OH MA FEMME.. BONJOUR ELI || ELI

**Andrew H. Powell**

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OH MA FEMME.. BONJOUR ELI

« Il était une fois ? » ou pas. Je venais de débarquer à Vegas enfin j’y étais déjà venu depuis un bail mais pas le temps. On entreprise fonctionne bien enfin mon cabiner. « Powell&co » était devenu plus que réputé en Californie. Toutes les stars venaient pour se faire refaire les seins ce qui m’énervait. Les femmes superficielles, Erk. Et pourquoi j’avais décidée de vendre pour aller ailleurs ? A Vegas ? Pour le fun peut-être. Je garais alors la voiture sur le parking du Wynn. Grand hôtel dont mes clients me parlaient sans cesse tout comme d’une hôtesse grandement plus douée qui était loin d’être un amour avec ses clients enfin passons. Je rentrais tout en déposant mes sacs. Cela me faisait bizarre d’être vu comme une baleine… enfin c’était étrange pour moi. Je n’aimais pas ma fortune qui avait fleurie avec le temps sans même que je ne m’en rende compte après le départ de ma femme. Ma femme, je dis ? Oui, je suis marié depuis bien des années enfin marié mais où est-elle ? Je n’en sais rien. Y penser me donnait le cafard alors que je me souvenais encore de notre mariage en rangeant le pendentif sur lequel trônait mon alliance depuis son départ pour le cacher à l’abri des questions indiscrètes sous mon-t-shirt. J’allais alors à la réception dans l’œuvre de me trouver une chambre enfin celle-ci étant réservée et une suite même alors que je voulais être traité comme tout le monde, comme un client normal avec un chambre normal qui devait s’installer normalement à Vegas sous peu. Oui, je n’allais pas être un client à vie car j’allais seulement attendre que les travaux de mon centre soient ouverts. Un cabinet de chirurgien et un centre d’esthétique à la fois. Je voyais grand, je sais mais au moins, je voyais. Je fis mon plus beau sourire et charmeur comme toujours à la réceptionniste qui me regardait. « Bonjour, puis-je vous aider ? », me disait-elle avec son petit air sérieux mais à la fois charmée. Cela m’amusait de dérouter les jeunes femmes que je croisais enfin j’étais marié mais euh… fallait pas me prendre pour un con, je pouvais m’amuser aussi avec d’autres, je savais très bien qu’elle n’hésiterait pas de son côté. « Hola señora ... », m’exclamais-je tout en contemplant son badge et souriant « Stacy, joli prénom qui vous vas comme un gant », roh ben on ne peut pas tous être doué pour la drague mais c’est la clé de mon secret. Faire rire et amuser les filles pour les attirer dans mes filets. Hé oh… chacun sa technique hein. Si vous me la volé, je vous traumatise avec une bonne torture ! Elle me rendit mon sourire tout en fronçant le nez, elle était toute mignonne et ses pommettes se relevaient. « Monsieur Powell, je présume ? », j’arquais de suite un sourcil en riant. « C’est écrit sur mon front ? », demandais-je assez surpris même par la perspicacité de cette jeune femme qui apparemment m’avait carrément dans sa ligne de tire. « Non mais nous savons que vous aimez parler Espagnole aux filles. », je soupirais amusée mais exaspéré. « Hum hum… vous avez mon dossier en gros. Je suis fiché et merde », ahah je suis un petit rigolo, non ? Je sais, je sais mais ce qui était bien était surement qu’être rigolo et bien empêchait de montrer que j’avais le cœur brisé. J’avais le cœur brisé ? Oh ouais Charlie… t’avais pas compris ? La rime, c’est drôle… mon petite trône du roi des rimes ? Bon arrêtons et filons pour la suite, hein ?

La réceptionniste glissa alors doucement une carte avec son numéro de téléphone avant de me sourire. Elle était superbe et blonde, une femme du genre… qu’on a envie d’emmener ne sortir partout rien que pour voir les jambes de déesse dans une robe assez courte. C’est beau la vie, hein ? « C’est pour moi ? », dit-il en riant alors qu’il la glissait à son tour dans son jeans. « Merci », rajouta-t-il alors qu’elle lui laissait un beau petit clin d’œil ce que l’amusait assez. « Votre hôtesse est juste derrière », rajouta-t-elle en souriant avant de partir aux prochains clients. Je me retournais alors vers mon hôtesse en retirant aussitôt mes lunettes de soleil mais c’est surpris que j’étais en la voyant, elle. Je la percevais avec ses yeux noisette et ses longs cheveux bruns qui arrivaient sans même m’avoir remarqué pour l’instant du moins. Elle était sublime dans sa robe.

