détacher un seul instant de celle-ci. Tendant les bras pour la toucher, Nino nous déplaça franchement contre la dalle la prenant alors dans nos bras comme si nous étions en train de faire un câlin a trois comme au bon vieux temps. Essayant de nous calmer, plus moi que lui, j’inspirais longuement en fermant les yeux m’allongeant sur la tombe tout en m’endormant quelque peu. Combien de fois je passais mes après midi sur cette tombe a parler, parler et encore parler ? Je me le demande bien… Trop souvent d’après papa, mais moi je m’en fichais, Sergio me manquait atrocement… Reniflant a nouveau prise par une nouvelle vague de pleure, j’éclatais a nouveau en sanglot en me mettant a hurler franchement en me redressant pour frapper la tombe comme pour passer mes nerfs sachant pertinemment que ça devrait être ma tombe, et pas la sienne…

Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence 30naoh4

« Mademoiselle Redeccini ! Pouvez vous me répéter ce que je viens de dire ? » tournant un vague regard vers la professeur de Mathématique, je lui fis un franc sourire, sentant alors quelques regards se tourner vers moi. J’étais bien plus intelligente qu’elle ne le croyait… Tout le monde, du moins les professeurs me traitait de cancre, de nulle que je ne ferais rien dans la vie, et pourtant j’avais de bonne note à l’école, on ne pouvait pas dire que j’étais nulle… Mais d’après eux, je trichais… Hors je ne trichais pas… J’avais du refaire pas mal de contrôle… et j’avais eu les même notes pourtant, ça ne les avais pas dissuadés pour autant… Inspirant en la regardant longuement, je tournais un vague regard vers le tableau en penchant doucement la tête, enroulant alors mon index dans une boucle de mes cheveux. « Bien sur… Le carré de l’hypoténuse est toujours… » « D’accord c’est bon… Cesse de parler avec ton voisin et de le perturber ! » Mon voisin qui avait deux ans de plus que moi, tout ça car il avait redoublé… Deux ans de plus soit, quatorze ans. Autant dire assez mature pour un garçon, et assez mature pour le chauffer un tant soit peu. Souriant en coin sans rien répondre, je me laissais tomber dans le fond de ma chaise en posant mes mains sous la table, l’une d’elle allant sur la cuisse de Giovanni. Souriant en coin en le regardant du coin de l’œil, je me laissais tomber un peu plus dans la chaise m’affalant en caressant longuement sa cuisse. Depuis peu j’étais devenue ce genre de fille qui se la pétait, le genre de fille qui chauffait les hommes rien que pour leur faire tourner la tête. Mais contrairement aux autres filles je ne faisais rien… Non une fois bien excité je les laissais en plan en me tirant… Beaucoup de garçon me faisait une sale réputation, d’autre disaient que j’étais dur à avoir… Mais c’était ça qui était bon. Je n’étais en rien le genre de fille qui couche super méga tôt, non, bien au contraire, j’avais fait une promesse à mon père et je la tiendrais comme jamais je n’avais tenu une promesse, je voulais qu’il puisse être fier de moi tout simplement… oui tellement fier de moi. Je voulais qu’il puisse me regarder droit dans les yeux en me disant simplement qu’il aimait que je sois ainsi et pas autrement. « Mademoiselle Redeccini !! Qu’est ce que je viens de dire à toute la classe ? » sursautant quelque peu en relevant un regard franchement mauvais vers elle en enlevant ma main de sur la cuisse de mon voisin je fronçai les sourcils en cherchant ce qu’elle venait de dire, sachant que cette fois ci j’étais réellement plongé dans mes pensées… Réfléchissant longuement en croisant son regard je souriais faiblement comme si je n’avais plus que ça à faire. « J’en sais rien, et je m’en fous… » Dis-je en haussant les épaules lui lançant un franc regard mauvais. « Très bien, Zeppelin, Deux heures de colle pour m’avoir répondu, plus deux heures pour ne pas avoir écouté en cours. » « Tu n’as pas l’impression d’abuser là ? Abus de pouvoir sale vieille… » Dis-je en me redressant sur ma chaise lui lançant un regard franchement mauvais. « Quatre heures de plus pour toi Zeppelin ! » Passant lentement ma langue sur mes dents, la passant par la suite sur l’intérieur de ma joue, essayant de me contrôler, comme l’aurait voulu Sergio, je me levais lentement en rangeant alors mes affaires dans mon sac tremblant avec violence, l’envie de la buter étant présente, mais l’envie, la forte envie de manger était aussi là. « Rassis toi ! Tu restes en classe ou j’appel le directeur ! » Prenant mon sac le posant sur mon épaule un sourire ravageur au bout des lèvres en m’avançant vers elle, étant au dernier rang, une pulsion s’empara de moi donnant alors un franc coup de pieds dans son bureau celui-ci glissant sur elle, la faisant tomber. « Va te faire foutre salope ! » Soufflai-je en lui crachant dessus avant de partir de la classe claquant alors la porte avec force, le bruit résonnant dans tout le couloir. Partant en courant pour sortir du collège en toute hâte, je croisais alors une surveillante, celle-ci me hélant. Comme si j’allais m’arrêter ! Courant de plus belle en posant une main sur mon ventre ayant légèrement mal, je pressais lentement ma main sur mon rein allant vers le portail de sortie. Balançant le sac de l’autre cote je sautais sur celui-ci l’enjambant sans aucun souci. Sautant dans le vide une fois de l’autre coté du portail je me tordis quelque peu la cheville attrapant mon sac pour partir en courant a nouveau celle-ci me lançant alors comme jamais. Prenant la direction du cimetière j’inspirais sans trop de difficulté en zigzaguant a travers les gens et les voitures traversant les rues sans faire attention, entendant même parfois des gens freiner rapidement, faisant crisser les pneus. Que je crève ! Je le méritais surement… Arrivant au cimetière après une longue course à travers la ville je crachais mes poumons en me laissant tomber sur la tombe de mon frère, prenant alors la dalle dans mes bras en gémissant fortement. Les fleurs que j’avais amenées la semaine dernière étaient déjà fanées. Il fallait que j’en amène d’autre et ça urgeait même… Lâchant mon sac a nos côtés j’inspirais fortement en posant son front sur le haut de la dalle en regardant les inscriptions sur la tombe. Sergio Vito Redeccini, un fils, un frère parti bien trop tôt. Inspirant longuement en caressant doucement la tombe du bout de mes doigts je fermai lentement les yeux en tremblant fortement. « Sergio… Sergio, je suis pire qu’une chieuse, je suis une vraie garce… Je suis de pire en pire ! Je…. J’insulte les gens dès qu’on me montre un tant soit peu d’autorité… Je deviens mauvaise… Tu crois que je dois continuer dans cette voie ? Tu crois que… Je dois au contraire changer ? Dis-moi quelque chose, aide-moi, s’il te plait… Je me sens tellement perdu… quatre ans sans toi… Tu me manques… Je ne sais pas quoi faire … » Attendant un signe je séchais rapidement mes larmes en regardant autour de nous, ou de moi plutôt ne voyant rien. « Tu ne m’aides vraiment pas là… Sergio ! » Pinçant les lèvres en soupirant longuement, je virais rapidement les fleurs fanées de sur la tombe lorsqu’un frisson s’empara de moi. Baissant un vague regard sur la tombe, je souriais faiblement ayant eu la sensation d’avoir eu ma réponse. « Je t’aime frérot ! Merci de ton aide, je sais ce que je dois devenir… »

« Tu sors ? » Regardant mon grand frère, Franchement bien habillé, bien coiffé, même parfumé ! Je le détaillais d’un regard des plus intense allongée sur son lit les jambes frappant mes fesses, mes coudes sur le lit ma tête tenue par mes mains. Vendredi soir, il était plus de vingt et une heure et nous étions seuls dans la maison, oui notre père étant toujours au boulot. Je le voyais de moins en moins et c’était on ne peut plus frustrant, frustrant dans le sens ou il me manquait et que j’avais terriblement besoin de lui dans ma vie. « Oui, je ne rentrerais pas avant cinq, six heures, donc pas de connerie… Fou pas le feu… Ou ne tue pas le voisin… » « Haha, je suis en train de me marrer grave… Nino ! Je vais faire quoi toute seule moi ? » « Tu va te coucher ? » « C’est vendredi soir… T’abuse… Je vais encore m’ennuyer… C’est nul que tu sois si vieux ! Bientôt tu auras des rides ! » Riant doucement je le regardais sans rire pour ma part. Soupirant fortement en me sentant totalement seule et délaissée par les gens que j’aimais, je me tournai sur le dos en regardant alors le plafond. Le voyant apparaitre dans mon champ de vision, il déposa un doux baiser sur mon front avant de me tapoter la joue. « J’ai mon téléphone sur moi. Tu m’appelles au moindre problème, je rappliquerai rapidement Zep. » Levant le pouce en l’air pour lui dire ok que j’avais compris, je fermais lentement les yeux en inspirant longuement. Qu’est ce que je pouvais bien faire en ce vendredi soir ? Regarder une émission télé à deux balles ? Regarder un film de peur ? Manger ? Manger était une bonne option… du moins à mes yeux… Me relevant avec une flémingite aigue je descendis lentement les escaliers en allant alors dans la cuisine. Me sortant une assiette et des couverts je me mis à fouiller le frigo sortant tous les plats qui étaient dedans pour les manger. Mangeant assez lentement essayant de prendre mon temps, je me mis devant la télévision pour regarder des émissions toutes aussi débiles l’une que l’autre tout en continuant de manger. Les minutes passant, ainsi que les heures, je me levais pour ranger le tout avant de tomber sur un sachet de drogue de mon père. Il y avait toujours eu de la drogue chez nous… Absolument toujours et jamais nous n’y avions touché… Haussant un sourcil en prenant le paquet je l’ouvris délicatement en prenant une dose rangeant alors le sachet. L’ouvrant lentement je plongeais mon doigt dedans le portant a ma bouche. C’est ça, ça drogue ? Comment il faisait déjà dans ce film… ah oui, une lignée et il aspire… Mon ventre se serrant je regardais longuement la drogue en jetant le sachet dans le placard faisant alors demi-tour avant de me stopper. Et pourquoi pas ? Ne serait ce que goutter... savoir ce que cela fait…. Il n’y avait rien de mal à ça non ? Inspirant fortement en venant récupérer le sachet je le jetais rapidement sur la table de la cuisine avant de fouiller tous les placards a la recherche d’une paille. En trouvant une, je la coupais de façon a ce qu’elle soit bien plus petite m’installant alors sur la chaise renversant le sachet entier de drogue sur la table. Scrutant celle-ci en plissant les lèvres, je ne connaissais strictement rien des doses a faire…. Pif… Ouais au pif… Attrapant un couteau je fis une fine lignée pas trop longue, en tournant par la suite la paille entre mes doigts pensant le pour et le contre. Restant de longues minutes face à la drogue, je me posais plein de question. Pourquoi le faire ? Car j’ai une vie de merde. Voilà la réponse qui m’arrivait en tête… Fermant les yeux sans plus réfléchir je mis la paille dans ma narine et aspira d’un seul coup de le trait de coke avant d’appuyer mon index sur ma narine plissant les yeux en reculant. Bordel c’était fort ! Terriblement fort. La narine en feu me piquant quelque peu je fermais les yeux avec lenteur avant de quitter la cuisine pour échouer dans la chambre de mon père. Me laissant tomber sur son lit, je me mis à me sentir terriblement bien. Une chaleur s’emparant de mon corps, je me mis a regarder le plafond, rêvant totalement me sentant limite voler, comme si j’étais ailleurs dans un autre monde. La tête me tournant lentement je riais doucement. Voilà pourquoi les gens tristes prenaient de la drogue ! Car putain de bordel de Jésus, c’était putain de méga bon ! Le trip total. J’avais l’impression que tout allait bien dans le meilleur des mondes… J’avais l’impression que ma mère était vivante, que Sergio aussi, oui tout était beau, tout était rose, tout était bon. Les malheurs n’existaient pas… C’était tout simplement parfait… Restant des heures sur le lit à colmater grave, je m’endormis sans même m’en rendre compte. Un bruit me réveilla rapidement. Un mal de crâne me laissant comprendre que je n’aurais pas dû me droguer, je mis tout de même à comprendre ou j’étais. La chambre de mon père. Entendant des cris dans la pièce d’à côté soit le salon et la cuisine je me levais tant bien que mal titubant en regardant rapidement le réveil. Trois heures du matin. Nino ? Ou papa ? Ouvrant lentement la porte je vis alors un type et papa se battre avec... Un couteau ? Choquée et horrifiée de voir cela je fermais lentement la porte en me tournant sur moi-même réfléchissant à quoi faire. Que faire ? Appeler la police ? non c’était dérisoire, il faisait parti de la mafia… Fouillant sa chambre ouvrant tous les tiroirs en fouillant partout, je tombais sur une arme a feu. Frissonnant au souvenir des dégâts que nous avait causé ce genre de chose je regardais s’il était chargé, comme si j’avais fait cela toute ma vie, avant d’enlever le cran de sécurité. Ouvrant a nouveau la porte les regardant longuement je plissais les yeux en reconnaissant l’homme. Mario. Mario ? Le tueur de maman ! Serrant les dents, tenant l’arme a deux mains pointée droit sur lui les bras tendu je me stoppais derrière lui en activant alors l’arme, le bruit se faisant entendre les figeant tout les deux. « Pose ce couteau… Tout de suite ! » ordonnai-je d’une voix claquante, sentant mon cœur battre a mille a l’heure, le sang affluant dans tout mon corps. L’arme pointait sur son visage je serrais les dents ne regardant même pas mon père sous le coup. Se relevant sans poser le couteau il affronta mon regard en souriant doucement. « Zeppelin… Tu es très en beauté dans cette petite tenue… Tu as bien grandit… Une très jolie fille… » Serrant les dents en ignorant ma tenue qui se limitait à une culotte et un soutiens gorge je lui fis un franc sourire ravageur. « Bonjour Mario… Au revoir Mario. » Appuyant sur la gâchette sans aucun scrupule, la balle le toucha en plein visage lui explosant le crane, son corps reculant avant de buter le sol dans un lourd bruit. Choquée par ce que je venais de faire je baissais mon arme alors que mon père me regardait longuement tout aussi choqué que moi. Se relevant me prenant l’arme des mains il me prit dans ses bras en me serrant fortement. « Ma puce… C’est finir… Merci… Merci beaucoup… »

