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PEARL ○ La perle dans mes yeux, brilles dans votre coeur !
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Pearl B. Hartley

Take My Breath Away
I lose control and shiver deep inside

And what else ?

PEARL ○ La perle dans mes yeux, brilles dans votre coeur ! 407075ND3

✔ AGE : 24 ans
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987
✔ CUPIDON : Célibataire (ou presque)
✔ MON BOULOT : Chef de la sécurité
✔ MON HUMEUR : Bonne
✔ PORTE(S) BONHEUR : Un bracelet breloque qui appartenait à ma mère. Je ne le quitte plus depuis mes 5 ans et il tient bon le temps.
✔ MES SURNOMS : Perle, Pearly, P. mais je ne suis pas difficile car l'on me nomme aussi TIC, ZIP... ahah et le jambon mais longue histoire.
✔ MA CITATION : En fait tous les hommes sont des bêtes avant de trouver la femme parfaite au fond. Croquant alors à pleine dent la vie de célibataire en grognant de femmes en femmes… en dévorant certaines du regard pour en faire le diner dans une soupe chaude au lit pour ensuite les laisser rentrant et ne plus les revoir. Les hommes sont des bêtes et ensuite… ils rencontrent la belle… ils deviennent plus sérieux en ne grognant que sur une seule femme et ayant alors une soupe chaude dans leur lit toutes les nuits.
© CRÉDITS : Crazy Bunny
★ AVATAR : Nina Dobrev
✔ SEXE : Féminin
✔ MESSAGES : 9828
✔ INSCRIPTION : 28/06/2011
✔ NAISSANCE : 10/01/1989

the diCe ARE cast

My life
Salaire: 2 385 Dollars
Friends or not ?:

PEARL ○ La perle dans mes yeux, brilles dans votre coeur ! Vide
MessageSujet: PEARL ○ La perle dans mes yeux, brilles dans votre coeur !   PEARL ○ La perle dans mes yeux, brilles dans votre coeur ! EmptyVen 1 Juil - 8:54
feat : Nina Dobrev
NAISSANCE : 10/01/1987 (à San Diego)
EMPLOI : Chef de la sécurité du Bellagio et fille du proprio.
LOISIRS : Il est difficile de-vous conter mes loisirs car je suis une énigme complexe moi-même. Souvent je peux adorer la mode et le shopping et pourtant je ne dirais rien contre un simple survêtement et une journée canapé. Je peux parfois être admiratif des fêtes arrosées et m’amuser avec l’alcool tout comme cependant favoriser la fête sans alcool. J’aime trainer avec les enfants et m’occuper de ceux de l’orphelinat ou les maisons de quartiers suite à mon enfance. Je suis assez dans les œuvres caritatives et je vais souvent en Afrique ou dans les pays défavoriser pour idée. J’aime assez passer du temps avec les gens que j’aime tout comme ceux que je déteste quand je ne passe pas du temps chez mon psychologue qui veux absolument que je vienne à bout de mon traumatisme d’enfance qui me renferme dans deux vies. J’aime aussi les sports en tout genre comme aussi les sport de défense. Je suis ceinture noire de judo et je donne souvent des cours au casino aux petits des clients. Je suis assez douée au tir et possède mon port d’arme. J’aime aller me défouler au stand de tir quand je suis un peu à cran. Je pratique aussi de l'équitation.
COMPTE EN BANQUE : Très très rempli ! Beaucoup de chiffres, merci papa.