~~DEBUT DU FLASHBACK~~

Le curé vêtu de sa tenue habituelle avec sa bible dans la main nous regardais. Moi dans mon smoking loin d’être bon marché à la grande surprise car je n’avais rien dis de cela et elle dans sa robe qu’elle avait pris soin de choisir et qui lui donnait un teint tellement radieux en harmonie à sa peau blanche et doucement mat, elle était sublime. La femme de ma vie et je le pensais depuis que nous avions échangé nos premiers regards. C’était précipité ? Peut-être bien mais je m’en fichais un peu à vrai dire. J’étais amoureux et quand on aime, on ne compte pas toujours le temps surtout quand nous sommes jeunes. Le curé prit la parole. « Andrew Henry Powell, voulez-vous prendre Elizabeth Jen Campbell pour femme et la chérir dans la richesse comme dans la pauvreté… et cela même après la mort ? », disait-il avec le ton qu’utilise toujours le curé et une fois forte, un peu chantante. J’hochais alors la tête d’un ton sur et serein. « Oui, je le veux », m’exclamais-je alors rapidement et totalement certain de ma réponse. Je ne voulais pas dire non, je n’y avais même pas pensée. Je n’avais même pas la peur habituel du marié, rien. Je ne voulais qu’elle.

Il reprit alors sous mon grand sourire en la regardant alors que moi, je le regardais dans les yeux. C’est dingue et niais quand on y pense mais c’est notre mariage et il est gravé dans ma tête. C’était et ce sera toujours le plus beau jour de ma vie. C’est comme ça et j’ai beau être un homme, c’est plus fort que moi. Le mariage avec la femme qu’on aime, on n’en oublie pas la date et on n’en l’oublie pas. « Elizabeth Jen Campbell, voulez-vous prendre Andrew Henry Powell pour époux et le chérir dans la richesse comme dans la pauvreté… et cela même après la mort ? », je souris directement en entendant sa réponse et voyant son sourire. Je ne savais pas ce qu’elle pensait mais je ne voulais pas le savoir, je savais qu’elle m’aimait. C’est étrange hein ? C’est alors que le curé nous regardait. « Vous pouvez embrasser la mariée », me fit-elle alors que j’étais déjà prêt à le faire en l’embrassant d’un baiser digne d’un film. Le premier baiser en couple marié, c’était génial et les applaudissements dans la salle me fit sourire contre ses lèvres.

~~FIN DU FLASHBACK~~

C’était le bon vieux temps, non ? Maintenant je n’étais une loque qui devait faire « Je vais bien, tout va bien, elle ne me manque pas », je devais continuer à vivre malgré tout même si c’était difficile depuis qu’elle était partie pour un stupide mensonge qui au fond est futile. On parlait de pauvreté et richesse au mariage ? En quoi ce secret changerait la donne ? Je ne voulais pas de cet argent, je n’en avais jamais voulu et il était tombé comme un cheveu dans la soupe ce qui m’énervait cruellement était qu’il ne pouvait faire que détruire ma vie. Depuis… son départ, je ne fais que le déposer en le voyant augmenter pour me dire : elle reviendra peut-être si je l’assume, non ? Mais rien. Cependant, elle était là… devant moi et je la regardais sans savoir si elle m’avait vue ou reconnue. Je me décidais alors à m’approcher et lui sourire. « Ben dis-donc, Bonjour chérie. », disais-je alors. Oui, ce n’était pas du genre de pensée que j’avais mais je ne voulais pas aller dans le mélodrame cependant je voulais rester fort et ironiser la situation car il est vrai que je sais qu’elle souffre car je ne suis pas stupide mais il faut savoir que moi aussi, j’en souffre. Le montrer ? Pas tout de suite car au fond, la souffrance fait fuir les souffrant qui n’en veulent pas plus. « Le destin fait bien les choses. Il est en mode… thérapie de couples. », je tentais de rester fort à sa réaction et ne pas changer mon comportement, je ne devais pas être faible. Je devais être fort et positiver. « Eli… Baleine du jour, bonjour », fis-je alors en lui souriant du genre pour lui dire : c’est moi ton client et je compte bien le rester. Elle devait me détester mais je m’en fichais car maintenant qu’elle était là, oh non… je n’allais pas la lâcher d’une semelle.

**Eli J. Campbell**

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OH MY GOD

« Eli ! Eli ! Eli ! » Me réveillant en sursaut je roule des yeux et me lève difficilement car oui avec le boulot que je fais j'arrive même à entendre mon prénom dans mes rêves et cela à tout bout de champs ce qui a le don à la fin de la journée de me rendre irritable ! Pourtant avec mon métier on m'appelle à longueur de temps hein mais je sais pas arrivé fin de journée ça me fais péter un câble , bizarre vous me direz ! Car oui mon travaille si vous ne le savez pas c'est hôtesse dans le casino Wynn à Vegas , je m'occupe des plus gros flambeurs donc les clients les plus important vous me direz ! Étant payé au pourcentage je dois les faire dépensé de l'argent le plus possible mais ce n'est pas que ça , je dois aussi réalisé dans l'heure tout ce qu'ils veulent et sa peut aller très très loin ! Enfin bref aujourd'hui est une journée très spécial une de mes baleine arrive mais ce n'est pas n'importe quel baleine c'est LA baleine de l'année , personne ne la jamais vue et pourtant ont connait tout ce qu'il veut dans sa chambre , ces gôuts , ces exigence et pourtant son visage il est carrément inconnu au bataillon !