Un coup de feu retentit non loin de moi le sifflement se faisant alors franchement entendre à mon oreille. Hurlant comme jamais je me mis à courir de plus en plus vite essayant d’échapper aux tirs qui se faisaient de plus en plus nombreux alors que mon frère me plaquait au sol pour me couvrir. Roulant un long moment, nous retrouvant alors l’un sur l’autre, face a face les coups de feux ne cessèrent me transperçant alors la peau me faisant crier comme jamais. J’étais en plein cauchemar, voilà ce que j’étais en train de faire, un mauvais rêve, comme toujours, pour ne pas changer. Agitée dans mon lit, je bougeais en masse vivant alors a nouveau cette journée affreuse, voyant mon frère cracher du sang par la bouche. Pleurant alors dans le rêve comme dans mon sommeil, je me mis à hurler de plus belle, criant son prénom avec force, ne voulant pas qu’il meurt. Non, il ne devait pas mourir, il ne devait pas mourir. Pas lui, pas mon frère. Une lumière apparaissant dans le rêve, je fus rapidement secouée, alors que j’entendis mon prénom au loin. Sursautant franchement le corps en nage j’ouvris les yeux sans rien comprendre. « Zep, Zep, tu vas bien ? C’est qu’un rêve, un mauvais rêve, réveille toi s’il te plait princesse ! » Regardant Nino choquée, le souffle totalement coupé, je me mis a pleurer, ou plutôt a pleurer de plus belle le prenant alors dans mes bras tandis qu’il fit de même. « Calme toi, je suis là… Je suis là ma puce… je vais dormir avec toi. » Se faufilant dans le lit je montais a moitié sur lui, tandis qu’il me caressa les cheveux séchant plus ou moins ms larmes. Quatorze ans et toujours à faire des cauchemars… Quatorze ans et je vivais toujours un enfer… Deux ans que je me droguais de temps en temps, deux ans que je buvais plus ou moins, deux ans que je me foutais en l’air… Deux ans…

« Maman ? Mamaaaaaaaaan, maman regarde comme je danse bien ! » Hurlai-je pour qu’elle me regarde alors que j’avais mis mon joli tutu rose mes ballerines de couleur orangé virevoltant dans la pièce dansant le sourire aux lèvres, heureuse comme jamais. Mais elle ne se tournait pas, elle ne me regardait pas, pourquoi ? Pourquoi ne bougeait-elle pas ? Sautillant jusqu’à elle, du haut de mon mètre cinquante, je grandissais à vive allure. M’approchant de ma mère posant alors ma main sur son épaule la secouant doucement, son corps tomba tel un objet que l’on pousse dans le vide, tombant dans un bruit sourd et fort. Voyant alors du sang s’écouler de son front, je me mis a hurler comme jamais, portant mes mains a ma bouche ne cessant de hurler. « Zeppelin ! Réveille-toi ! Je suis là ! Je suis là ! » Sursautant violemment, venant a nouveau de cauchemarder je me jetais dans les bras de mon frère en pleurant franchement celui-ci me consolant une nouvelle fois. Les cauchemars se faisaient de plus en plus présents, toutes les nuits… A tel point que je dormais tout le temps avec mon frère dans sa chambre pour ne pas avoir à le faire se lever… je vivais un enfer, un enfer atroce que je ne supportais plus… Je voulais cesser tout cela, ne plus avoir a vivre ça, mais le passé reste le passé et il faisait parti de ma vie, a tout jamais… J’étais damné à vivre l’enfer…


« Je t’aime… » « Je t’aime aussi petite sœur. » « Pour toujours ? » « bien sur pour toujours ! Comment ne plus t’aimer ? » « On ne sait jamais… Je suis une garce, je suis une chieuse, je frappe les gens, je fais des crises de boulimie, je me drogue, je bois, je n’ai que quatorze ans et demi… Et tu pourrais ne plus m’aimer… » « Non… La famille c’est la famille… quoi que tu sois, quoi que tu deviennes, je t’aime et t’aimerai… Je ne peux pas concevoir ma vie sans toi, nous avons assez perdu dans cette histoire… Maman, puis Sergio… Je ne veux pas te perdre… je crois que je pourrais devenir violent, si jamais on te faisait du mal… Tu es ma sœur… Je me dois de te protéger ma puce. » « Tu sais Nino… Je suis heureuse avec papa et toi… Je ne sais pas ce que je ferais sans vous deux… vous m’êtes indispensable… Je ne sais pas ce que je ferais si je vous perdais, je ne m’en remettrais pas… Tu es mon calmant… Mon anti douleur ! » Le voyant se lever sans rien répondre, je le laissais faire en fronçant les sourcils. Qu’est ce qu’il faisait ? Le regardant fouiller dans un de ses tiroirs il revint alors avec un bracelet en argent assez fin, une petite gourmette fine d’enfant. Sa gourmette quand il était petit. Me la mettant au poignet en déposant un doux baiser sur la joue, je la regardais longuement voyant écrit d’un coté sa date de naissance et de l’autre son prénom. « Je te la donne… Tu auras toujours quelque chose de moi sur toi comme ça, je serais toujours avec toi… Je t’aime petite sœur. Tu es ma sœur, ma vie, mon sang, ma chair, je serais toujours là… toujours. » Le regardant les larmes aux yeux je me blottis dans ses bras le câlinant alors fortement tout en m’endormant dans ses bras.



Dernière édition par N. Zeppelin Redeccini le Lun 25 Juil - 13:04, édité 10 fois
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N. Zeppelin Redeccini


And what else ?

Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence Tumblr_lophe4aERc1qc4g8vo5_r1_250

✔ AGE : 19 ans
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 30 mars 1992
✔ CUPIDON : Libre comme l'air mais très amoureuse ...
✔ MON BOULOT : Fille à papa !
✔ MON HUMEUR : fétarde
✔ PORTE(S) BONHEUR : - Le chiffre 6 ! C'est mon porte bonheur.
- Frutti la peluche de mon frère !
- La gourmette de mon autre frère.
✔ MES SURNOMS : Led, Zep, Nirvi, Rinà, et j'en passe !
✔ MA CITATION : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence...
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✔ INSCRIPTION : 21/07/2011
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Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence Vide
MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 7:59


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« Ce qui se passe à Vegas… Reste à Vegas hein ? » Dis-je en regardant l’immense villa devant nous. Une villa tellement grande, riche, luxueuse que j’avais du mal a m’imaginer dedans. « Oui ! Mais bon garde des limites princesse… » « Bien sur… Toujours… Ce n’est pas comme si j’étais une profiteuse, capricieuse et chieuse… » « Non… Vraiment pas… » Ajouta mon frère en avançant le premier vers la villa. « Pa’ ? T’as niqué qui pour avoir une place de boss dans la Mafia sur Vegas ? » Demandai-je en riant suivant alors mon frère en tirant mes valises regardant autour de nous le jardin immense qui s’offrait sous mes yeux. « Très drôle Nirvanà ! Personne… J’ai juste… Tué le boss… Petit règlement de compte… » « Tant qu’on cherche pas à te tuer moi ça me va… » soufflai-je en courant tirant mes valises avec force pour pousser mon grand frère en riant doucement allant alors vers l’entrée de la villa immense qui s’offrait à nous. Attendant que notre père nous rejoigne pour ouvrir notre nouvelle demeure, je contemplais la cour un long moment. C’était tellement beau, tellement riche que je n’en croyais pas mes yeux… Rentrant dans la demeure en sifflant je riais doucement en donnant un coup de coude à mon père. « Toujours dans le trafic de drogue ? Question indiscrète, tu touches combien par… jour ? » M’avançant en contemplant la villa, je filais de pièce en pièce suivis des deux hommes de la famille. « Drogue et… Pute. Chérie… Je touche assez pour payer plus de cinquante villa de la sorte… Si ce n’est pas plus.. » « Pute ? Rassure moi y’en aura pas dans la maison des planqués hein ? » « Que t’es conne ! Non… » Souriant en coin, je filais en haut pour me trouver une chambre. Prenant la plus grande sans demander l’avis aux autres, je me jetais sur le lit immense qui s’offrait à moi. Non d’un chien, on était carrément dans un palace ! Aimant cette nouvelle demeure, je ne pouvais qu’aimer Las Vegas. Certes je ne parlais pas un foutu mot anglais mais… ça s’apprenait cette langue… Puis c’était les vacances… Autant dire que j’avais le temps pour apprendre, largement le temps oui…