CARACTÈRE : Je suis assez complexe et totalement difficile car lunatique, je peux être froide ou chaude (pas sexuellement parlant du tout) avec certaines personnes mais en 3 secondes d’intervalles aussi. Je peux me montrer impulsive et rapidement sur la défensive étant assez attentive aux mouvements des gens. Je suis dotée d’un Q.I. un peu élevé et d’une capacité que l’on dit « inhibition latente » suite à un enfermement dans le noir, je suis psychologiquement apte à chercher tous les détails autour de moi et les trier… je n’en omets pas un seul c’est ce qui fait de moi le profil parfois pour la sécurité, je ne loupe rien mais l’on ne me laisse pas vraiment de « crédibilité » car on me pense : fille à papa, fragile et j’en passe. Je suis douce et très attentive à ce qui se passe autour de moi. Fragile, je cache mes 5 premières années de ma vie à ma propre mémoire en oubliant un moment tragique de ma vie et constituant dans ma tête la vie que j’aurais dû avoir. Je suis assez vivante et active, je n’arrête jamais de bouger. Maniaque et avec mon caractère, l’on ne me marche pas sur les pieds. Je suis du genre têtu et intrépide à grimper au-dessus des arbres et des murs sans hésiter. Je n’ai peur de rien et de personne alors que j’ai peur de tout. J’ai du cran et je tiens tête sans hésiter.
J'AIME : J’aime rester pendant des heures dans le désert de Las Vegas avec Tornade, mon étalon juste pour regarder autour de moi et réfléchir. J’aime beaucoup les films Disney et manger du pop-corn devant la télévision. J’aime sortir et surtout pas rester au bar, j’aime danser avec ou sans alcool car je sais m’amuser sans bien sûr. J’aime traumatiser papa avec des tenues trop décolleté juste par ce que j’adore quand il n’est pas content. J’aime rendre dingue Marshall et j’aime Marshall, mon grand frère. J’aime Tornade, mon étalon qui me fut offert par papa et j’aime Chichi, mon chaton de 2 mois que je viens d’adopter.
JE DÉTESTE : Je n’aime pas les crétins qui me tournent autour pour mon argent et je ne vois que ça et seulement ça. Je n’aime pas mon traumatisme qui depuis quelques mois m’énervent à me faire devenir dingue et m’enfermer dans une vie qui n’est pas la mienne. Je déteste mon passé et le con qui a tué ma mère biologique. Je déteste avoir peur qu’un jour il vienne finir ce qu’il a commencé et me tue. Je déteste dormir avec mon arme sous mon oreiller avec la crainte qu’il se pointe et fasse de moi : un cadavre. Je déteste laisser un homme commander ma vie sans mon père et parfois Marshall car il n’a pas toujours tort. Je déteste oublier ma mère biologique qui m’a rendue heureuse pendant les 4 premières de ma vie pour aimer ma mère, celle qui m’a tout donnée depuis qu’on m’a adoptée.
TICS/HABITUDES : Ne parle jamais de son passé. Passe la main sur son front quand elle se met en colère. Cogne très rapidement quand elle se sent en danger et n’hésite pas à sortir son arme. Bosse en robe courte et mini-jupe parfois même en talon aiguille. Se tortille les cheveux quand elle réfléchit. Fait souvent mine de sa limer les ongles quand elle veut montrer qu’elle a tout son temps mais arrivera à ce qu’elle veut avoir ou faire faire.
ANECDOTES : Une fois, un gars trop hot était sur une table de blackjack et je lui ai fait mine de faire tomber un jeton sous la table juste pour looker son popotin. Mon père n’était pas content en voyant ça sur les caméras. J’ai déjà passée 9 heures dans la salle d’interrogatoire avec un tricheur qui m’affirmait qu’il ne trichait pas. J’ai finis par le faire boire du whisky jusqu’à confession sous l’alcool en apprenant d’ailleurs que j’avais couché avec son fils le jour avant.


« Je veux réaliser mes rêves », disait cette jeune femme tout droit de San Diego alors qu’elle n’avait même pas 18 ans. Cette jeune femme ambitieuse et surtout rêveuse n’avait jamais rien gagnée dans la vie sauf un père violent et une mère alcoolique. Sienna n’a jamais connue que les jugements et la tristesse dans sa vie et lorsqu’elle fuguait pour changer sa vie avec seulement 10 dollars en poche… Las Vegas et ses promesses qu’une vie de richesse l’a perdue. Elle était là depuis 2 mois avec seulement une pomme de terre dans son assiette et un boulot de concierge dans un petit motel qui laissait des chambres médiocres pour un prix aussi médiocres, elle n’avait pourtant pas perdue ses rêves, elle voulait réussir. « Je ne perdrais pas espoir », dit-elle au jeune homme qu’elle venait de rencontrer et qui lui promettait bon et merveille alors qu’elle tombait amoureuse. Il était marié mais elle n’en savait rien, elle l’aimait comme elle n’avait jamais aimée, il lui donnait le bonheur dont elle avait besoin depuis des mois alors que ce jour-là, tout s’enchaina quand elle fit un test de grossesse. « Je suis enceinte », lui dit-elle alors qu’elle ne savait que peu de choses sur lui et elle ne se doutait pas une seconde qu’il était riche et construisais ce qui deviendra un des plus riches casinos de la ville. « Tu ne peux pas garder cet enfant », lui commanda-t-il. « Je suis marié et j’ai un fils ». Tout le monde de cette jeune femme naïve qui ne voulait rien de plus qu’aimer l’homme qu’elle aimait était réduit à néant. Son espoir d’avoir rencontré le grand amour et toute la confiance qu’elle avait en lui. Rien n’était droit dans sa tête, tout n’était devenue que haine et froideur avant qu’elle ne touche son ventre et sourit car elle avait enfin un cadeau, un cadeau qu’elle chérirait : Son enfant.