Buvant mon café je me dirige vers ma salle de bain parce que oui j'ai une salle de bain dans ma chambre vue que je vis à l'hôtel ! C'est toujours bien d'être sure place comme ça des qu'un de mes client souhaite quelques choses il l'obtient immédiatement ! M'apprêtant du mieux que je peux enfilant une belle robe noir assez moulante quand même en ayant un décolté normal , pas trop voyant non plus car je n'aime pas passer pour une pute ou pour n'importe qu'elles filles en mode bimbo qu'on voit dans la rue ou dans le casino ! J'aime rester tel que je suis mais aussi être sexy mais pas trop en étant tout de même professionnelle ! A peine levé je suis déjà prête et je me dirige vers l'accueille car ma grosse et THE baleine est déjà là ! Bon le " ma grosse " laisser à pensé autre chose mais ! Arrivant dans le hall je le vois discuté avec la standardiste ce qui a le don de me faire rire vue que je la vois lui donner son numéro , encore une qui passera une soirée génial et romantique , pour ce faire b**ser à la fin et redevenir la petite employée d'un casino !

Avançant d'un pas assurée me dirigeant vers cet homme que personne na jamais vue , monsieur se retourne et la BAAAAAAAAAAAAAAAAM je m'arrête en faisant de gros yeux et comme si je venais de recevoir une claque immense , c'est lui ? Andrew ? Mon mari ? Oui je suis mariée mais je me suis enfuis enfin bref c'est lui ma baleine ? « OH MY GOD ! OH MY GOD ! » Dis-je tout en regardant Andrew face à moi qui à l'aire tout bien comme si c'était normal de ce voir ! Moi je suis en mode : j'hallucine complétement ! Je ne répond même pas à son bonjour tellement que je suis abasourdie de le voir ici , dire que j'ai tout fais pour pas qu'il me retrouve et bien en effet c'est le destin tout bêtement qui nous réunis « Oh sa oui le destin nous réunis mais désolé pour toi pas pour une thérapie de couple » J'aime même un peu de mal à me faire à l'idée qu'il est ma baleine celle que j'attends depuis 3 semaines celle à qui j'ai tout préparé tout plier en quatre pour que tout ce passe bien ! Sa fait un peu trop d'un coup pour moi là ! Passant une main sur mon visage , je me reprend et fais comme si tout aller bien mais avant sa j'ai une question « Avant qu'on en vienne à faire l'hôtesse et le client , j'aimerais savoir un truc ! Depuis quand tu te fait baleine des hôtesses de Vegas ? Et qu'est ce que tu fou la ? » J'ai vraiment pas envie d'être tendre avec lui au contraire je vais pas mettre les gants avec lui c'est hors de questions , c'est limite si j'ai pas envie de lui refilé une autre hôtesse pour son séjour tout en l'évitant gentillement ! En plus qu'est ce qu'il peut m'énervé avec ces rimes à la con « Sa te dirait pas d'être sérieux une minute dans ta petite vie de riche ? » Et v'lan encore un petit pic ! Hummm ce séjour va être grandiose je le sens !

D'ailleurs j'en profite même pour prendre mon portable et vérifié que tout y est , oui car malheureusement il est quand même la THE baleine que le Wynn attend depuis plusieurs semaines , sa chambre étant prête je fais signe au bagagiste pour qu'il lui amène ces valises dans sa chambre ! Mais bon voyons ce qu'il va me répondre avant de lui dire que tout est prêt !