« Pa’ ? Papaaaaaaaa ? Tu es ou ? Papouneeeeet !!!! » Hurlais-je en courant dans la villa le cherchant depuis trop longtemps. Il y avait trop de pièce dans cette putain de demeure ! On s’y perdait de trop ! Je n’en pouvais plus ! De plus les murs étaient tellement bien isolés qu’on n’entendait rien même en criant… Cette merde ! Totalement défoncé, ayant prit une petite pilule rose je souriais a tout va en me montrant de bonne humeur. J’aimais la drogue, je me sentais tellement bien lorsque j’étais totalement stone que s’en était putain de plaisant. Quinze ans et déjà droguée… Et ouais… C’était ma vie… Ma mienne à moi, ma merde… Ouvrant une porte je me stoppais en voyant des filles nues devant mon père. « Holà ! C’est le club des putains ici... » « Nirvi soit plus poli devant mes filles veux tu ! » « Tes filles ? Moi je suis ta fille, elles se sont des putes qui écartent les cuisses pour se faire défoncer la rondelle, tomber enceinte, avoir le sida et dieu sait quelle putain de maladie… » soufflai-je en me laissant tomber sur ses genoux contemplant les filles nues comme des vers souriant en coin. Depuis que nous vivions sur Vegas j’en avais vu des filles passer… Trop même… Il vérifiait les corps, il recrutait des filles bref tout un tas de marchandise sur les putes de la ville ou tout est autorisé… « Tu comptes engager la blackos là ? Elle n’est pas trop grosse ? Et la blanche blonde là… Elle est plate comme un mur ! Tu crois que ça attire les clients ? Et la rousse, elle est… Poilu ! Pire que toi ! » L’entendant soupirer je me délectais de ma puissance devant ces filles, ces putains qui ne faisaient rien de leurs vies… « Chérie… il en faut pour tous les gouts… Elles sont bien… » « Elles sont bien ? S’il te plait papa…. Regarde-les… Tu bandes en les voyants ? Je ne crois pas non… Même moi si j’étais lesbienne je ne mouillerai pas ! Elles ne sont pas bonnes, elles sont fades, elles sont… Banales ! Regarde-moi… Je suis bonne, je suis parfaite, même poilu un mec voudrait me bouffer la chatte ! » « Ton langage bordel ! » « On s’en fout de ça ! Les clients s’en foutent ! Plus tu parles et plus ils auront envie de te fourrer leur bite dans la bouche… » « Tu es désespérante… » « fais pas chier papa… Je suis vierge… J’ai quinze ans… J’aime bien parler cru pour t’embêter… » « Evite… Et reste vierge encore longtemps ! Bon au lieu de critiquer ma marchandise qu’est ce que tu voulais ? » « Ta carte bleu, je veux faire les boutiques… »[/color] Sans me répondre il me tendit sa carte bleu. Souriant en coin en la prenant déposant un doux baiser sur son front je partis alors en courant de la pièce. « Vire la poilue ! »

« Franchement… t’en a pas marre de voir des nichons un peu partout dans la maison ? » « Si… T’as pas idée, je vais prendre mon envol je le sens… » « A vingt deux ans… Il serait peut être temps non ? Parce que franchement, je n’ai pas aimé la pute qui est venu dans la chambre tout a l’heure en faisant genre de se perdre dans la demeure… comment se perdre alors que papa leur dit de ne jamais monter en haut ? Elle voulu juste une partie de jambe en l’air avec toi ouais ! » « T’es franchement flippante parfois soeurette… » « Mais non… Mais non, pas du tout voyons… Je me dévergonde avec toutes ces putains dans la villa ! Puis tu sais que j’aime choquer ! » « Oui ça on le sait tous… » Bla, bla, bla ! Souriant en coin en restant allongée sur le lit, seulement habillée d’un string et d’un soutiens gorge, allongée aux côtés de mon frère nous regardâmes la télévision, italienne nous étant abonné. Avouons le notre terre natale nous manquait. La bouffe était dégueulasse ici… Les gens énormes comme les …. Hamburger ! Bref, un pays qui ne me plaisait pas… Une ville qui était… Certes sympathique mais…. Ça ne valait pas le cadre de Trapani ou bien même Catania ! Ou était la plage ? Le soleil ? La chaleur, les filles brunes naturelles et non siliconés et refaite de partout… Non vraiment…. L’Amérique ce n’était pas fait pour moi, mais bon… Las Vegas n’était pas si mal… Au moins la ville était plaisante et les gens étaient riches à souhait…

Contemplant les étoiles sur le toit de la villa de mon père je croisais lentement les jambes en voyant de la fumée autour de mon visage. Souriant en coin, portant alors lentement ma clope a mes lèvres j’inspirais fortement la fumée, la sentant passer dans ma gorge pour venir remplir mes poumons. Laissant la fumée dedans tout en fermant les yeux, je l’évacuais par le nez avant de sourire longuement en m’étirant faisant craquer mes articulations. J’étais bien sur le toit, terriblement bien, c’était mon repère depuis que mon grand frère avait prit son envole… Envole… Notre père lui avait payé un luxueux appartement. Il n’avait pas voulu d’une villa, juste un appartement qui était tout de même immense. Et depuis j’étais seule. Je dormais seule, je me sentais abandonnée, mais heureusement que j’avais mon père qui était beaucoup plus présent qu’en Sicile. Après tout il était le chef de la mafia, il pouvait bien faire ce qu’il voulait, et même s’il nous avait dit que des putes ne se planqueraient ici, elles venaient quand même à la maison. Donner le fric, vérifier les corps, bref tout ce genre de chose auxquelles j’assistais pratiquement tous les jours. C’était devenu une habitude, je voyais des corps de femmes nues constamment chez moi. Pour une fille de quinze ans ça pourrait me faire complexer… Mais même pas… Non ! Je grandissais encore, ma poitrine grossissais a vue d’œil, j’étais fine et mince, j’étais musclé sous mes nombreuses heures de sports que je faisais, je n’étais en rien complexée car j’étais encore plus bonne que toutes ces putes réunis… Oh que oui… J’étais bonne, et je l’étais encore plus avec une petite robe bien sexy. Les jeans n’étaient pas mes amis, encore moins un jogging. Lorsqu’on ouvrait mon dressing, on pouvait trouver en masse des robes, des jupes, à la rigueur des shorts mais ultra court. A tel point que l’on voyait le pli de mes fesses… J’étais une fana de shopping j’achetais à tout vas des fringues, j’en étais folle. Les sous vêtements étaient tout aussi en masse … Des sous vêtements plus chères les uns des autres. De la marque tout simplement, de la dentelles, de la soie, ainsi de suite. J’aimais être belle, même si je n’avais pas de petit ami, ou de relations sexuelles… Mais ça me servait pour chauffer les mecs, les rendre fous de mon corps et les abandonner avant bien même qu’ils n’aient quelque chose. Jamais je n’avais couché et pourtant je faisais déjà ma salope. Danser contre eux, les provoquer les chauffer comme jamais leur faisant croire qu’ils pourraient me sauter et bien non… Personne ne me sauterait… Je voulais attendre l’amour de ma vie… Si tant est qu’un jour il puisse arriver… Baillant lentement en écrasant ma clope sur une tuile, j’entendis du bruit en bas. A cette heure ci ? Deux heures du matin, qui peut bien faire du bruit chez moi ? Me laissant glisser sur le toit pour voir ce qu’il se passait en bas, je vis mon père embrasser une fille. Figée sous cette vue, c’était la première fois que je voyais mon père avec quelqu’un d’autre que … Ma mère. Blêmissant, mon cœur ayant un raté, je me sentis mal, très, très mal. Telle une trahison, je pensais que mon père… Ne toucherait plus aucune femme… Les regardant sans faire de bruit, s’embrassant a gorge déployés, j’avais envie de hurler, de pleurer, de taper… Les voyants se diriger vers la piscine je fronçais les sourcils en les voyant se déshabiller pour se foutre… Nus. Ne regardant pas mon père scrutant plus cette femme, je boguais littéralement sur son corps. Je devais rêver… Je devais vraiment… rêver… « Tu compte leur dire quand ? » « Nino est déjà au courant, je crois… Il a comprit du moins… » « Et ta fille ? » « C’est plus délicat… J’ai peur de sa réaction… » « Chéri… Je suis enceinte, il serait tant que tu le lui dise, vraiment… » Enceinte, enceinte, je n’avais pas rêvé… Oh… Putain de merde… Oh… Me redressant n’écoutant même pas le reste de la conversation, je fis demi-tour pour filer vers ma chambre. Entrant rapidement dedans, je filais à mon dressing attrapant une robe ultra courte noir, ample en bas serré au niveau de ma poitrine. Détachant mes cheveux bouclés les laissant tomber sur mes épaules, un peu de parfum, pas besoin de maquillage, j’enfilais mes talons aiguilles ultra long avant de sortir de celle-ci. Marchant sur la pointe des pieds, pour ne pas qu’ils m’entendent, je pris les clés de la voiture de mon père, ou plutôt l’une de ses voitures, partant alors de la maison. Montant dedans, conduisant sans permis, je filais dans le centre de Las Vegas. Me garant a la première place que je trouvais, je filais alors dans une boite de nuit. J’en avais besoin, réellement besoin. Au milieu de la piste me déhanchant avec envie, je pris rapidement un cachet d’ecstasy que l’on me filait. Grimaçant au gout peu commun, je pouvais clairement voir que c’était coupé et non pure. Tant pis sa fera quand même l’affaire. Frissonnant sous les premiers effets qui apparaissaient je sentis des mains se poser sur ma taille. Souriant en coin, je n’avais même pas besoin de draguer pour amener les hommes à moi. Dos à moi, je relevais une main la posant sur son cou, me déhanchant contre lui, je sentis sa bouche se poser sur ma nuque déplaçant mes cheveux venant alors dans mon cou. Frissonnant sous cette sensation je souriais de plus belle. Il était ma nouvelle proie. La tête me tournant quelque peu, je frottais mes fesses contre son membre totalement durcit tout en me jouant de lui attrapant ses mains alors qu’il essayait d’empoigner mes seins. « Touche pas avant l’heure mon petit… » soufflai-je doucement en me tournant vers lui souriant en coin. Blond, un regard marron, terne, un visage quelque peu fin, un garçon sans intérêt a mes yeux, mais ça ferait l’affaire…Ses mains se posant sur ma taille nous nous mimes à danser tandis que je me sentis partir sous les effets de la drogue, ses lèvres se plaquant sur les miennes, je l’embrassais sans intérêt, gardant ma langue dans ma bouche. Plutôt crever que de lui donner ma langue ! Son membre durcit contre mon bas ventre, le voyant se chauffer tout seul, je le tirais alors lentement mais surement hors de la boite. Main dans la main, riant toute seule, tellement j’étais déchiré je l’amenais a la voiture. Plage arrière je montais la première dévoilant mes fesses qu’il ne se gêna pas pour toucher. Te gène surtout pas… M’asseyant sur lui une fois dans la voiture, je bougeais lentement le bassin contre lui le déshabillant alors lentement, défaisant sa chemise blanche la jetant a l’avant avant de sourire en coin. Sortant de sur lui pour le mettre totalement nu, je baissais un vague regard sur son membre. Petit. Riant doucement sans pouvoir m’en empêcher je déposais de doux baiser sur ses lèvres légèrement bruyant tout en ouvrant lentement la porte avant de le pousser hors de la voiture, totalement nu refermant une fois dehors a clé filant alors devant. Le contact en route, j’appuyais sur l’accélérateur en partant, le regardant dans le rétroviseur totalement nu dans la rue se cachant le membre de sa main. Voilà la salope que j’étais…