Le lien qui attachait déjà la douce Sienna avec son enfant alors qu’elle n’était que dans son ventre était magnifique. Elle se battait pour sa fille en fouillant après les moindres petits boulots pour lui donner une fille magnifique une fois qu’elle sortirait du ventre de sa maman. Elle voulait que son enfant ne vive pas ce qu’elle a vécu, elle voulait donner à sa fille ce qu’elle n’avait jamais eue même si elle devait s’en fatiguer. Souvent, elle lui parlait et lui racontait des histoires en touchant son ventre alors qu’elle donnait des coups de pieds. « Tu sais, ma chérie. Tu seras une personne formidable plus tard, tu feras de grandes choses. Je le sens. Tu es une battante. Tu es ma fille, mon sang et ma chair. Un jour, tu me demanderas pourquoi tu n’as pas de papa. Je le sais et c’est normal et je te dirais simplement : Qui que soit ton père, il t’aime et pense à toi. », Elle savait que c’était vrai et même s’il ne voulait pas l’admettre ou reconnaitre sa fille… elle n’avait jamais doutée de ses sentiments en espérant seulement qu’un jour, il vienne et participe à la vie de sa fille. . . C’est après quelques mois qu’elle donna naissance un 10 janvier 1987 à cette douce petite fille alors qu’elle perdait les eaux… le taxi ne prit qu’une vingtaine de minute pour arriver à l’hôpital ainsi que le père de sa fille alarmé par un appel de l’hôpital puisqu’elle avait donné son numéro par urgence. Il n’avait plus de nouvelle de Sienna depuis 8 mois, plus un mot et là… la surprise : elle accouchait d’une petite fille. La surprise cependant pour cette jeune femme fut d’apprendre qu’elle attendait à vrai dire deux filles, une sœur jumelle mais son cœur se brisa un peu lorsqu’elle apprit que celle-ci était morte à la naissance. Elle se demandait déjà pourquoi la sage-femme avait refusée de lui montrer son bébé. C’était un peu le bazar dans la tête de cette jeune maman qui ne savait pas vraiment comme approcher cette nouvelle. Elle se braqua et se promit de ne plus jamais y penser et ne dit jamais rien à personne sur l’existence de cette jumelle qui n’est pas morte ce qu’elle ne savait pas non plus.

« Pearl Beverly Donovan, bienvenue dans ce monde », me disait maman alors que je ne comprenais rien et ne voyait encore que floue car oui, je me présente Pearl Beverly Donovan. Elle était tellement perdue dans mes yeux bruns qu’elle n’avait pas vue Georges, mon père. « Quel est son prénom ? », dit-il en s’approchant. Elle ne répondit pas pendant un long moment, elle ne voyait que son enfant. Elle ne voyait qu’elle et plus qu’elle depuis 8 mois. « Pearl », dit-elle avant de rajouter « Et c’est ma fille ». Le « ma » ne passait pas inaperçue dans les oreilles du jeune Hartley qui attendait rien que son tour pour regarder sa petite fille et quand il croisa son regard, il ne pouvait s’empêcher de reculer, il avait toujours voulu une fille à jouailler. Toujours et il ne voulait pas foirer sa vie en la laissant entre dans la sienne. Il savait pertinemment que ce sentiment était égoïste et ignoble car ce n’était qu’un bébé qu’une enfant, son enfant. Sa fille. « Je ne peux pas », dit-il. « Je ne peux pas m’attacher à elle, désolée ». Il partit alors et elle ne le vit plus depuis sauf dans la presse car oui, elle ne s’était pas encore rendu compte qu’il était riche et célèbre. Ma mère fit tout pour moi, elle enchainait les boulots aussi stupide soit-il comme vendeuse dans des supermarchés, baby-sitter et même striptease et dealer alors qu’elle ne prenait pas de drogue ou alcool, elle voulait juste m’offrir le meilleur en refusant les aides que lui proposait son père qui voulait absolument se reprendre bonne conscience après nous avoir lâchement abandonnée. Je vécue mes premières années naturellement comme tous les bébés, j’apprenais à marcher tôt et parler comme des grands rapidement. J’avais un Q.I. développé surement dû à la présence de ma mère pendant sa grossesse d’après les docteurs, elle ne parlait qu’à moi.


« Maman ? Pourquoi j’ai pas de papa ? », Disais-je alors que je n’avais que 4 années et que tout le monde autour de moi parlait de papa à l’école. Ils avaient tous un monsieur qui venait les chercher quand maman n’était pas là. J’aimais bien le papa d’Agnès car il me donnait toujours un bonbon quand il passait prendre mon amie. Il était gentille et nous disais toujours que toutes les petits filles étaient des princesses. J’enviais Agnès. Je l’enviais, je voulais aussi mon papa. « Je veux un papa, on en trouve ou ? », rajoutais-je alors que je ne comprenais pas vraiment ce qu’était tout ça, les papas… je ne savais pas qu’il était le fruit de l’enfant. Je n’étais qu’une petite fille. « Tu as un papa et un jour il se rendra compte qu’il a une fille magnifique qui n’attend qu’une seule chose : qu’il soit là », elle était douce ma maman et elle avait toujours le mot pour me réconforter, elle avait toujours l’art de me dire les choses comme on devait le dire à une adulte et ne pas me parler comme l’on parlait à un enfant pour ne pas que je rêve. Je savais bien que mon père ne voulait pas de moi, je l’avais compris à sa phrase. « Un jour, il m’aimera et je lui montrerais que je suis une princesse comme toutes les petits filles. Je lui montrerais que je l’aime et que je l’aimerais toujours même s’il ne m’a pas aimée. Je pourrais lui dire : Papa, je t’aime », disais-je plusieurs fois à maman sans même savoir que c’était triste pour elle de l’entendre mais pour moi, c’était ma force. J’y tenais, c’était mon ambition et je savais qu’un jour cela arriverait. Je savais qu’un jour : je verrais mon père et que je lui dirais que je l’aime et que je lui pardonne de ne pas m’avoir aimée alors que je n’étais qu’un bébé. C’était difficile pour maman de m’entendre dire ça, je le voyais et pourtant je n’avais que 4 ans mais je le voyais. Comme je voyais qu’elle n’aimait pas son travail et qu’elle se fatiguait pour moi, elle n’était pas souvent là mais je l’aimais et je ne voulais pas qu’elle se fatigue pour moi, j’étais petite. Je ne savais pas le dire mais c’était comme ça, je voulais avoir ma maman avec moi et pas fatiguée, je voulais qu’elle puisse jouer avec moi. Qu’on puisse prendre la guitare et qu’elle me chante des chansons car elle avait une voix délicieuse, elle aimait la musique.