**Andrew H. Powell**

Je la voyais face à moi… c’était difficile ? Oui, la question idiote que je peux me poser à moi-même. Je ne savais même pas ce que je devais lui dire ou si je devais même l’enfermer dans une pièce pour ne plus jamais qu’elle ne parte loin de moi et cela me traversait l’esprit en fait, il y a beaucoup de choses dingue qui passait par ma tête. Je ne savais pas vraiment ce que je devais faire. Je ne savais pas du tout ce que j’allais faire mais optant alors pour l’humour alors qu’elle restait presque bouche bée face à moi avec son petit OMG avec non, ses deux OMG ce qui m’amusait même un peu mais je ne me retenais point pour le montrer car à quoi bon me retenir ? Je vous jure, je n’allais pas me retenir à montrer la vérité. « Je sais, dieu existe Merci, Dieu ! », disais-je alors comme un idiot au milieu du hall devant elle. Je pouvais sembler ridicule, je l’avoue mais au moins, je ne restais pas con sans rien dire et j’agissais enfin je réagissais plus vite. Et puis on s’en fiche, j’avais une réaction, point barre. Je riais doucement alors qu’elle me disait que ce n’était pas une thérapie de couple. « Oh shit », ne m’étonnais-je pas à dire avec une mine déçue enfin faussement plus vite car je savais pertinemment que cela n’en était pas une et aussi qu’elle réagirait pareillement. Je fus marié à elle, je le savais et point ce n’est tout. Je la voyais alors poser sa main sur son visage et je souris légèrement surtout par ce que je ne voulais pas la gêner ou en faire de trop, je ne voulais pas qu’elle s’énerve ou qu’elle me rejette enfin je ne voulais pas me faire rembarré.

Je l’écoutais alors en arquant un sourcil alors qu’elle me disait vouloir savoir un truc ce qui m’amusait assez d’ailleurs car je ne savais pas à quoi m’attendre et je me demandais bien quelle connerie j’allais avoir sur un plateau n’empêche. « Tout ce que tu veux », disais avant qu’elle ne finisse par me demander ce qu’elle voulait et la laissant alors parler en riant à sa question. Je lui souris grandement et haussais alors une épaule avec un air qui voulait dire : Ahah, je le savais que tu poserais ce genre de question dès que tu me l’as demandé mais je ne disais rien face à ça, je me contentais d’ouvrir la bouche pour laisser un petit « euh » sortir. Réfléchissant bien à mes mots. « Depuis qu’on m’a conseillé le Wynn et une hôtesse en particulier. Je n’ai pas fait les réservations, c’est un client. Madonna, je pense enfin elles sont toutes pareilles. Tu sais… des rides, de la poitrine et un nez refait… enfin bref », j’haussais doucement les épaules et la regardait avec un air amusé et m’approchant. « Tu es ma femme, tu dois donc savoir ce que je fais là, non ? J’ouvre un centre esthétique à Vegas en profitant d’abord de mon argent. Tu dois adorer que je dépense enfin tout mon argent, avoues ? », C’est donc un léger sourire moqueur qui concluait ma phrase. Si elle devait se montrer froid autant que je m’en amuse, non ? Je n’allais pas me laisser faire comme un gentil toutou malgré tout ? Je n’étais pas du genre à me laisser marcher sur les pieds alors qu’elle me dit des choses pas vraiment facile à entendre de la bouche de la femme qu’on aime. Je riais doucement amusé par ma rime à la con n’empêche car je ne m’en étais même pas rendu compte en fait, c’était parti comme ça comme bonjour et bonsoir enfin vous voyez le genre ? C’était sorti. J’haussais les épaules du genre : peut-être en le regardant. « Tu sais ma femme est partie par ce que justement je refusais d’être riche et maintenant elle me dit d’être sérieux dans ma vie de riche… », je prenais un air choquée en le regardant. « Non mais t’as pas honte de me torturer pareillement et me rendre dingue ? », je secouais la tête en levant les yeux. « Les femmes savent jamais ce qu’elles veulent », je lui souris pour lui faire comprendre que je la taquinais au fond, je ne pensais pas ce que je disais tout en la regardait pianoter sur son téléphone et je me penchais par-dessus en souriant. « C’est ton amant qui tu textotes ? Je peux le rencontrer ? Mari et amant, ouhhhh », rajoutais-je en souriant et profitant de mon rapprochement pour déposer un baiser sur sa joue et me redresser aussi rapidement en sifflant presque innocemment du genre : j’ai rien fais. Je ne voulais pas qu’elle s’énerve tout en sachant que ça allait arriver et je la connaissais. « Montes pas sur tes grands chevaux, je te vois déjà venir. Du calme, rigoles… cool, Raoul », rajoutais-je en riant.

**Eli J. Campbell**

Si Dieu existait franchement Andrew ne serait pas là en ce moment devant moi et surtout qu'il soit ma THE baleine ! Ah je vous jure la vie est vraiment mal faite des fois ! Même si je suis en rage de le voir ici , il reste tout de même mon mari , l'homme que j'ai épousé et ça pour le meilleur comme pour le pire !Et pourtant cet homme , oui cet homme devant moi je l'aime et je l'aimerais surement toujours mais je n'oublie pas du pourquoi je suis partie , je n'oublie pas le fait qu'il m'est mentit ! J'aurais vraiment aimé qu'on est une vie normal comme de simple mariés mais compliqué comme je peux être je n'ai pas supporté ce mensonge et je me suis enfuis comme une voleuse ! Enfin tout ça pour dire que franchement j'aurais bien aimé ne pas me lever ce matin si j'avais sue que c'était lui ma baleine je ne serais jamais mais alors jamais sortie de ma chambre