Musique à fond, simplement vêtu d’un simple string, dans ma chambre je dansais et sautais partout, mon lit, le sol du bureau a la chaise qui se fracassas la gueule tout comme moi d’ailleurs. Riant à cœur joie je me relevais pour récupérer mon joint tirant alors longuement dessus. Coke, joint, alcool, un train-train habituel pour moi depuis plus de trois mois. Sentant la fumée inhaler mes poumons je me mis à sourire tout en me relevant tant bien que mal, dansant sous Linkin park. Un putain de groupe qui me faisait jouir sous toute forme possible. Passant de ça, a AC/DC, ou bien même à pink Floyd, et tant d’autre, je me déhanchais sur la musique avant d’attraper le drap de mon lit. Le mettant sur le sol bien droit, ayant deux mètres carré de tissu, je filais dans mes tiroirs cherchant alors de la peinture. Joint en bouche, je passais mon doigt sur la poudre blanche qui se trouvait sur mon meuble léchant alors mon doigt avec envie. Je ne saurais dire combien de fois j’avais prit de la drogue aujourd’hui et combien de verre j’avais bu mais en tout cas j’étais sacrément amoché, et il n’était que…. Seize heures ! Autant dire que la soirée ne faisait que commencer…. Ou l’après midi ? Je n’en savais foutrement rien à vrai dire… Me mettant à peindre sur mon draps de mes mains, gardant le joint entre mes lèvres, fumant de temps à autre je regardais ce que je faisais. Qu’est ce que je faisais en fait ? Je n’en savais foutrement rien. Je dessinai, je peignis, je faisais tout ce qu’il me passait par la tête. La musique défilant sous les minutes qui passait, le dessin prit de plus en plus forme. Me relevant pour me mettre sur la chaise, je fronçais les sourcils en me jetant à nouveau sur le drap pour continuer a peindre rapidement de mes doigts. Entendant la porte s’ouvrir, je sursautai en voyant mon père regarder alors la chambre. « T’es pas en cours toi ? » « Prof absent ! » Son regard allant de mes mains au drap, puis a ma bouche ou se trouvait le joint, je lui fis un sourire l’air de rien en me laissant tomber sur mes fesses, me fichant qu’il puisse me voir en simple string, n’ayant aucun complexe sur mon corps. « Nirvanà… Range moi tout ça. Jete moi ce joint aussi… Depuis quand tu fumes d’ailleurs ? Et… Descend, il faut que tu gardes la petite ! » « Ta salope peut pas la garder ? » S’approchant de moi pour m’enlever le joint des lèvres il l’écrasa rapidement dans le cendrier sur le meuble voyant alors la drogue. Souriant en me relevant lentement j’enfilais rapidement un t-shirt long s’arrêtant sous mes fesses en le regardant longuement. « Qu’est ce qui t’arrive ? Est-ce que tu penses un peu à moi ? Nino ? Ton rein ? Putain ton rein espèce d’abrutie ! Tu crois que te droguer, boire, et dieu sais quoi est bon pour ton rein ? » « Oh ça va hein ! J’ai fait les testes la semaine dernière ! Et mon taux de créatines est super et le rein en pleine forme ! Fais pas chier pa’ chéri. » Soufflant longuement en ouvrant la fenêtre de ma chambre pour l’aérer et faire sortir la fumée des joints et clopes que j’avais fumée, je passais devant mon père en grimaçant doucement. Une petite sœur. Il n’avait rien trouvé de mieux que de me faire une petite sœur. Dolce. Au moins elle avait un prénom un tant soit peu italien… Filant en bas en regardant la mère de la petite, je lui arrachais la petite des bras. « Tire toi salope de mère égoïste qui ne peut même pas garder sa fille ! Allez tire toi pétasse ! » « Zep… » « Non pour toi, c’est mademoiselle Redeccini ! T’as cru être mon amie ou quoi ? T’es rien pour moi ! Absolument rien ! La seule chose qui nous fait nous côtoyer c’est cette chose que tu m’as pondu là ! Maintenant tire toi on n’a pas les mêmes valeurs, tu ne vaux rien à mes yeux ! Aller tire toi ! » Hurlai-je en tenant ma sœur dans mes bras seulement âgé de deux petits mois celle-ci me regardant comme si c’était normal que je puisse crier. Voyant mon père, je lui lançai un regard assassin avant de monter dans la chambre de la petite m’enfermant dedans avec elle. La posant sur le grand lit avec elle je la contemplai longuement. Elle était toute mignonne, toute belle. Une petite fille qui sera surement belle, elle ne pouvait que l’être, si elle n’avait pas de gêne de sa mère bien évidemment. Blonde, sans cervelle, bref, une fille peu intéressante et surtout une américaine et rien d’autre… Voyant Dolce bouger un peu, je lui gratouillais lentement le ventre en comatant totalement. J’étais défoncée comme jamais et me confier la garde de la petite ce n’était pas forcément bon, mais bon je n’allais pas en faire tout un plat. Sentant une odeur suspecte, je baissais un vague regard vers ma sœur en plissant le nez. « Bordel… Tu fais chier la môme ! » La déshabillant rapidement pour lui changer la couche, je cru vomir sous l’odeur immonde du lait. Mon dieu, vivement qu’elle bouffe autre chose car là ça devenait insupportable, vraiment... Inspirant longuement pour bloquer mes poumons, je la nettoyais rapidement en lui mettant une couche propre la rhabillant de sa grenouillère pour la mettre dans son petit lit la regardant longuement, celle-ci se mettant à me tenir le doigt. La laissant faire, je restais un long moment debout avant de la reprendre pour la poser sur le grand lit. M’allongeant a ses côtés mettant les coussins de l’autre côté pour la bloquer de façon a ce qu’elle ne tourne pas trop je fermais les yeux, la laissant tenir mon doigt m’endormant alors avec elle sur le lit.

Comatant sur la table, la tête posée sur ma main, le coude sur la table, je regardais le tableau en inspirant longuement tout en baillant. J’avais passé la moitié de la nuit a faire la fête. Il ne restait qu’une semaine de cours et autant dire que je m’en foutais royalement… Baissant le regard sur ma feuille ou j’aurais dû, oui ou j’aurais dû prendre des notes, ma tête s’avança en avant signe que je m’endormais. Me sentant partir bien trop dans le vide, je me redressais en sursautant presque me callant alors dans le fond de ma chaise, voyant ma copine de classe mais aussi de soirée dormir littéralement sur la table, la bave coulant de sa bouche. Riant doucement je filais mon doigt sur son nez le lui chatouillant doucement ce qui, ne la réveilla même pas. Levant les yeux au ciel en tournant le regard vers la professeure qui nous parlait de notre avenir. Bla, bla, bla, l’année prochaine le bac, ouais… On avait comprit… J’avais sauté une classe en arrivant ici… Pourquoi ? Car j’étais en avance sur le programme et qu’en Amérique on ne pouvait pas dire que le programme du lycée soit franchement bien… Au contraire ils étaient en retard… Et voir que le bac se constituait simplement d’une QCM. A l’aise comme dirait mon grand frère ! Seize ans, la belle vie, j’avais le permis, ma voiture, luxueuse et bien chère, mon père ayant voulu me faire plaisir en m’offrant une voiture sportive. La sonnerie retentissant, je rangeais rapidement mes affaires en voyant Kimberley toujours inerte sur la chaise. Ça ce n’était pas normal… Haussant un sourcil en la poussant doucement je posais ma main sur sa jugulaire voir s’il y avait toujours un pou tout de même… Oui… Faible mais là… Elle s’était trop droguée la conne… La giflant doucement elle réagissait enfin. « Hum ? Quoi ? On est ou ? Quelle heure il est ? » Souriant en coin en lui balançant la trousse sur le visage je portais mon sac à mon épaule. « En cours idiote ! T’a dormi toute la journée… T’es au courant que c’est le soir là ? Et que si tu dors encore je vais devoir sortir sans toi ! » La voyant se lever rapidement comme si le proviseur était là ou dieu sait quelle star elle se mit a ranger son sac en deux tant trois mouvements. Riant a cœur joie avant de poser ma main sur ma tête, encore surement sous l’emprise de la drogue que j’avais prit hier plus tout l’alcool je frissonnais longuement en m’éloignant quelque peu pour la faire se dépêcher afin de sortir le plus vite possible de cette pièce, étant seule avec elle… La voyant tituber doucement, elle était encore plus amoché que moi. La prenant par les épaules, la maintenant contre moi, les garçons du lycée nous sifflèrent longuement sur notre passage. On ne s’était même pas changé de notre soirée… C'est-à-dire, mini robe ras du cul seins mis en valeur, maquillage de ouf, bref, on était sacrément belle. Au lycée, nous étions toutes les deux connues… Non seulement pour notre beauté à couper le souffle, mais aussi pour notre répartie. Au lycée tout le monde nous voulait. Les garçons, cherchaient a nous foutre dans leur lit, et bizarrement, aucune des deux n’y étaient entré ! Nous étions devenues une sorte d’obsession pour eux. Nous nous amusions d’eux, nous étions deux salopes qui aimons faire tourner les garçons en bourriques. C’était une sorte d’amusement, un tableau de chasse et nous comptabilisions les garçons. Laquelle faisait le plus de garçon en une soirée, et ainsi de suite. La tenant dans mes bas, Kim passant un bras a ma taille posant sa tête sur mon épaule j’enfilais ma paire de lunette Dior souriant en coin en sortant une clope l’allumant alors rapidement. « La nuit est à nous poupée ! Tu appel tes parents ? Tu dors chez moi ! » « T’inquiète, mes parents s’en foutent… Ils s’en foutent totalement ! » Hochant doucement la tête en déverrouillant ma Porsch je la laissais monter dedans, alors que je mis le contact. Reculant rapidement je parti alors sur les routes de Las Vegas doublant les gens sans aucun souci. La musique à fond, Nirvana, elle se mit a chanter en fumant elle aussi une clope. Kimberley était ma seule amie. Les autres étaient trop… Elles étaient comme nous à la vérité…. A la différence qu’elles se faisaient réellement sauter contrairement à nous qui étions vierge et bel et bien vierge… Je ne connaissais pas grand-chose de Kim, elle était en temps normal discrète, mais je la connaissais depuis plus d’un an maintenant et je savais qu’elle était comme ça. Elle ne savait rien de moi a vrai dire… J’évitais de crier a tout va que mon père était simplement le chef de la mafia sicilienne de la ville … Mais elle n’ignorait pas qu’il trafiquait dans la drogue puisqu’elle venait souvent chez lui et qu’elle voyait la came passer… Tout comme les putains… Lorsqu’on connaissait mon nom, sa m’ouvrait des portes, surtout dans le monde mafieux. Ou de la drogue. On ne touche pas la fille Redeccini… A moins de finir sans queue et de crever rapidement mais douloureusement. Appuyant sur le bouton pour que le portail électrique s’ouvre, je m’engouffrais dans la cour de la grande villa avant de me garer a côté des voitures de mon père sortant rapidement de la voiture. Me suivant de près, on fila rapidement à l’intérieur, tombant alors sur mon père qui essayait de calmer ma petite sœur. Âge d’un an, elle était en général adorable. Mais bon, sa putain de mère s’était barrée… Qui s’est qui avait raison ? C’était moi… Peut être qu’elle s’était barrée par ma faute ? Tant mieux… Le voyant galérer je me mis à rire prenant alors la petite dans mes bras, celle-ci cessant immédiatement de pleurer, plongeant son regard chocolat dans les miens verts. Elle était belle, elle était tout aussi brune que mon père, une peau légèrement halé… C’était bien une Redeccini ! « Salut papa, je l’embarque avec moi. Tu l’as faite boire ? Je vais la couche un peu non ? Elle a l’air fatigué, elle a fait sa sieste ? » « Non, je n’arrivais pas a l’endormir, je crois que ces crise de colique n’arrange rien… J’ai repris rendez vous chez le pédiatre… Bonjour Kimberley… Vous êtres très belle pour aller au lycée non les puces ? » « Bonjour Monsieur Redeccini. » « Gino s’il te plait, tu fais parti de la famille… » La voyant rougir en baissant le regard, je souriais faiblement en m’approchant de mon père pour lui faire un doux baiser sur sa joue. « On n’avait pas prit de rechange, on est sorti hier… Bref, je couche la petite, elle a besoin de sommeil… Tu t’en occupes ce soir ? » « A vrai die je comptais sur vous deux pour vous en occuper… » Tournant un regard vers ma pote, je plissais doucement le nez en soupirant longuement. « Mais, papa chéri d’amour… On avait prévu d’aller a une fête de fin d’année… T’as oublié que c’était la fin de l’année ? Vacances… Fête… » « Justement… Vous sortez déjà pratiquement tous les soirs… Cette fête, on sait tous que sa baise à tout va… Alors je vous interdis d’y aller… » « Papa… Tu peux m’interdire mais pas Kim… » « Si je peux… Aller les filles soyez sympa… Et toi, il faudrait que tu te calme un peu, tes résultats pour le rein ? » « Tout va bien … Je fais beaucoup de spot, danse, course, natation, je compense… » « Aucun rapport avec la drogue princesse… » Levant les yeux au ciel en ignorant sa phrase je tirais Kim avec moi pour monter dans ma chambre. Passant par la chambre de la petite, je la mis dans son lit m’apercevant qu’elle dormait déjà, super. Allant dans ma chambre, on se laissa tomber sur le lit enlevant nos chaussures affalé comme deux gros tas dessus comatant doucement. « T’es au courant que ton père et genre… Putain de beau ? » Ecarquillant les yeux en relevant un regard vers elle je grimaçai doucement. « Franchement ? C’est mon père… J’en sais rien moi… » « Crois moi il st beau ! C’est le genre de mec avec qui je ferais bien l’amour ! Son regard, sa voix… Sa carrure… Franchement… » Choquée de plus en plus par ses propos je la poussais doucement en riant. « Calmos… C’est mon père je te rappel… Laisse…. Son outils de reproduction la ou il est ! » Riant a son tour, je me mis totalement nue avant de me glisser sous la couette, faisant de même que moi, on ne perdit pas de temps pour s’endormir.