C’était un beau jour de mars, maman s’apprêtait pour aller travailler dans une jupe de cuir et des cuissardes qui lui remettait haut, un style qu’elle n’avait que deux soirs par semaine quand elle allait travailler. Elle n’aimait pas trop que je la regarde s’apprêter pour aller travailler le soir car parfois, elle essayait des sous-vêtements et elle ne voulait pas que je vois ça. Je ne savais pas pourquoi. « Maman, tu me raconteras une histoire, ce soir ? », peut-être me disait-elle. Une baby-sitter venait à chaque fois pour ma garder à la maison. Ce soir-là, maman était partie tôt avant de dire à la jeune femme qu’elle ne devait pas revenir la semaine prochaine, je l’avais bien entendu et pourtant je ne savais pas pourquoi. Pourquoi maman ne voulait plus de baby-sitter ? J’étais encore trop petite pour m’en rendre compte. C’est après une heure ou deux que deux monsieur baraqués et pas gentils arrivaient en défonçant la porte et assommant Marissa, ma baby-sitter dont l’instant était de me dire « Caches-toi » avant qu’ils ne l’assomment. « Marissa », disais-je en la voyant s’effondrer sur les sols et paniquant en regardant les messieurs « Maman, elle n’est pas là mais elle ne va pas être contente », disais-je en tentant de rester forte devant eux et ne pas montrer que j’avais peur car j’étais comme ça, j’étais une battante depuis que j’étais petite. Ils m’emmenèrent avec eux en me mettant un truc sur la bouche, je ne peux plus dire quoi car c’est une période que j’oublie un peu. Je fus transporter dans un lieu sombre et dont je me souvenais des gouttes tombant une à une sur le sol et coulant le long d’une paroi de métaux pour arriver à mes pieds. Je ne voyais rien mais mon esprit cherchant à trouver des détails pour me situer développa en quelques semaines des capacités… je devenais un peu plus éclairée par mon esprit en développant ce qu’on appelle un don ou une malédiction, l’« inhibition latente ». Je ne savais pas où était maman et quand elle viendrait me chercher. Je criais après elle, je criais à l’aide et l’on venait parfois me donner à manger et quand je criais de trop l’on me bâillonnait. Je n’avais pourtant pas peur, j’étais forte car je savais que maman viendrait me chercher. Je savais que maman reviendrait, oui. Je le savais.

Maman me cherchait partout avec ses lettres de menace disant qu’elle ne me revenait que si elle payait ce qu’elle devait aux méchants messieurs, elle pourrait me récupérer mais elle n’avait pas l’argent qu’elle n’avait même pas à rembourser. Elle voulait juste arrêter cette vie, arrêté de faire des choses qu’elle ne voulait pas faire et qui n’était pas un exemple pour moi. « J’ai besoin de toi, notre fille, elle a besoin de toi. », disait-elle lors d’un ultime appel à mon père, mon papa. Il ne comprenait pas pourquoi. « Que se passe-t-il ? », disait-il simplement sans même savoir ce qui se tramait à Las Vegas. C’était Vegas et les gens pouvaient y être odieux. Elle ne voulait pas de l’argent de papa, elle ne savait pas réellement de quoi elle avait besoin mais elle avait besoin d’aide et il n’y avait que lui pour l’aider. Elle n’avait plus le choix. « On l’a enlevé », pendant un court instant… il se sentait coupable mais comment pouvait-il l’avoir mise en danger ? Personne ne connaissait le lien qui les unissait. Personne sauf lui et maman ne savait qu’il était mon papa. Il ne fallut que quelques heures pour que mon père mette l’argent qu’il fallait dans une valisette et parte à ma recherche avec ma mère, il lui tenait la main comme pour la rassurer et lui montrer qu’il était là. Il avait toujours été là même s’il n’avait pas la force d’assumer ce que sa liaison pourrait créer dans sa vie. Ce que sa fille pourrait changer dans tout ce monde qu'il connaissait. Le moment fatidique de l’échange arrivait et ils étaient surpris d’avoir Georges Hartley face à eux, prêt à tout pour récupérer cet enfant captif dans un noir complet depuis plus de deux semaines qui n’avaient pas peur d’apparence mais pourtant était à deux doigts de sombrer dans la peur, dans ce noir.