Oh monsieur est devenu un grand chirurgien lui qui aimait tant la medecine il est devenu chirurgien , OMG friqué comme il est , il fait ce métier ! Refaire des bimbos même si sa metonne grandement de lui à mon avis il doit faire surtout de la chirurgie réparatrice et j'ai franchement pas envie de lui en parler je ne veux pas qu'il croit que je suis jalouse ! Bon d'accord je le suis et je le serais toujours , je ne suis peut-être plus avec ou je sais pas trop mais il reste mon mari quand même ! « Et bien super un grand chirurgien réputé c'est ce que tu as toujours voulue ! Tu doit avoir toutes les femmes à tes pieds maintenant ! » Dis-je avant d'ajouté « Enfin ce qui est sûre c'est que MOI tu ne ma pas » Alors ça si ça fait pas mal je suis folle ! Bon j'abuse un peu car il reste tout de même gentil avec moi , surtout que c'est moi qui suis parti ! Roooh puis merde il ma mentit , il ne m'aurait pas mentit je ne serais jamais partis !

OH GOSH il m'enerve c'est grave il est enfantin , un vrai gamin « Si je savais ce que tu fait ici Andrew JAMAIS ô grand JAMAIS j'aurais était ton hôtesse ! Tu as ouvert un cabinet tant mieux pour toi ! Dépense tout l'argent que tu veux tant mieux pour MOI sa va m'enrichire » Je ne supporte pas qu'il face le gamin alors que c'est une histoire sérieuse enfin il est la tout sourire alors que cette situation est nul et quel crins à mort !Mais avant même que je comprenne en faisant signe au bagagiste et en regardant mon portable je sens ces lèvres sur ma joue ! Un moment que j'aurais voulue figé à jamais , ces lèvres chaude , douce et humides ! Des lèvres que j'aime tant et que je n'ai plus toucher depuis longtemps ! Mais dans ma défense je recule et le regarde « Ce n'est pas un jeu Andrew , tu peux faire toutes les blagues que tu veux ça ne changera pas à la situation de merde qu'il y a là » Mais bon j'essaye de me ressaisir on est quand même dans le hall de l'hôtel et tout le monde peut me voir péter un câble et hors de question qu'on me voit comme ça ! « Ta chambre est prête maintenant si tu veux qu'on discute d'accord et pas ici mais si on a plus rien a se dire moi j'ai du boulot » Dis-je d'un ton complétement frois

**Andrew H. Powell**

J’étais effectivement devenu ce que je voulais devenir comme deux et deux font 4… on réalise nos rêves et c’est bon. Il y avait bien une raison à mon choix de métier que peu connaisse malheureusement sauf elle. (Je viens d’imaginer ce détail pour la fiche, hein) Depuis la naissance de ma petite sœur qui avait 3 ans de moins que moi avec son bec de lièvre qu’elle vivait très mal et l’opération qui avait échouée à la naissance ainsi aggravé son cas auxquels l’on ne pouvait rien. L’exil que mes parents lui ont faits subir par ce qu’ils ne voulaient pas d’un enfant « moche » comme ils le disaient bien. Le monde impitoyable des riches : on doit tous être beau et présentable mais sa cicatrise les écœuraient donc je les détestais surtout quand elle a fini par se suicider à l’approche de ses 12 ans avec ses médicaments alors que je devais venir lui rendre visite comme tous les matins, j’étais tombé sur cette scène macabre. Je voulais depuis devenir le meilleur chirurgien et ne plus parler à mes parents. Normal, non ? Ils avaient tués en quelques sortes… Libby, ils l’avaient amené à la mort sans le vouloir. Leur fille. Oui… cela me révoltait encore car on aime un enfant comme il l’est et pas autrement enfin ou pas comment on pourrait le voir. Cela me rebellait un brin. Je souris alors qu’elle me disait que c’était tout ce que j’avais toujours voulu en pensant doucement à Libby, avait-elle oubliée mes motivations ? Je n’en savais rien au fond mais je ne pus m’empêcher de soupire alors qu’elle me disait que j’avais toutes les femmes à mes pieds en levant les yeux car je m’en fichais des femmes. « Tu sais très bien que je m’en fiche de ça, je veux juste aider… » Volontairement, je zappais sa fin de phrase car je ne voulais pas qu’on s’engueule ici devant tout le monde mais elle m’exaspérait un peu en insistant sur le moi, je l’avais compris et je ne voulais pas utiliser mon métier pour les femmes. Je soupirais doucement en fin de compte en y repensant car là… cela me cassait littéralement les couilles. Je soupirais quand elle me disait qu’elle n’aurait pas voulue être mon hôtesse en me disant qu’elle devenait vraiment froide là alors que je n’avais rien fais. Bon, d’accord je lui avais menti mais on ment tous dans notre vie, non ? C’est bon quoi : Relax. Ce n’était pas la fin du monde. Je lui ai toujours été fidèle et je la traitais bien. Je soupirais « Et ben je suis là, tu ne peux rien y changer. Je ne savais pas non plus qui tu étais et puis si on me connait à la réception… c’est que tu as mal fais ton boulot. Et puis je dépenserais notre argent avec plaisir comme officiellement 50% t’appartient, non ? C’est le contrat de mariage, c’est comme ça. », oui… c’était comme ça et la moitié lui revenait mais on n’y peut rien au fond, c’est le mariage, elle en a du boulot. J’aimerais bien aussi avoir la moitié d’une fortune sans même m’occuper de mon mari et en ayant fuie. « C’est le pied, si je crève, t’es riche », lâchais-je alors assez ironiquement en roulant des yeux et regardant autour de moi.