Sursautant au cri de ma sœur, je me surpris a être a moitié sur ma pote. La poussant doucement d’un coup de pied, elle me mit un coup de poing dans les cotes. « Aie, abrutie ! Putain ms cotes ! » « T’as commencé la première Zep… » Grimaçant en lui foutant un coup de coussin dans la gueule, je me levais, totalement nue, pour aller dans la chambre de ma sœur, dans le noir. Ouvrant la porte je filais vers le lit en prenant ma sœur dans mes bras. « Du calme… Je suis là… Je suis là ma puce… » L’amenant avec moi dans ma chambre, j’allumais les lumières en voyant alors Kimberley sniffer longuement un rail de coke. Souriant en coin en regardant l’heure, a peine minuit je posais ma sœur sur le lit. « Tu sais quoi ? J’amène ma sœur chez mon frère et nous… le dance floor nous attend ! » La voyant se lever en levant les pouces en l’air ne faisant pas trop de bruit vis-à-vis de ma sœur, elle fila dans mon dressing en ressortant toute pomponné et fraiche. Lui laissant ma sœur je fis de même, enfilant une robe bustier de couleur blanche des talons aiguilles tout aussi blanc avant de prendre des affaires à ma sœur les fourrant dans un sac. Drogue, clope, fric dans ma pochette, on parti rapidement dans ma voiture. Tenant la petite pendant que je conduisais jusqu’à chez mon frère je fis rapidement le tour du patté de maison en ouvrant la maison ayant les clés. Le voyant devant la télé a cette heure ci, il fronça les sourcils en me voyant avec la petite. « Je te la laisse, je dois sortir et papa n’est pas rentré… » « Mais…. Bordel Zeppelin ! » Lui posant la petite dans ses bras je partis sans demander mon reste filant dans la voiture appuyant sur l’accélérateur. « La nuit est à nous ! » Lança alors Kim en fumant longuement un joint. « Fait tourner ! » Tirant sur le joint super fort qu’elle venait de nous faire je toussais quelque peu ne m’attendant pas a ce qu’il soit si chargé en herbe. Filant en centre ville je me garais comme je pus ma vision commençant a se troubler avant de filer en boite de nuit. Un rail de coke vite fait sur une table se fichant d’être vue on commanda alors du champagne a mille dollars se buvant la bouteille à deux riant a cœur déployé totalement déchirée. Me prenant par la main, elle me tira alors sur la piste de danse. Se déhanchant contre moi, ma main sur sa taille je penchais doucement ma tête en arrière ayant terriblement chaud, l’alcool et la drogue m’ayant totalement retourner. Le mal de tête que je ressentis me fit comprendre que j’avais peut être un peu trop forcé non ? Mais non c’était juste la fatigue. Sentant ses lèvres se poser sur mon cou je me figeais franchement en baissant la tête. Non mais… Qu’est ce qu’elle foutait là ? « Hey… je ne suis pas une proie idiote, t’a trop bu je crois.. » « Les mecs aiment les lesbiennes ! Fait au moins semblant… » Riant doucement en empoignant ses cheveux je la fis se redresser pour plaquer sauvagement mes lèvres dans son cou et la mordre en riant doucement bougeant toujours le bassin contre le sien me sentant alors observé. Ses mains remontant a ma poitrine je me figeais royalement en reculant ma tête « T’en fais pas un peu trop là ? » « Tais toi des mecs arrivent ! » Haussant un sourcil en relevant le regard je vis un mec se coller contre elle, tandis qu’un autre se colla a moi. Souriant en coin en sentant ses lèvres dans mon cou, Kim elle plaqua ses lèvres sur les miennes m’embrassant en me faisant un regard entendu. Sa y est c’était officiel ! J’étai folle ! Non seulement d’être une vrai salope j’étais folle ! Inspirant doucement en fermant les yeux, j’embrassais mon amie comme si… C’était tout à fait normal… Dansant à quatre sur la piste de danse on cessa au bout d’un moment retournant alors sur le canapé chacune sur les cuisses d’un homme, buvant a gogo en faisant des rails de coke chacun notre tour. Soirée totale défonce. Criant et chantant à chaque chanson, on était littéralement défoncé. Cinq heures du matin, on se levait lentement du canapé abandonnant les hommes sans rien dire attrapant nos sacs pour sortir dehors tout en se roulant un joint. Me sentant vraiment pas bien, le mal de tête s’intensifiant je me penchais quelque peu en avant tout en soupirant fortement. « Putain Kim, je me sens pas de conduire… tu peux toi ? » « Franchement ? Je n’ai pas envie de crever… Marche ? » Sans répondre me tenant la tête de mes mains je me mis a marcher me sentant pâlir au fur et a mesure, la voyant fouiller son sac prenant une nouvelle petite pilule d’ecstasy. « Pour me donner du courage de marcher ! » Riant doucement en enlevant mes talons aiguilles je me laissais tomber sur le sol vomissant sans même m’en rendre compte totalement dans les vapes. Entendant mon prénom au loin, je me sentis sombrer dans les méandres du néant.

« Elle se réveille je crois… Elle bouge ! » Portant mes mains à mes oreilles, j’inspirais doucement la gorge en feu. L’odeur de l’hôpital dans le nez, je plissais le nez à de mauvais souvenirs que j’avais. « Nirvi chérie ? Ma fille d’amour, tu es à l’hôpital… Tu es en sécurité maintenant… » Sécurité ? De quoi ? Qu’est ce qu’il m’est arrivé ? Me redressant en ouvrant lentement les yeux j’inspirais longuement en portant ma main a ma gorge. « Quoi ? Sécurité ? » « Tu as fait un coma Ethylique… Ton taux d’alcool plus la drogue dans ton sang… J’ose même pas te dire le chiffre… tu nous a foutue une de ses frousses… » « Kimberley ? Ou est Kim, comment elle va ? » « Elle… a fait une overdose peu de temps après avoir appelé les secours… Bordel mais qu’est ce qu’il vous a prit ! Je vous avais interdit de sortir… Rien de tout cela ne se serait passé ! » « Papa, c’est fait, l’engueule pas… » Et merde… Ses parents allaient me tuer, et la tuer, nous allions crever toutes les deux… « Merde elle va bien ? Elle s’en st tiré ? Ses parents ont dit quoi ? »[/color] Demandai-je en regardant longuement mon père, celui-ci haussant un sourcil à mes paroles. « Elle n’a pas de parents… Quand j’ai demandé si ses parents étaient au courant, l’accueil m’a dit, qu’elle vivait seule dans un petit studio… J’en sais pas plus. » Choquée de l’annonce je regardais longuement mon père avant de fermer les yeux pour me rendormir étant bien trop fatiguée pour dire quoi que se soit.

La regardant longuement dormir, assise sur la chaise, je lui caressais doucement le visage en souriant faiblement. Elle s’e était tiré tout comme moi… Une chance… La sentant se réveiller, nos regards se croisèrent alors qu’elle détourna le regard. Soufflant doucement en levant les yeux au ciel, je me mis à rire doucement. « Kim… Tu as peur que je ne fuis car je connais ta vraie identité ? Tu te trompes… je m’en fou moi que tu vives dans un studio de vingt mètres carré avec ta mère qui se prostitue pour vous faire vivre… Ok, je suis une salope, j’envoie chier les gens et tout… Mais tu es mon amie, jamais je ne t’aurais laissé… Tu viens chez moi souvent, tu crois que je t’aurais présenté mon père si on n’était pas super pote ? Je m’en fou de ça… » La voyant se tourner vers moi, elle se mit a pleurer. La ok, ça devenait franchement gênant. « J’avais peur qu’en découvrant que j’étais pauvre… tu me lâcherai… Je suis tellement bien avec toi… tu es tout ce que j’ai rêvé… Richesse, vie parfaite… » « Stop… Ma vie est loin d’être parfaite… Kim tais toi, je te lâcherai pas… » Se taisant, je me faufilais dans le lit avec elle en allumant la télévision de la chambre nous mettant alors a regarder la télévision de toute la journée.

« OH MON DIEU !! » Hurlai-je en sautant dans les bras de mon père et de Kimberley qui était avec moi. Je venais d’avoir mon bac ! Mon bac avec une mention Très bien ! Mon dieu, le choc ! La crise cardiaque m’attendait c’était obligé ! Pleurant de joie, mon père nous serrant toutes les deux dans nos bras, Kimberley l’avait eu elle aussi avec mention bien. On avait tout déchiré ! « Félicitations les filles ! Pour la peine je vous pais le meilleur restaurant de la ville ! Vous le méritait bien ! » se lançant un regard entendu avec Kim on fila bras dessus bras dessous dans la voiture de mon père allant alors au restaurant. Repas de bourgeois, comme jamais nous n’avions mangé, c’était l’éclate totale ! J’aimais, et j’aimais encore. Depuis peu j’étais devenue plus ou moins une autre fille. Malgré le fait que j’ai fait un coma Ethylique l’été dernier, ça ne m’avait pas empêché de faire une overdose, frôlant la mot en septembre. Mais… Depuis que mon père s’était trouvé une fille, une petite amie, j’avais changé. Non seulement car elle avait seulement un an de plus que moi, soit dix huit ans… Mais parce que putain… Il l’avait elle aussi engrossé ! A croire qu’il comptait faire d’autre Redeccini à son âge ! J’étais devenue ce genre de fille, niaise, mielleuse, qui fait fille a papa et vierge ! Certes je l’étais vraiment… Mais quand même… J’avais changé du tout au tout… Niveau vestimentaire, bon pas du tout. Je donnais de l’argent à Kim… Au début elle avait refusé mais je ne lui avais pas laissé le choix… Je ne voulais pas qu’elle continue à vivre dans la misère et de la voir galérer… au moins maintenant elle avait une vie des plus normal a mes yeux. La soirée se passant normalement, on ramena Kim chez elle, avant de filer chez nous. « Tu comptes faire quoi l’année prochaine ? Je te vois bien en politique et droit… » Haussant un sourcil en le regardant longuement, je riais quelque peu. « Politique et droit ? Oh tu me vois présidente ou quoi ? Je ne suis pas née sur le territoire américain oublie papa. » « Non, avocate pour mafia ! » Riant a gorge déployé je lui lançai un regard amusé en secouant doucement la tête. « T’es fou ! je sais de qui je tiens ! » « Non plus sérieusement… J’ai besoin de toi ma puce… Pour le boulot… » « Le boulot ? Drogue ou pute ? » « Pute… enfin Escort Girl… Il faudrait que tu…. Bosses pour moi… Pour espionner quelques gens fortunés de la ville… Pas de sexe, rien, se seront tes conditions ma fille. » Inspirant longuement je me mordis doucement les lèvres. Je n’avais pas prévu ça dans ma vie… De devenir Escort girl… Encore moins à dix sept ans… « Papa, je veux bien mais… J’ai genre dix sept ans, je suis loin d’être majeur ici… » Me tendant une carte d’identité, la mienne, je fus surprise de voir que j’avais vingt et un an dessus. « Putain tu avais tout prévu ! » « Tu as vingt et un ans. Tu vis dans le quartier a coté dans ta propre villa que je t’offre, bien entendu. Tu commences ton boulot dans trois semaines. La fac… Tu feras les cours à domicile poupée… Et… Va dans les casinos…. Habitue toi, joue, gagne, perds… Pas trop quand même… Je te fais confiance. » Souriant en coin en prenant les clé de la maison qu’il me tendit, j’inspirais fortement en réalisant que ma vie prenait un tout autre tournant que ce que j’avais pu imaginer. Sortant de la voiture, je filais dans ma chambre faire mes affaires sans rien dire, croisant ma nouvelle belle mère enceinte jusqu’au os en inspirant longuement ne lui disant même pas bonjour. Mon dieu… Mais qu’est ce que j’étais en train de devenir ? Aujourd’hui je venais d’avoir mon bac… Je venais d’être diplômé… Et pour la première fois de ma vie, je faisais quelque chose que je ne voulais pas. Mais je le devais bien a mon père non ? oui je le lui devais… Je crois.

Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence Jhrpjb

« Putain je suis jalouse… » Haussant un sourcil en la regardant longuement, je la vis dans une robe bustier noir lui faisant remonter ses seins. De quoi pouvait-elle être jalouse ? Je me le demande bien… « De ? » « Ta robe, ton corps ! Regarde-toi ! On dirait une déesse… Petite robe avec une ouverture dans le dos qui va carrément jusqu'à ton cul dévoilant ton tatouage et devant pareil… une ouverture dévoilant ton nombril, tes seins quelque peu… Et ton tatouage qui tombe sur ton intimité… Franchement tes sublime et ne parlons pas de ton maquillage, tes yeux charbonneux… Mon dieu tes yeux ressortent encore plus… Tes la tentation de tout homme… » Me tournant vers le miroir, je me regardais longuement. Elle n’avait pas tord, cette robe noire me mettait en valeur… De plus mes talons aiguilles outrageusement long galbés ms cuisses et me faisait un cul parfait… J’avais l’impression d’avoir des jambes interminable… On pouvait voir mon tatouage dans le bas du dos, la dague sur la largueur et le serpent qui s’enroule autour, voyant alors la queue du serpent dérivé vers ma taille gauche passant sur l’aine puis mon bas ventre s’arrêtant sur le haut de mon intimité. On ne voyait qu’un bout du tatouage devant… on ne voyait pas tout, tout de même… Mais ça laissait a désirer dirons nous. Mes yeux ressortaient vraiment… C’était vrai… J’avais changé… Deux semaines à présent que je vivais chez moi… Deux semaines que j’étais livré a moi-même et ne vivait plus avec mon père… Une semaine que ma petite sœur était née… Enora. Bref, ma vie évoluait doucement… Regardant la gourmette de mon frère a mon poignet, je la laissais la enfilant alors un collier en or blanc autour de mon cou, celui-ci ras du cou je le regardais en touchant doucement souriant en coin, j’enfilais les boucles d’oreilles qui allaient avec ainsi qu’une bague tout en or blanc a mon index gauche. Mon parfum Dior je m’en mis doucement en inspirant longuement. « Tu sais… Tu es très belle toi aussi, vraiment… Je te trouve encore plus belle que moi pour te dire ! » La prenant doucement dans mes bras, j’enfilais ma paire de lunette sur le net, Dior avant de l’embarquer dehors. Fermant ma villa à clé, on prit ma voiture parlant alors de tout et de rien durant le trajet. Aujourd’hui on allait dans un autre casino. Mon père lui avait fait une fausse carte à elle aussi de façon a ce que je puisse aller au casino avec elle. Et aujourd’hui nous allions au Wynni’s ! Casino assez récent d’après ce que j’avais pu lire sur le net. M’arrêtant devant le casino. Je sortis de ma voiture. « Bonjour madame. » « Mademoiselle pour toi. » Soufflai-je en faisant un clin d’œil au voiturier me mordillant lentement les lèvres. Marchant a ses côtés faisant claquer mes talons sur le bitume, nous entrâmes doucement dans le bâtiments donnant alors nos cartes d’identités rentrant alors sans aucun souci. Regardant autour de nous, nous trouvant dans le hall au niveau des machines à sous, on fit rapidement un tour du lieu tout en regardant un peu partout. « Pas mal… Je vais au machine à sous, dis moi merde. » « Merde ! Je vais jouer au poker ! Ramène des tunes qu’on fasse la fête ce soir ! » « A vos ordres ! Merde à toi ! » Souriant en la laissant filer, je partis alors tranquillement du côté des tables de poker. Mon élément. Depuis quinze jours je ne jouais qu’à cela, et j’avais déjà gagné pas mal en argent. Inspirant longuement en m’arrêtant vers une table, rapidement je vis que la partie ne venait que de commencer. Léchant longuement mes lèvres gardant mes lunettes sur le nez, je regardais toutes les tables avant d’en trouver une ou la partie finissait. Regardant les gens je souriais en coin en m’installant alors à la table sans regarder les gens croisant alors les jambes tout en regardant d’autre personnes s’installer. Tournant un vague regard dans la salle, je vis alors la table a côté, relevant un vague regard vers le croupier face a moi. Me figeant sous sa beauté. J’entrouvris la bouche en me sentant… Bizarre. Mon cœur s’emballant, je sentis des fourmillements dans tout mon corps, ayant terriblement chaud. Respirant fortement je le scrutais longuement me sentant carrément rougir, alors qu’il distribuait des cartes avec précaution sans quitter ses mains et les cartes du regard. Voyant ms cartes arriver, je baissais un vague regard sur elle les soulevant doucement. Double As. Bon jeu. Restant impartial, je guettais le visage de chaque joueur avant de tourner mon regard a nouveau vers ce croupier si…. Magnifiquement beau. Croisant son regard je boguais sur lui. Des yeux bleus fabuleux, a vous faire mourir sur place, mon cœur s’emballa a nouveau, mes jambes tremblèrent, mes mains moites, j’inspirais longuement tout en relevant mes lunettes sur mes cheveux bruns aux reflets roux le regardant alors longuement tout en lui lançant malgré moi un regard des plus ravageur et tombeur. Pourquoi ? Ça faisait longtemps que je n’avais pas chauffé d’homme. Dévoilant mes dents en lui lançant un regard entendu, le jeu ne faisait que commencer. Suivant les partis de ma table, je misais de plus en plus en fonction des cartes que dévoilait le croupier. Je menais. Un as était sorti. De plus la couleur allait avec mes deux as. Autant dire que j’allais gagner gros. Jouant tapis en mettant soit plus de dix milles dollars, je tournai un vague regard vers l’autre croupier en lui lançant un regard sauvage tout en passant ma langue lentement sur mes lèvres en cambrant bien le dos, faisant ressortir ma poitrine souriant en coin en voyant son regard se baisser sur celle-ci sans attendre. Souriant en coin je baissais un vague regard sur ma table je vis que j’étais la gagnante. Gagnante de cinquante milles dollars. Ramassant les jetons un garde du corps les prenant je donnais ma carte d’identité pour qu’il puisse les garder le temps que je puisse jouer encore. Gardant cinq milles sur moi, je filais lentement, d’une marche féline et sensuelle vers la table de l’autre croupier sans le quitter du regard. Me mettant à côté de lui en regardant la partie tout comme d’autre personne je fis clairement claquer ma langue sur mo palet en frôlant son bras ‘air de rien passant ma langue a l’intérieur de ma joue tout en soupirant en coin. Léchant mes lèvres je regardais le gagnant prendre ses jetons les gens libérant la table. M’installant doucement, je regardais de haut en bas le croupier tout en léchant ms lèvres pour le rendre fou. Son regard bleuté se plongeant dans mon regard verdâtre, je lui fis un sourire des plus sauvages mon regard se voilant de désir pour lui. Donnant mon jeu, je relevais lentement les cartes avant de voir… Bordel ! Double As. Relevant un regard vers lui je croisais mes bras tout en passant ma main l’air de rien au dessus de mon sein, déplaçant doucement ma robe dévoilant lentement mon sein, me fichant que les autres puissent la voir, sans même le quitter du regard le voyant regarder mes seins. Souriant en coin, en reculant ma table pour qu’il puisse voir mes cuisses je relevais ma robe dévoilant mon string noir en dentelle, qu’il pouvait voir aisément. Jetant quelques jetons sur la table pour miser en suivant les joueurs je soufflais longuement en passant ma main dans mes cheveux enlevant mes lunettes les posant sur la table en secouant ms cheveux penchant la tête en arrière ma robe se déplaçant pour cette fois bien lui montrer mes deux seins de la ou il était. Inspirant longuement le draguant et le chauffant en faisant mine de sucer clairement un homme je lui lançais des regards sous entendus. Le regardant longuement en voyant que j’étais près de lui je tendis doucement ma jambe sous la table pour caresser doucement son pied puis sa cheville en le regardant droit dans les yeux lui lançant un regard franchement sauvage en léchant a nouveau mes lèvres. Je ne saurais dire combien de temps dura ce moment mais c’était… Fabuleux. Mettant tapis une seconde fois, je gagnais à nouveau. Plus, beaucoup plus cette fois. Souriant en coin la sécurité venant récupérer mes jetons afin que je ne sois pas constamment avec sur moi. Me relevant de ma chaise je murmurais un faible au revoir au jours de mon accent sicilien avant de me tourner vers lui croupier, le regardant rapidement de haut en bas en lui faisant un léger baiser de loin bougeant légèrement mes lèvres avant de faire demi tour, marchant alors de façon a bien faire rouler mes fesses, me déhanchant comme jamais me sentant cruellement observé. Marchant un petit moment, je sentis alors un bras autour de mes épaules un corps se plaquant contre le mien avec fermeté, me tirant alors vers une porte qui menait dieu sait ou l’entendant claquer doucement tournant la tête je vis alors le croupier. Gémissant doucement en me plaquant contre le mur, face à celui-ci, je sentis son corps contre le mien, son membre totalement durcit contre mes fesses. Poussant un faible cri de plaisir, je ne savais pas quoi faire. J’étais vierge…. Vierge bordel de merde… Mais… Je l’aimais… Ok... Je le connaissais depuis peu… Mais c’était un coup de foudre que j’avais ressentis… Je le savais… Bougeant doucement le bassin plus par envie que par autre chose. Sentant ses mains sur mes hanches, ma robe se releva avec une rapidité hors norme. Attrapant mon string le décalant, j’entendis alors la fermeture éclair de son pantalon. Oh bordel on… Il…. L’amour ? Et si j’avais le sida… Et si la lui avait ? Et ... Je ne prenais pas la pilule ! Capote ? Capote ou pas ? Bordel j’étais sans voix… Fermant les yeux en posant les mains sur le mur je le sentis entrer en moi avec rapidité et violence. Ecarquillant les yeux en poussant un franc cri de plaisir je sentis alors sa main se poser fortement contre ma bouche pour m’empêcher de hurler. Penchant la tête en arrière sa main sur ma hanche se resserrant je sentis son souffle dans mes cheveux me figeant doucement en me retrouvant sur la pointe des pieds a chaque coup de bassin qu’il me fit. Cambrant le dos, une foulée de pensées traversa mon esprit. J’avais dix sept ans, je venais de perdre ma virginité sans que j’ai eu un mot a dire… Et a la vérité je men foutais car, putain c’était foutrement bon ! Gémissant contre sa main je la léchais doucement en mordillant sa peau, la sueur couvrant mon visage tout en tremblant. Bougeant quelque peu les fesses, laissant parler mon désir, j’entendis quelques gémissements de sa part. Bon dieu… Bon dieu Ce mec était dieu ! Oui ! Lâchant le mur je posais une main sur sa cuisse la lui caressant fortement en le griffant, tirant sur son pantalon, sa main serrant de plus en plus ma bouche. Me figeant en sentant le plaisir monter avec puissance, je me mis a hurler contre sa paume de main la lui mordant sans aucune retenu jouissant franchement en sentant l’orgasme m’envahir. Les yeux totalement remplit de désir a moitié fermé, je le sentis jouir en moi. Pas de capote ! Merde, merde, merde ! Non ! Oh oui si… Putain oui, encore ! Le mordant de plus belle me faisant mal, je l’entendis gémir un peu plus fort. Souriant en coin en le sentant cesser peu à peu les vas et vient, je poussais un faible soupire, sa main lâchant ma bouche caressant furtivement ma joue se posant sur ma taille. L’entendant respirer fortement je fis de même en penchant la tête en arrière. « Putain de…Merde… » soufflai-je doucement a voix basse. Le sentant se retirer après quelques secondes, je sentis mon string se remettre en place sous ses doigts, ma robe se replaçant elle aussi. Inspirant longuement en souriant franchement, je me sentais différente… Comme… Une femme… non mais n’importe quoi… Sentant sa semence couler le long de mes cuisses je baissais un vague regard sur celle-ci tout en gémissant. « Enchanté d'avoir fait ta connaissance. » Me claquant franchement et fortement une fesse me faisant sursauter en lâchant un petit cri de plaisir, je me tournais vers lui en croisant son regard d’un bleu envoutant avant qu’il ne fasse demi-tour, un léger sourire aux lèvres pour filer. « Moi de même… » Dis-je en le voyant partir. Attrapant mon sac je m’essuyais rapidement avant d’attendre quelques secondes. Sortant a mon tour, je relevais le regard vers la salle le cherchant du regard avant de le croiser celui-ci me regardant longuement avant de sourire franchement me faisant signe de regarder mon visage avec sa main. Posant ma main sur ma joue je ne compris pas. Celui-ci me désignant ma bouche je déviais ma main dessus en comprenant enfin. Sa main… il ne m’avait tout de même pas… Le regardant en souriant en coin je lui fis un léger clin d’œil avant de me tourner pour filer dans les toilettes. Il m’avait marqué… Prenant mon sac pour me maquiller rapidement, je mis un peu de fond de teint cachant brièvement la marque sur mon visage. Bon sang mais… J’avais même un bleu. Oh le barbare ! Souriant en coin en mordillant mes lèvres je pris un stylo et mon bloc de post it écrivant dessus. Prenant le mot en main, je sortis de la pièce marchant de mon allure franche, la tête haute, le regard plongeait dans le sien, je me dirigeais droit vers ce croupier que j’aimais et qui venait de me pendre sauvagement en me prenant la virginité. Regardant sa table, je m’arrêtais l’air de rien en regardant les joueurs, leur faisant un franc sourire, avant de mettre le mot dans la poche du dit croupier m’en allant alors l’air de rien pour rejoindre Kimberley aux machines à sous. « Mais... t’as fait quoi à ta bouche ? Tu as un bleu et tu es rouge ! » « C’est une longue histoire… Je te raconterai a la maison… » Une longue histoire oui… Et il était clair que le Wynni’s venait de devenir mon casino favoris… Je comptais bel et bien revenir… Oh que oui… Je voulais revoir ce croupier, je voulais… coucher a nouveau avec lui… Et j’espérais que vu le mot que je lui avais dit qu’il voudrait lui aussi. Un mot simple, un mot qui voulait tout dire…. Tout simplement… « Très bon coup… Le meilleur… A très bientôt… Zeppelin. »