« Voilà votre argent, on veut notre fille », dit-il en tendant la valise alors que les hommes paniquaient un peu après avoir enlevé la fille d’un PDG du Bellagio, cela se lisait sur leur visage alors qu’il ouvrait la porte d’une auto pour m’en faire sortir, oui. J’étais sortie de ce noir mais je n’ouvre pas les yeux en pensant que cela serait encore noir mais maman venait directement vers moi et posait ses mains sur mes joues pour vérifier que j’allais bien avant de me prendre dans ses bras mais c’est alors qu’une balle venant de nulle part atterrie tout droit sur elle. Je la sentie relâcher peu à peu l’étreinte et glisser sur le sol en ouvrant les yeux et la voyant à son tour papillonner et fermer les siens. Je ne comprenais pas pourquoi elle était de suite allongée sur le sol avec du sien qui coulait vers sa poitrine. « Maman… », on m’attirait plus loin, un homme que je ne connaissais pas, je ne savais pas qu’il était mon papa. « Viens, Pearl » et moi, je tenais la main de maman et refusait de la lâcher. « Maman, dors pas, tu saignes », disais-je en pensant que ma maman dormait pour ensuite me dégager des bras qui m’attirait et aller ma loger contre maman. Je ne disais rien, pas un mot ne sortait de ma bouche. Maman était morte ce soir-là et elle ne reviendrait jamais.


Je vivais alors chez ce monsieur, il se battait pour que je sois sa fille mais je ne savais pas que c’était mon vrai papa. J’étais peut-être dans le déni ? Car au fond de moi… je tiendrais toujours cette lumière qui me dit : c’est lui mais je ne veux pas être déçue donc je fais comme si je n’avais aucuns doutes : qui est mon père ? Je n’en sais rien mais celui qui a pour moi l’image d’un père, c’est lui. Depuis la mort de maman, je n’avais rien dis. J’avais maintenant un grand frère, il était gentil avec moi. Il m’amenait souvent des biscuits quand je regardais des dessins animés. Je ne disais rien et pourtant il me parlait, il me parlait de tout et de rien, il voulait jouer avec moi. Je ne voulais pas rester dans le noir et parfois, il venait me donner sa veilleuse et éteignait mes lumières pour que je puisse dormir. Et moi, je restais là depuis des mois sans un mot mais c’est alors que je me mis à pousser quelques mots en le regardant « Maman, ma maman, elle revient quand ? », disais-je avec une voix un peu difficile surtout que je perdais un peu mes mots. Je n’osais pas pleurer depuis que ma maman était morte, je n’osais même pas rire ou sourire, j’étais inerte et il me regarda alors « Elle est partie pour trouver la plus bonne tarte au citron, tu aimes ça ? Un jour, elle reviendra avec ta tarte au citron. La meilleure », j’étais petite et je captais ce qu’il me disait en attendant dès lors ma tarte au citron tous les jours. Peu à peu, je recommençais à parler, à sourire, à rire et à vivre en attendant ma tarte au citron. Je la voulais ma tarte au citron. Oh oui mais au fond de moi, je savais qu’elle dormait profondément et qu’elle ne me ramènerait pas ma tarte mais cela m’aidait.

Le don que j’avais était toujours présent et se développait de jour en jour quand je me concentrais sur des détails, je les visualisais et oubliais le reste en triant et réfléchissant devenant de plus en plus concentrée. Je devenais aussi un peu peureuse à cacher souvent des canifs sous mon oreiller et prenant des cours d’auto-défense en tout genre alors que je n’avais que 8 ans et quelques. C’est lorsque j’avais 8 ans d’ailleurs que j’arrêtais les cours à la maison pour affronter le monde extérieur alors que papa, c’est comme ça que je l’appelais… trouvait que je devais sortir de chez nous et avancer. J’allais alors à l’école et me sentait toujours triste parmi les autres car je n’arrivais pas à me fondre dans la masse, j’étais la petite solitaire qui restait contre son arbre en mangeant ses bonbons. C’est alors qu’une bande de gamins arrivaient. « Donnes-moi tes bonbons, Pearl », il connaissait mon prénom ? Je ne savais pas comment pourtant j’étais toujours seule et je ne disais rien. C’est alors qu’il arriva et les repoussa, il était un peu plus âgé que moi. Je le savais car il n’était pas dans ma glace, il devait avoir deux ans de plus. « Laissez-là tranquille », leur disait-il avant qu’ils ne s’en aillent tous et qu’il me sourit. Plus les jours passaient et plus l’on se faisait des signes dans la cours de l’école. Un jour, il vint à ma rencontre et me tendant un biscuit en souriant. « Tu veux devenir ma copine ? », dit-il innocemment. Il voulait devenir mon ami. Je ne savais pas que dire car j’étais un peu peureuse, j’avais parfois encore peur quand on m’approchait. J’avais toujours peur du noir, j’étais devenue une effrayée de la vie. J’hochais la tête en prenant le biscuit alors qu’il me tendait la main. « On va jouer ? », dit-il en me montrant les toboggans. « Je m’appelle Pearl et toi ? », disais-je en prenant sa main et allant alors vers les jeux de plaines pour devenir alors la meilleure amie d’Aydan. De jour en jour, on discutait, on jouait comme des enfants et on devenait complice à faire des bêtises pour ennuyer les profs et devenant réellement de vrais dingues parfois en préparant des bouillons de sable avec nos jus de pommes rien que pour nous amuser. Nous échanger nos bonbons favoris dans la cours de récréations. Les nounours rouges, mes favoris et il ne l’a jamais oublié alors que je n’oubliais pas que les verts étaient ceux qu’il préférait.