Ce baiser fut une surprise pour elle apparemment alors qu’elle reculait rapidement et ça me fit rire d’ailleurs. « Roh ça va, détends-toi hein. », disais-je en haussant les épaules tout en la regardant pianoter sur son téléphone. J’hochais la tête alors qu’elle me disait que ma chambre était prête tout en souriant. « D’accord, tu m’y accompagnes ? », je lui pris le bras comme un couple en m’amusant et m’en foutant qu’elle tente de le retirer car je la tenais bien en me baladant mine de rien d’un air un peu idiot du genre : je suis avec ma femme, je suis heureux et je fais le clown pour que tout le monde nous vois bien. Je riais en appuyant sur la touche de l’ascenseur pour qu’il descente à nous… comme DIEU, dieu… merci dieu, t’es cool Dieu… non mais t’es géant, vraiment. « Et puis, je ne joue pas chérie… la vie est loin d’être une partie de l’oie ou un Scrabble », ahah oui, je m’amusais à l’ennuyer un peu là mais ça cachait sans doute bien plus que ça. J’aimais bien masquer. Une fois l’ascenseur monté, j’y grimpai en riant et la regardais. « Tu te souviens de quand nous avions fait l’amour dans un ascenseur comme des bêtes ? », disais-je en riant comme un con juste pour la taquiner et voir sa réaction.

OH MA FEMME.. BONJOUR ELI || ELI 2890962141

OH MA FEMME.. BONJOUR ELI || ELI 2890962141

Tu pourrais juste rajouter à la suite un peu plus d'action et de "suite" pour que ça ne stagne pas et que je doives le trouver seule OH MA FEMME.. BONJOUR ELI || ELI 1881463262

OH MA FEMME.. BONJOUR ELI || ELI 1881463262

sinon je vais faire un blocage. Je savais pas quoi mettre.

**Eli J. Campbell**

Bien sûre que je sais pourquoi il est devenu chirurgien , rien qu'en sachant l'état ou a était sa jeune sœur on ne peut que comprendre ! Oui elle avait un bec de lièvre , c'est une jeune femme magnifique pourtant ! Enfin tout ça pour dire que si il est devenu ce qu'il est c'est pour réparé les erreurs de la nature malheureusement , d'ailleurs même si je ne le dis pas je suis vraiment mais vraiment fière de lui qu'il soit devenu l'homme qu'il a toujours voulue être ! C'est cet homme que j'ai épousé et c'est cet homme que j'aimais enfin que j'aime , j'avoue être un peu perdu dans mes sentiments là ! C'est réflexion ne m'aide pas surtout qu'elles sont de plus en plus nul et il a le don de me déstabilisé quand il veut , rien que sa présence me perturbe ! Mais le pire dans ton ça c'est son « C’est le pied, si je crève, t’es riche » J'image qu'a ce moment là il plaisante enfin j'espère vraiment car je ne peut m'empêcher d'imaginé ma vie sans lui ! Et j'arrive même pas à l'imaginé , on est peut-être plus ensemble ou je ne sais pas trop mais rien que de pensé qu'il ne soit plus sur cette Terre sa m'en rend malade mais complétement quoi ! J'avoue que je ne fais pas trop attention à ce qu'il dit pas parce que sa m'intéresse pas mais parce que je réfléchis ! Réfléchis dans le fait qu'on va avoir la pire des conversations que je n'ai jamais voulue avoir depuis que je suis partie ! Alors qu'il me tient le bras pour aller dans l'ascenseur sans même que je puisse m'enlever , il ose me sortir une vieille histoire de coucherie entre nous deux , sur le coup sa ma fais arraché un sourire mais bon vite fait hein « T'est vraiment obligé de me rappeler nos ébat sexuel ? Je crois que je m'en souviens assez pour que tu soit là à m'en reparler » Et a ce moment là les portes s'ouvre on est enfin arriver à l'étage ou sa chambre se trouve