Dernière édition par N. Zeppelin Redeccini le Mar 26 Juil - 11:22, édité 12 fois
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N. Zeppelin Redeccini


And what else ?

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✔ AGE : 19 ans
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 30 mars 1992
✔ CUPIDON : Libre comme l'air mais très amoureuse ...
✔ MON BOULOT : Fille à papa !
✔ MON HUMEUR : fétarde
✔ PORTE(S) BONHEUR : - Le chiffre 6 ! C'est mon porte bonheur.
- Frutti la peluche de mon frère !
- La gourmette de mon autre frère.
✔ MES SURNOMS : Led, Zep, Nirvi, Rinà, et j'en passe !
✔ MA CITATION : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence...
© CRÉDITS : Baylee
★ AVATAR : Kristen Stewart
✔ SEXE : Féminin
✔ MESSAGES : 110
✔ DOUBLE COMPTE : Nop
✔ INSCRIPTION : 21/07/2011
✔ NAISSANCE : 31/10/1989

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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 8:06


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« Joyeux anniversaire ma princesse chérie ! » souriant à mon père je lui lançais un bref regard avant de tourner un regard circulaire a la table regardant alors mes sœurs, mon frère, Kimberley, ma… belle mère … Il manquait le plus important a mes yeux… Carter, l’homme que j’aimais… Soupirant faiblement en regardant les bougies, je soufflais fortement dessus, en voyant la fumée de celle-ci. « Merci papa… » murmurai-je doucement. Dix huit ans. La majorité dans mon pays, mais pas ici. Inspirant fortement en plissant les lèvres je relevais un regard vers mon frère tout en souriant en coin lui faisant signe de venir près de moi, chose qu’il fit rapidement. Me prenant dans ses bras je le serrais fortement en souriant en coin. J’étais bien là, seule ma belle mère de dix neuf ans était de trop… Et il manquait toujours celui que j’aimais, l’amour de ma vie… Me donnant une part de gâteau je la mangeais lentement sans rien dire sans rien faire d’autre tout en inspirant longuement. Ouvrant les cadeaux, j’eus un magnifique bracelet en diamant de mon père ainsi que la bague assorti et les boucles d’oreilles. Les mettant rapidement je le remerciant rapidement avant d’ouvrir le paquet de mon frère. Qui lui me connaissait encore plus. Un bon pour aller récupérer un tableau, celui que j’avais aimé en allant visiter la galerie d’art. Lui murmurant je t’aime a voix basse, je me tournais vers ma belle mère pour prendre son cadeau. Un livre de politique… Elle était vraiment sérieuse là ? Riant nerveusement je le lui rendis en me levant de table. « Je me tire…. Papa… Le jour ou t’aura viré cette poufiasse de chez toi, je mettrais peut être, je dis bien peut être à nouveau les pieds chez toi…. Mais la plutôt crever ! Un livre de politique ? Elle n’est pas sérieuse là ? Mais putain tire toi ! T’es la que pour l’argent de mon père ! Tu lui suce son fric et… surement autre chose ! Mais ça je m’en fous ! Mais putain… Ouvre les yeux papa ! C’est elle ou moi ! » Prenant mes cadeaux je partis alors de la villa claquant la pote pour filer dans ma voiture. Soupirant longuement, je mis le contact partant alors vers le centre de Vegas. Il fallait que je le voie… Oui, que je le vois et sur le champ. Il ne bossait pas ce soir… enfin… Normalement il avait fini il y a une heure… Est-ce qu’il serait chez lui ? J’espérais que oui… Appuyant sur l’accélérateur pour arriver plus vite, j’inspirais longuement en me garant levant un regard vers son étage. Lumière ! Bingo ! Léchant mes lèvres, je pris mon sac en sortant de la voiture. Fermant à clé, je filais dans le bâtiment prenant l’ascenseur pour filer alors dans son appartement luxueux. Sortant mon trousseau de clé, je glissais la clé de son appartement dans la serrure. Il était seulement mon plan cul…Un plan cul hard, sauvage, je l’aimais démesurément… Et nous avions fait un accord… Juste du cul… Nous devions nous séparer sans aucun souci… Mais les sentiments évolués… Je l’aimais de plus en plus et nos parties de baises étaient des plus intenses… On passait parfois nos nuits à coucher ensemble… parfois même la journée… Plus le temps avançait et plus c’était intense et … Wow… Ouvrant la porte je la fermais derrière moi à clé. Le voyant alors a table se tournant vers moi. « On devait se voir ? » Lui lançant un regard quelque peu neutre, je jetais mon sac sur la table m’installant en face de lui en le regardant manger. « Non…. Mais chez moi l’ambiance est pourrie… On va dire que… C’est un anniversaire raté… Joyeux anniversaire Zeppelin ! » Lâchai-je en lui piquant son verre le buvant cul sec l’air de rien avant de me lever pour mettre de la musique. Fouillant dans ses CD, je pris du ACDC le mettant alors doucement en secouant la tête. Venant vers lui je dansais doucement en lui souriant faiblement. Il était simplement vêtu d’un jean comme a chaque fois qu’il était seul chez lui. Souriant de plus belle en me collant a son dos, j’embrassais doucement son épaule en le léchant longuement. « Fini de manger va… Prend des forces… Je veux fêter mon anniversaire dignement ! Et hum… Buono Appetito.. » Soufflai-je en léchant sa joue lentement avec sensualité avant de me reculer pour me mettre face a lui me déshabillant alors lentement. Enlevant d’abord mon haut, je fis de même avec ma jupe restant en sous vêtement avant d’enlever lentement mon soutien gorge le jetant sur lui avant d’enlever mon string le jetant sur son visage en souriant en coin. Montant sur la table m’asseyant les jambes écartées en face de son assiette, je vis son regard totalement sauvage sur mon corps. « Zep… Je n’ai pas fini de manger que… J’ai envie du dessert… » Dit-il en touchant ma cuisse. Lui tapant la main, je riais quelque peu en lui lançant un regard Franchement sauvage. « Mange ! Et tu auras droit a ton dessert favoris après ! » soufflai-je doucement en fermant mes cuisses avant de les rouvrir l’air de rien le provoquant un peu plus du regard tout en le regardant manger. Finissant son assiette, il la balança par terre avant de m’attraper les cuisses pour me tirer au bord de la table. « Dessert ! » Lâcha-t-il en venant mordre mon intimité. Poussant un franc cri de plaisir, en cambrant le dos, j’écartais un peu plus les jambes en me penchant en arrière. « Oh bordel oui ! Déguste le hein ! » soufflai-je en m’allongeant le laissant alors faire, ses mains caressant doucement mes cuisses, sa bouche et sa langue s’occupant de mon entre jambe. « Bon anniversaire Zeppelin… » Soufla-t-il doucement. Oh que oui… ça serait le meilleur anniversaire de toute ma vie…

« Toi, moi, ce soir… On baise ! » Envoyai-je rapidement via un sms en regardant Carter a sa table alors que je me trouvais trois table plus loin de lui. Attendant que sa partie finisse je le vis prendre son téléphone me souriant faiblement en pianotant sur son téléphone. « Tu veux dire dans quelques minutes ? Je finis dans… Dix minutes beauté. » Léchant mes lèvres en lui lançant un regard franchement sauvage, je mis tapis sur ma table en textotant rapidement. « Hmpf … On part ensemble alors… Réserve ta nuit, et la place a coté de ton lit je squatte chez toi… » Gagnant une nouvelle fois au poker, je pris mes jetons rapidement en les mettant dans le pot à jetons avant de venir vers Carter l’air de rien lui mettant trois jetons de milles dans sa poche en souriant en coin. « J’en ai pas besoin… » Murmurai-je doucement au creux de son oreille la lui léchant l’air de rien avant de filer en bas à ma voiture. Montant dedans je filais chez lui ayant les clés de chez lui. M’installant confortablement, je pris rapidement une douche avant de me sécher restant nue me faisant rapidement un rail de coke. La drogue faisant effet je m’adossais au mur attendant qu’il arrive. La clé s’insérant dans la serrure je me redressais en le voyant apparaitre devant moi. Le laissant fermer la porte, je m’approchais doucement de lui. « Une déesse dans mon appartement… » Riant doucement je lui sautais dessus enroulant mes jambes a sa taille en l’embrassant franchement, ma langue se pressent contre la sienne avec ardeur. Gémissant longuement je tirais ses cheveux avec poigne et force tout en bougeant le bassin. « Baise moi et vite ! Je suis en manque là ! » Soufflai-je contre ses lèvres tout en tremblant doucement le laissant me plaquer contre la porte d’entrée bougeant franchement le bassin, sentant son membre durcit contre mon intimité. Hurlant doucement je cambrais le dos, entendant sa braguette s’ouvrir je lui lançais un bref regard avant de faire l’amour toute la nuit avec lui.