Mes proches m’aidaient sans le vouloir à me forger un caractère, me battre pour ne jamais me laisser avoir une deuxième fois. Ne jamais les abandonner. Continuant mes cours d’auto-défense et à développer mes dons, je venais de plus en plus douée et plus en plus forte même si l’on ne remarquait pas mes muscles. Faisant de moins en moins de cauchemars quand je fermais les yeux pour m’endormir et trouvant des nuits plus faciles. Me rapprochant aussi de plus en plus de mon père ne sachant pourtant pas que c’était mon papa. « Maman, elle ramène quand la tarte au citron ? », lui disais-je alors qu’il me tressait les cheveux comme son habitude le dimanche quand il ne travaillait pas. Il aimait bien s’occuper de moi et surtout de mes cheveux, il me disait souvent que j’avais les cheveux de ma maman mais je ne savais pas qu’il connaissait ma maman. Il ne comprenait pas trop mon histoire avec la tarte au citron car je n’en parlais jamais mais là, j’avais envie de savoir si elle reviendrait vraiment ou pas. J’avais besoin de la confirmation de la bouche d’un adulte. « Elle ne reviendra pas, mon ange », me répondait-il avec douceur et tout en évitant mon regard comme si me le dire lui arrachait son cœur. « Pourquoi ? Elle ne veut plus m’aimer ? J’ai fait quoi de mal ? », je ne voulais pas vraiment comprendre que ma maman était morte et je n’avais pas encore la force de me dire qu’elle était partie par ce que des méchants ne voulaient pas qu’elle vive. « Tu n’y es pour rien, elle reviendrait si elle le pouvait. Elle est là, elle te regarde du ciel. Elle est parmi les anges. », ce qu’il disait ne rentrait pas dans l’oreille d’une sourde car directement je sortais de la maison et allait dans le jardin en envoyant un baiser qui voler vers le ciel. « Maman, je t’aime », disais-je en souriant et lui faisant signe enfin au ciel. C’était un peu pour moi, mon deuil.


C’est peu à peu que la chenille que j’étais : une enfant qui avait peur de tout et du pire depuis qu’elle avait passée 2 semaines dans le noir qui avait et a toujours malgré tout peur du noir se développait en un magnifique papillon. Je n’étais pas comme toutes les jeunes filles, j’avais mon côté intrépide et garçon manqué avec tous mes sports et mes cours de judo tout comme ma ceinture noir et mon envie d’apprendre la boxe aussi. Je n’avais peur de rien en extérieur, je n’avais jamais froid aux yeux. J’étais aussi rapidement devenue une pompom girls et fille populaire en mettant de côté mon style « solitaire » tout en restant moi-même : une jeune fille serviable avec tout le monde. « Je te parie que je peux grimper cet arbre. », disais-je à Aydan alors que nous devions rentrer d’un match. « … et tu m’y rejoindras. ». J’étais donc parvenue à grimper dans ma tenue de pompom girls en haut de l’arbre et je regardais l’horizon puis redescendant mon regard vers lui. « Allez, plus vite », le danger ? Je n’en avais pas peur. J’adorais ça, j’adorais pousser mes limites et surtout être fière de ce que j’arrivais à faire car cela me rendait courageuse et forte. Cela faisait de moi « une personne à part », je ne voulais pas être un clone. Je voulais être moi. Une fois à deux sur cette branche, je souriais en regardant le coucher de soleil. « C’est magnifique », je me demandais si ma mère était là, à me regarder et si elle savait ce qui se passait dans ma vie. Tout ce que je voulais savoir était si elle était fière de moi. Si elle était fière de ce que devenait sa fille. C’est alors que tout fut gâché quand il me regardait et me dit « Je dois partir, je vais à l’armé.», je ne connaissais pas ses raisons mais je savais qu’il devait le faire. Le voulais-je ? Je ne sais pas vraiment si je voulais le laisser partir. Je ne savais pas pourquoi et même si je voulais savoir pourquoi. Cela me faisait peur rien que de me le demander mais nous étions tellement proche depuis notre rencontre à la maternelle. Tellement que bien souvent l’on nous prenait pour couple et nous répondions toujours « L’amitié fille et garçon, vous connaissez ? » enfin surtout moi en fait mais je ne m’en rendais pas compte. « Pourquoi ? », lui demandais-je pour finir sans même oser le regarder dans les yeux. Une question pour le moment sans réponse car je me reçus qu’un « Par ce que c’est comme ça et je resterais si je le pouvais, je t’assure. Je pars dans 2 mois, le soir de ton anniversaire », je le regardais alors en soupirant. « C’est ce que tout le monde me dit : S’il ou elle pouvait être là, il ou elle serait là. Je vais finir par croire que c'est une bonne excuse. Quand on veut, on peut. » et sans un mot de plus… je descendais de cette arbre pour le laisser là, seul. Je rentrais rapidement chez moi et il fallut quelques jours avant que je n’en sorte en niant ses appels. Refusant simplement de le voir ou de lui adresser la parole pendant deux longs mois alors qu’il ne perdait pas espoir et tandis que je renouais avec un de mes ex, Andrew.