Ne rajoutant strictement rien je ne fais que marché droit devant moi ! Arrivant devant la porte de sa chambre je me retourne brusquement et le regarde « Ne compte pas sure moi pour rester avec toi parlant du bon vieux temps ! » Entrant dans sa chambre je m'avance en plein milieu du salon et me retourne « Tu veux savoir quoi ? Ou j'étais peut-être ? Ou tu veux savoir qui je me suis taper pendant tout ce temps ? » Allez savoir pourquoi je viens de dire ça ! Je perds la boule je crois !Pourtant j'ai pas envie de lui faire du mal mais sa sort comme ça , sans que je m'en rende compte !

**Andrew H. Powell**

Je ne sais pas pourquoi j’avais dit que si je crevais, elle serait riche mais surement dans l’ambiance en pensant qu’elle n’en avait plus rien à faire de moi ? Je ne pouvais pas le nier…. Parfois je me demandais si elle m’aimait de là où elle était, si elle pensait à moi enfin c’était plus fort que moi. J’étais marié à une femme que j’aime et je ne pouvais pas le nier que c’était fabuleux sauf qu’elle n’était pas avec moi. Je l’avais alors attirée vers les ascenseurs en lui tenant fortement le bras sans lui faire mal, hein ? Je ne voulais pas la blesser et je crois que ça me tuerait si j’osais ou qu’on osait porter la main sur elle. Roh ben là, elle l’aurait son héritage, non ? Quoique le fait d’en mourir est un peu métaphoriquement parlant étant donné que je ne vais quand même pas mourir par ce qu’on la touche mais dans un sens ça m’anéantirait. Je venais alors de lancer un vieux souvenir, simplement pour taper la discussion surtout car je voulais dire tellement de choses mais pourtant je n’arrivais point à les dire, je ne pouvais pas car elle ne sortait pas, elle restait comme figée dans mon esprit… coincée dans mon chapeau… Pourquoi ? Peut-être car les mots ne peuvent pas toujours plaire et ne peuvent pas toujours déplaire. Je ne voulais pas la vexer en utilisant le mauvais et non plus la braquer en utilisant les bons ce qui est logique, je ne voulais point la perdre de vue une deuxième fois, elle était partie, elle pouvait donc repartir à tout même sachant que je ne quitterais pas Vegas de sitôt et même si elle me le demandait. Je suis tout sauf un toutou même si j’ai beau être romantique, je l’admets que je peux même parfois l’être beaucoup trop mais ce n’est point le truc dont on doit parler principalement alors que j’avais exactement remarqué qu’elle avait perdu son beau sourire une fraction de seconde après ma tiraillerie. Je souriais et hochais la tête quand elle me demandait si j’étais obligé. « Enfin obligé non mais on va pas tourner autour du pot… », je roulais des yeux en la regardant. « On était doué et on l’est peut-être toujours. Faudra vérifier, tiens… si la connexion est encore là », je la taquinais un peu pour détendre l’atmosphère tout en allant vers la chambre et la suivant d’un pas certain presque… le pas qui dire : j’ai confiance en toi mais pourtant un petit ralenti. « Tu en m’amènes pas vers une pièce secrète ou tu pourras me tuer et me torturer puis m’enfermer et faire de moi ton esclave ? Non par ce que sans le fait de me tuer, le reste… ça me plat assez, tu sais ? », roh j’étais un homme et parlez-moi de torture par une femme et d’être son esclave, je dirais toujours oui. Je tentais de faire de l’humour, la voir sourire ou même rire en espérant que cela fonctionne vraiment, je ne voulais pas qu’elle se sente mal ou oppressée enfin je me comprends. Même si je doutais fortement que cela fonctionne car au fond de faire un peu d’humour… c’était peine perdue. Elle était tellement froide que j’en devenais dingue et j’avais ce petit pincement au cœur… comme si on venait toujours le couteau dans la plaie béante qui disait… « Aimez-moi, reviens-moi », oui… les plaies, elle parle dans mon petit cœur et puis si vous n’êtes pas content, c’est le même prix, je vous l’assure.