« Attends Zep, faut que je te le dise, bordel de merde…Tu sais que… sa fait plus de quatre ans qu’on se connait…On passe de nombreuses soirées ensemble on drague, on envoi chier les mecs et tout et tout… Mais là… Je peux plus te le cacher… » La regardant longuement je fronçais les sourcils en croisant les bras. « Et donc ? Accouche Kimberley… » soufflai-je doucement en la regardant longuement. « Je suis amoureuse… tu vois le genre d’amour incontrôlable… les papillonnements dans le ventre, la chaleur quand on lui parle, le cœur qui bas vite… » Ecarquillant les yeux je lui fis un grand sourire en croisant mes jambes simplement habillée d’un string et d’un soutient gorge tout comme elle. « Oh bordel comme moi avec Carter ! Dis-moi qui s’est je le connais ? » « Oui… Je… c’est ton père. » « Sérieux ? Mais c’est… Quoi ? Attends, quoi ? QUOI ? Mon… père… Le mien ? Celui qui a genre… vingt deux, vingt trois ans de plus que toi ? » Soufflai-je sous le choc. « Zep… Ne m’en veux pas ok ? Je… tu sais ce que je vis, tu aimes Carter… Tu peux me comprendre… » Inspirant longuement en me relevant, je filais dans mon dressing avant d’enfiler une légère robe, fluette courte, de couleur bleu nuit en soufflant longuement. « Je te comprend…. Je préfère te voir toi avec mon père que d’autre… Mais… Wow… C’est un choc pour moi, je… Je vais sortir… Je… Ne sais pas quand je rentrerais… D’accord… Je… A tout a l’heure ou demain ! » Sortant de ma chambre, je pris mon sac et filant alors de chez moi filant au casino. Il était une heure du matin, mais je savais que Carter y bossait encore. Donnant les clés de voiture au voiturier une fois dedans, je me mis a marcher rapidement dans le casino, allant a la table ou il bossait. Le regardant de dos, je restais un long moment à le contempler. Mon cœur s’emballant, je me sentis tout a coup bien, tellement bien… Je l’aimais… Riant doucement je fis demi-tour allant dans le hall pour réserver une chambre pour la nuit. Une fois les clés de celle-ci en main, je retournais vers lui me mettant derrière lui l’air de rien. « Chambre cent soixante neuf… Je t’attends après ton boulot, j’ai besoin de toi, de sexe, de coup de rein, de hard… » soufflai-je doucement en lui pinçant les fesses. Filant dans la chambre, je me mis totalement nue, me faisant alors couler un bon bain bien chaud, commandant alors plusieurs bouteilles de champagne avec des paillettes d’or dedans. Une fois apportait, dans des sots de glace, je les mis dans la salle de bains avec moi fumant alors un bon joint une fois dans l’eau. Le paradis. Joint dans la main droite, bouteille dans la main gauche…. Il manquait plus que le sexe… Regardant le plafond en vidant peu a peu la baignoire pour la remplir a nouveau d’eau brulante, j’entendis alors la porte s’ouvrir et se fermer. « Je suis dans la salle de bains mon chou ! » Criai-je doucement en posant la bouteille pratiquement vide sur le sol en le voyant arriver. Son regard passant des bouteilles à moi, un sourire s’étira sur ses lèvres. Me redressant en riant doucement saoule je passais mes mains dans mes cheveux. « Me regarde pas comme ça… J’ai besoin de sexe c’est vitale là… » Le voyant s’approcher de la baignoire enlevant ses chaussure il se faufila dedans habillé. « Mais… T’es fou t’es habillé Cart’ chéri ! » M’embrassant franchement pour me faire taire, il glissant une main sur ma poitrine puis sur mon entre jambe entreprenant de me faire du bien. Restant pratiquement toute la nuit dans la baignoire a faire l’amour, on en sorti une fois l’eau froide, a moitié vidé. Tout trempe sans même se sécher on échoua sur le lit pour finir notre nuit s’endormant alors a moitié mort ayant du mal a bouger.


« Tu devrais m’embrasser non ? Genre faire genre d’être ma petite amie non ? Car là on ne dirait pas… » Levant les yeux au ciel en regardant le client avec qui j’étais, une célébrité du monde du mannequinat, totalement gay qui voulait pas que cela se sache et voulait simplement s’afficher avec une fille, il m’avait alors contacté. « Je crois que les gens comprennent… Mais oui, on peut s’embrasser… » Soufflai-je en me penchant vers lui pour l’embrasser doucement en caressant sa joue avant de me redresser tournant un regard vers Carter qui nous regardait. Lui faisant un clin d’œil je détournai le regard en regardant mon client parler avec d’autre gens. Sa main sur mon épaule, mon bras dans son dos, on faisait clairement couple. Alors que nous ne l’étions pas. Je m’ennuyais, parler mannequinat et du monde des anorexique… Peu pour moi. Regardant Carter travailler, je croisais à plusieurs reprise son regard, commençant alors a le chauffer en passant ma langue contre ma joue l’air de rien en le regardant de façon sauvage. Je voulais l’exciter, oui, le rendre fou, fou de moi. Faisant cela pendant plus d’une heure, je le vis quitter sa table en me souriant. Plissant les sourcils, je me tournais vers mon client l’air de rien murmurant a son oreille que je revenais rapidement. Filant aux traces de Carter, je fus rapidement plaqué dans un coin sombre derrière une porte. Ses lèvres sur les miennes il m’arracha mon string me faisant alors franchement l’amour. Nos regards plongés l’un dans l’autre sans cesser de m’embrasser, se fut le meilleur vite fait bien fait de toute ma vie. Le voyant avec mon string en main je tendis la main pour le récupérer, quand il se recula, un regard malicieux, portant celui-ci à son nez inspirant fortement. Ecarquillant les yeux en le regardant longuement je me mis doucement à rire. « Bordel mais tu es… Barge ! A noël je t’offre un string usagé mon mignon… » Voilà ce que je vivais depuis plus d’un an… Un plan cul avec l’homme que j’aimais… On couchait partout ou on pouvait… On avait pas peur d’être vu… Et c’était ça qui était bon…




Dernière édition par N. Zeppelin Redeccini le Mar 26 Juil - 13:34, édité 2 fois
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N. Zeppelin Redeccini


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✔ AGE : 19 ans
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 30 mars 1992
✔ CUPIDON : Libre comme l'air mais très amoureuse ...
✔ MON BOULOT : Fille à papa !
✔ MON HUMEUR : fétarde
✔ PORTE(S) BONHEUR : - Le chiffre 6 ! C'est mon porte bonheur.
- Frutti la peluche de mon frère !
- La gourmette de mon autre frère.
✔ MES SURNOMS : Led, Zep, Nirvi, Rinà, et j'en passe !
✔ MA CITATION : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence...
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 8:14
Je viens de capter un truc les filles chérie ... J'ai mis qu'un message pour mon histoire x) Hors il va m'en falloir 4 ><' donc je posterai après vos messages ou alors si vous pouviez supprimer vos messages et les reposter ? Comme ça j'ai mes 4 messages pour l'histoire ? Car ma dernière histoire m'a demandé 5 messages *sors loin*
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Pearl B. Hartley

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✔ MA CITATION : En fait tous les hommes sont des bêtes avant de trouver la femme parfaite au fond. Croquant alors à pleine dent la vie de célibataire en grognant de femmes en femmes… en dévorant certaines du regard pour en faire le diner dans une soupe chaude au lit pour ensuite les laisser rentrant et ne plus les revoir. Les hommes sont des bêtes et ensuite… ils rencontrent la belle… ils deviennent plus sérieux en ne grognant que sur une seule femme et ayant alors une soupe chaude dans leur lit toutes les nuits.
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 8:15
Poste après les messages (a) et je diviserais quand se sera fini Very Happy
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N. Zeppelin Redeccini


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 8:15
Oki ma choute '-'
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A. Caeline Deline


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✔ MA CITATION : « Parfois dans la vie, il se forme un lien indestructible entre deux personnes et parfois vous finissez par rencontrer cette personne sur qui vous pouvez comptez quoi qu’il arrive. Il peut s’agir d’un être avec qui vous vous unirez lors d’un mariage de rêve, mais il se peut aussi que la personne sur qui vous pourrez comptez pendant toute votre vie, la seule qui vous connaisse vraiment, peut-être encore plus que vous même, soit la même personne qui est a vos côtés depuis le tout début. »
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 8:17
    Bienvenue ici ♥
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N. Zeppelin Redeccini


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 8:18
Merci beaucoup (:
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Ally M. Swayne


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 10:17
Bienvenuuuue
& courage pour ta fiche ♥
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Owen E. Locksley


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 10:49
Bienvenue à Vegas!!

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N. Zeppelin Redeccini


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 10:54
Merci à tous les deux Very Happy
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 21:06
Bienvenue!! Smile
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyJeu 21 Juil - 23:43
Merci Paul bave Garde moi un lien au chaud Very Happy
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptySam 23 Juil - 1:16
Bienvenue sur le forum. ♥ Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence 2473379067
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N. Zeppelin Redeccini


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✔ MON BOULOT : Fille à papa !
✔ MON HUMEUR : fétarde
✔ PORTE(S) BONHEUR : - Le chiffre 6 ! C'est mon porte bonheur.
- Frutti la peluche de mon frère !
- La gourmette de mon autre frère.
✔ MES SURNOMS : Led, Zep, Nirvi, Rinà, et j'en passe !
✔ MA CITATION : Abandonnez tous vos sens au plaisir, qu'il soit le seul dieu de votre existence...
© CRÉDITS : Baylee
★ AVATAR : Kristen Stewart
✔ SEXE : Féminin
✔ MESSAGES : 110
✔ DOUBLE COMPTE : Nop
✔ INSCRIPTION : 21/07/2011
✔ NAISSANCE : 31/10/1989

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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptySam 23 Juil - 1:17
JENSEN '-'

Merci beaucoup (a)
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptySam 23 Juil - 23:00
Bienvenue (:
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N. Zeppelin Redeccini


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptySam 23 Juil - 23:33
Merci beaucoup (:
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N. Zeppelin Redeccini


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyDim 24 Juil - 7:06
Juste pour prévenir que mon histoire ne tiens pas dans un seul message '-' du coup j'ai du poster le reste après le message de Pearl '-' Et j'ai pas fini soit dit en passant *sors loin*
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987
✔ CUPIDON : Célibataire (ou presque)
✔ MON BOULOT : Chef de la sécurité
✔ MON HUMEUR : Bonne
✔ PORTE(S) BONHEUR : Un bracelet breloque qui appartenait à ma mère. Je ne le quitte plus depuis mes 5 ans et il tient bon le temps.
✔ MES SURNOMS : Perle, Pearly, P. mais je ne suis pas difficile car l'on me nomme aussi TIC, ZIP... ahah et le jambon mais longue histoire.
✔ MA CITATION : En fait tous les hommes sont des bêtes avant de trouver la femme parfaite au fond. Croquant alors à pleine dent la vie de célibataire en grognant de femmes en femmes… en dévorant certaines du regard pour en faire le diner dans une soupe chaude au lit pour ensuite les laisser rentrant et ne plus les revoir. Les hommes sont des bêtes et ensuite… ils rencontrent la belle… ils deviennent plus sérieux en ne grognant que sur une seule femme et ayant alors une soupe chaude dans leur lit toutes les nuits.
© CRÉDITS : Crazy Bunny
★ AVATAR : Nina Dobrev
✔ SEXE : Féminin
✔ MESSAGES : 9828
✔ INSCRIPTION : 28/06/2011
✔ NAISSANCE : 10/01/1989

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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyMar 26 Juil - 13:54
Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence 2890962141 Sujet nettoyé en passant x) pour les surplus Very Happy
Je t'ai validée ma bichette Very Happy
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N. Zeppelin Redeccini


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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence EmptyMar 26 Juil - 14:20
Merci beaucoup ma pandichou Very Happy
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MessageSujet: Re: Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence   Je suis la tentation en elle même, touche moi je te contamine de mon essence Empty
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