Je tentais de faire face à tout ce qui se préparait, son départ. Je savais que même si je l’ignorais… cela ne serait pas plus facile. Il me manquait et je m’efforçais de rester là à continuer ma vie avec les cours au stand de tir, mes heures d’auto-défense et ma vie de fille riche ainsi que populaire. Je le croisais sans cesse partout, nous avions nos habitudes et à chaque fois, je me voyais forcée d’éviter son regard. C’est le jour de son départ que tout changea. Une grande fête fut organisée pour mon anniversaire au casino et comme toujours, il m’offrait une danse à 21 heures pile. Je ne le voyais et pourtant je voulais qu’il soit là. C’est alors qu’Andrew s’approcha « Alors, il est ou ton meilleur ami ? Il attend peut-être une autre bagarre », dit-il en riant et je ne comprenais rien du tout. « Hein ? », disais-je en arquant un sourcil. « Ben… tiens, il ne t’a pas dit pourquoi on l’envoie à la marine ? C’est bien marrant. Tu ne te souviens pas de mon coup ? ». Maintenant que je cherchais dans mes souvenirs, je me souvenais bien de la sale gueule d’Andrew le jour du match et donc quelques jours avant que l’on découvre qu’il avait des liaisons avec un peu tout le lycée pendant notre histoire. « Il s’est battu avec toi ? », il riait alors comme pour dire que oui. « Ouais, c’est un marrant. Je me suis même remit avec toi rien que pour le faire chier. », Sans même comprendre, je lui collais un coup de poing à mon tour et arquais un sourcil. « Tu le mérites ». Je ne savais pas où il était, j’avais fait tous les endroits possibles pendant toute la nuit à sa recherche. Je devenais dingue à l’idée qu’il soit parti et le dernier endroit probable était cette arbre et j’y allais pour l’y retrouver penché à cette branche et sans même me comprendre… j’y grimpais et l’embrassais de moi-même, spontanément.

Nous ne parlions pas de ce qui venait de se passer mais nous prolongions juste l’échange avec intérêt flagrant. Ce n’était pas un bête baiser, on le sentait tous les deux. Il y avait plus et peut-être que cela nous faisais peur ? Je n’en sais rien mais il était certain que je ne voulais plus le laisser partir même si je n’avais pas le choix. Je le savais. C’était comme ça. Nous nous quittions alors au port alors qu’il avait enfilé son costume et que je lui avais donné un rapide baiser. Depuis nous n’avions plus reparlé de ce moment, de cette nuit ou juste nos lèvres s’étaient rencontrées. Il se laissa passer quatre longues années avant son retour, c’était long et surtout difficile mais des lettres… nous permettaient de garder le contact sans même laisser une seule fois filtrer l’histoire de ce baiser. Il était comme oublié. A son retour, tout paraissait normal et comme avant. Je préparais ma dernière année d’université et il était gradé pour le mérite et surtout par ce qu’il avait fait tout pour le pays. J’étais fière de lui. Reprendre cette amitié sur ce baiser qui me hantait encore. Continuer de vivre des relations avec d’autres hommes tout en me demandant si j’avais d’yeux que pour lui. C’était d’un compliqué et plus le temps passait et plus je me demandais pourquoi l’on était toujours amis alors que l’on savait pertinemment qu’il y avait plus. Pourquoi avons-nous oublié ce baiser ? Je ne lui avais jamais posée la question en fait, je ne voulais pas car j’avais toujours aussi peur de la vie, peur de souffrir et perte une des personnes les plus chères pour moi. Commençant alors à bosser pour mon père au Bellagio avec mon frère dont les relations devenaient de plus en plus compliquée à cause d’une fichue jalousie fraternel. Notre père me donnait plus mais je n’y pouvais rien au fond. Ou était le petit garçon qui s’occupait de moi et celui auquel j’ai accepté de parler alors que j’avais opté pour le mutisme après la mort de ma mère ? Peu à peu, je devenais chef de la sécurité, mes dons m’aidant à coincer rapidement les méchants sans oublier mon art de tirer à l’arme et d’autres petites choses. J’étais une vraie dure au fond en bossant avec Aydan.


