KYLE E. LANCASTER feat : Logan Lerman
NAISSANCE : 22.06.1990 (à San Diego)
EMPLOI : Kyle ne travaille pas, il profite pour le moment de la fortune de ses parents pour s’éclater. Néanmoins il fait des études.
CARACTÈRE : Kyle est d’extérieur, quelqu’un qu’on pourrait juger d’assez prétentieux. Enfant unique, il a été traité comme un enfant roi par son entourage. C’est un coureur de jupons de l’âme, étant toujours propre sur lui et toujours bien habillé, les filles se jetaient à ses pieds et ne faisait qu’augmenter son égo. Mais tout ça n’est qu’une façade, au fond c’est quelqu’un de très attentionné, généreux et gentil. Il est intelligent et fait tout pour parvenir à ses fins, c’est quelqu’un de déterminé.
PETIT PLUS ? Vers ses seize ans, il avait voulu faire le mur pour aller à une fête et en passant par la fenêtre il c’est loupé et est tombé. Résultat il c’était cassé le poignet et à la place de passer sa soirée à cette fête, il l’a passé à l’hôpital

Accompagner ses parents dans les magasins de luxe, ça lui faisait perdre plus de temps qu’autre chose. Pourtant lors de ses après-midis en famille, le père comme le fils craquaient et cédaient tout à Madame Lancaster. Et la plupart du temps c’était séance shopping. Enchainer les magasins de luxe où tous les grands noms défilaient, en même temps que la carte de crédits et les sacs d’achats qui allaient avec. Mais il y a une semaine et demi, c’est en poussant les portes du magasin Chanel que quelque chose changea.

Derrière le comptoir, une jeune vendeuse qui avait surement le même âge que lui. Sur son badge on pouvait lire Kacey Donovan, les parents de Kyle se lancèrent un regard. Ce n’était pas possible, combien de chance avaient-ils pour que ça soit réel ? Une Donovan ici, mais ce prénom Kacey les poussait bien à croire que c’était belle et bien elle. « Excusez-moi, mademoiselle Donovan ? », la jeune brune se retourna surprise puis sourit « Oui ? Que puis-je faire pour vous ? » « Oh, ce n’est pas par rapport aux vêtements. En fait je suis navrée de vous demandez ça mais mon mari et moi avons l’impression de vous connaître. » « Maman de quoi tu parles ? » intervint Kyle, trouvant la situation ridicule. « Mais si, les Donovan, ils habitaient à San Diego juste avant qu’on déménage, et leur fille qui est née juste après toi s’appelait elle aussi Kacey. » « Je … je viens bien de San Diego, j’y suis née et j’y ai toujours vécue avec mes parents avant de venir ici à Las Vegas. » « Nous sommes la famille Lancaster, nous étions amis avec vos parents. » « Oui, oui je me rappelle. Mes parents m’ont souvent parlé de vous. » « Et comment vont-ils ? Ils sont ici aussi à Vegas ? » « Oh, ils vont plutôt bien. Et ils ne sont pas à Las Vegas, en fait ils sont toujours à San Diego. Je viens tout juste d’emménager, il y a à peine trois semaines. Je suis venue vivre ici pour être plus proche de ma cousine. »

Oui bon, Kacey ne pouvait pas tout développer en disant qu’elle avait totalement foutue son adolescence en l’air, en passant toutes ses soirées avec des personnes peu fréquentables et que c’était suite à son accident et son coma qu’elle recommençait une nouvelle vie ici. Elle préférait attendre que leurs parents reprennent contacts si jamais ils devaient en parler. Mais dans un sens elle disait aussi une part de vérité.

La semaine qui avait suivie, les parents de Kyle avaient commencé à reprendre contact avec ceux de Kacey et poussaient leur fils à connaître un peu plus la jeune femme, en lui disant d’être gentil avec elle et qu’elle était certainement quelqu’un de bien. Il était quand même assez froid avec Kacey, après tout qu’est-ce que ses parents savaient sur elle, en dehors du fait qu’elle était la fille d’amis qui leur étaient proches ? Est-ce qu’il pouvait lui faire confiance ? Il n’en savait rien, mais il s’attachait de plus en plus à la jeune femme, peut-être même trop et ses sentiments commençaient à lui jouer des tours … Monsieur le tombeur ne devait pas tomber amoureux, il se l’interdisait mais on ne contrôle pas ses sentiments. Et il est persuadé que Kacey ne lui dit pas tout, comme ci elle cachait quelque chose.