Vous voulez savoir ce qu’il y a de mal d’être la fille de papa ? A part être vue comme la petite fille qui veux seulement être prés de papa et n’est pas assez sérieuse pour une fille de la sécurité ou même pour coincer les méchants, non mais sérieux ? Je ne suis plus la petite fille fragile mais il y a aussi d’être une victime potentielle étant « fragile » aux yeux des crétins bandits et donc en position d’être kidnappée ou d’autres choses. Je ne croyais pas qu’un jour cela m’arriverait à nouveau avant le 7 mai 2011 lorsque ce jour arriva. J’étais ailleurs à simplement me balader avec Tornado, mon étalon et là, ça arriva tellement rapidement mais aussi dans une routine que je n’étais point préparée. Tout se bousculait dans ma tête, j’étais à nouveau dans le noir à compter les gouttelettes. J’avais l’impression d’être au même endroit. Tout autour de moi el laissait présager mais ce n’était pas les mêmes voix, ce n’était rien d’identique. Alors que j’avais l’impression de revivre un cauchemar et d’être là depuis des années : tout le monde me cherchait. Tout le monde remuait ciel et terre pour me retrouver. Je ne pouvais que m’en douter. C’est alors que j’entendais une voix familière crier mon nom et allumer la lumière. C’était Aydan. Et sans même dire un mot, je ne voulais rien dire, je le laissais détacher les cordes qui liait mes deux poignets avant d’ouvrir les yeux et d’aller directement à son coup pour ne plus le lâcher pendant un long moment avant de sortir. Dans le mouvement en le serrant dans les bras, je ne m’étais même pas rendue compte de ce baiser que je lui avais donné presque par envie et besoin. Je ne disais rien, rien du tout pendant la soirée et la journée d’après. J’avais pleurée oui mais brièvement sous la douche ou quand j’étais seule. J’étais angoissée ? Oui… totalement, je ne voulais plus dormir en squattant le lit d’Aydan sans même me rendre compte que c’était étrange. Mes cauchemars reprenaient et je voulais me battre contre ce passé. Je ne voulais plus repasser par là et surtout, je voulais recommencer à revivre. Sans le dire à personne, je prenais l’initiative d’infiltrer le vieux club de striptease de ma mère en étudiant tout autour de moi depuis deux mois, les voix, les gestes, les fringues et les démarches rien que pour trouver l’assassin de ma mère et mon kidnappeur. Devenant stripteaseuse dans le plus grand secret et avec une perruque sur la tête. Je menais mon enquête en désirant bien sur trouver le couple de tout ce qui me torture depuis mes 5 ans.

Je n’arrêtais pas ma vie pour autant en continuant à fréquenter mon boulot, mon frère, mon père et Aydan ainsi que ma mère adoptive mais encore mes amis et mes ennemis car je voulais rester proche d’eux. D’ailleurs parlons de mon frère et de mon père. L’un veut la fête et l’autre veut simplement que celui-ci reprenne les rennes après son départ et moi ? Je me bas depuis deux semaines pour que mon père me le lègue car je le veux mais être toujours avec la réponse « Tu es une fille, concentres-toi sur ton shopping. Tes épaules ne sont pas assez forte », on s’en fiche. J’étais bien plus compétente que Marshall pour ce boulot entre nous. « Il mange du zombie à tous les petits déjeuners, papa. Tu veux qu’il fasse quoi ? Coule le casino, Voyons, je suis bien plus compétente pour un poste de P.D.G. », je riais doucement. « Il ne sait même pas dresser une table. Merci maman », oui j’appelais ma mère adoptive : maman. Au début cela me semblait toujours effrayant car j’avais la sensation d’effacer ma mère mais c’était faux car je n’oublierais jamais maman. Oui, parfois j’avais des expressions étrange comme : manger du zombie ce qui était destiné aux flemmards et pantouflards ou feignent tout court. Cela n’existait pas, je sais mais on s’en fiche. Ou et le mal dans la création de nouveaux mots ? De nouvelles expressions ? Il n’y a pas de mal, non ? J’aimais bien être « hors norme », avoir des petits trucs à moi et personne d’autre. J’aimais bien être ailleurs.


AGE : 22 ans.
AUTRES : Lire ma présentation dans le sujet staff !
QUESTIONS : Vous m'aimez ?
GROUPE : Proprio/sécurité.
PARRAIN : Nan !
STATUT DE FICHE : 10%
MOT DE PASSE : Ok by PEARL


Dernière édition par Pearl B. Hartley le Ven 1 Juil - 23:44, édité 6 fois
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