Arrivés devant la porte alors que j’attendais simplement qu’on l’ouvre et surtout par ce que j’avais chaud et je voulais un peu aérer la pièce même si dans ce palace, je me doutais que cela serait déjà fait mais on s’en fiche de ce détail en gros : je voulais entrer dans ma chambre et je l’écoutais en soupirant doucement tout en ne quittant pas son regard. « Ah bon ? Tu ne veux pas parler du bon vieux temps ? », j’avais insisté sur le bon pour bien montrer qu’il était « bon » donc qu’on était heureux et qu’on s’aimait enfin vous me comprenez en gros, je voulais qu’elle se rende compte de tout le temps qu’on avait perdu suite à son départ car je ne voulais pas qu’elle parte, non vraiment pas. « Alors entrons, maintenant », oui… je voulais vraiment entrer alors qu’on entrait enfin et j’étais content car au fond, je voulais me coucher un peu et me reposer après une bonne douche avant de débuter mon « boulot » et aller voir les travaux. J’avais aussi prévu une partie de poker avec mon pote Marshall mais bon, on s’en fiche, hein ? Je voulais gagner contre lui alors que je m’en foutais de perdre mais les hommes, on aime jouer. Je soupirais en entrant alors qu’elle me demandait ce que je voulais savoir et puis la regardait quand elle rajoutait ou elle était enfin je crois que je l’avais un peu deviné là mais on s’en fiche, encore… dis-donc on s’en fiche de beaucoup de choses… Vous ne trouvez pas ? Elle continuait en demandant si je voulais savoir qui elle s’était tapée depuis le temps, je gardais contenance même si moi aussi, j’avais été voir ailleurs… Elle croit quoi ? Elle vit dans un petit monde de lutin et libellule ? Deux années et plus, bien entendu que j’ai une vie sexuelle et même très active malgré moi car je pense toujours à elle quoiqu’il arrive et même que j’arrive à me sentir infidèle. « Je veux savoir… si tu as peut-être un brin d’humanité en mon égard car là, je ne le vois plus vraiment. Je ne te reconnais pas entre nous mais bon. Je crois que je le mérite. », je riais nerveusement en détournant un peu mon regard alors que le groom apportait les valises et les posait au coin de la porte. Je ne savais pas quoi dire mais j’attendais d’être certain qu’il n’écoutait pas vraiment ce qui se disait dans ces lieux. « Ensuite, tu sais quoi ? Je ne pense pas que je veuille savoir où tu étais, je veux seulement savoir si tu vas bien et que ta santé est parfaite maintenant je sais que tu es là… à Vegas et le reste, je m’en fiche. C’est le présent qui compte. », je lui souris, un sourire qui se voulait sincère et c’est surement par ce que je l’étais. Oui, j’étais sincère et je ne racontais point du n’importe quoi.

J’haussais alors les épaules en attendant que le groom parte après que je lui ai donné un pourboire, une bonne grosse liasse de 500 dollars, j’étais généreux, hein ? Punaise, je veux devenir groom et avoir des clients comme moi, parfois. Je lui souris rapidement et riais doucement. « Et puis que veux-tu que je fasse en sachant le nombre de personne que tu as eu dans ton lit pendant ton absence ? Sérieusement… tu penses que je suis resté comme un con à t’attendre ? Non mais Eli… t’as beau être la femme de ma vie mais c’est toi qui est parti, tu es ma femme et tu t’es barré donc moi aussi, j’ai été voir ailleurs plus d’une fois et je ne te jetterais jamais la pierre si tu as fait pareil. Tu sais pourquoi ? Car je n’aime pas d’avoir été voir ailleurs mais je suis un homme. ». Je ne rigolais pas vraiment en fait mais bon, je disais la vérité et je ne voulais pas lui mentir que cela lui fasse mal ou non mais il faut dire ce qu’il est… elle était partie, elle aurait pu rester et je n’allais pas attendre son retour comme un con, non plus. Je la regardais attentivement et soupirait doucement pour aussitôt baisser le regard. « Désolé d’être aussi direct mais si tu dois l’être avec moi, j’ai tous les droits de l’être aussi enfin c’est ce que j’estime mais bon », je soupirais doucement tout en allant regarder mes bagages surtout pour m’occuper. « Et puis d’abord arrêtes tes airs de filles qui veut être froide et méchante car cela ne te va pas du tout entre nous. Je préfère te voir sourire et rire, c’est bien plus joli », je le pensais, j’adorais son sourire et je la regardais en souriant. « Tu sais bien en plus que j’aime ce sourire », disais-je rapidement.

**Eli J. Campbell**

C'est vrai qu'il na pas tord , au plan sexuel ont étaient doué très doué même ! A l'époque on le faisait quand on voulait et ou on voulait mais ce temps là est révolue ou du moins tout à changé c'est clair ! Je ne suis plus la même femme qu'il a épousé ça c'est un fait que je ne nie pas vue que je le sais très bien moi même ! Si sa ne tenait qu'a lui comme il le dit je suis sûre qu'il me sauterait dessus pour voir si cette alchimie entre nous existe toujours ! Perso j'ai pas besoin de ça pour savoir qu'il y en a toujours une et qu'il y en aura toujours d'ailleurs , il n'y à pas photo ! J'aimerais vraiment pouvoir lui pardonné comme ça d'un coup comme si rien ne c'était passé , qu'on reparte de zéro ! Mais non , têtue comme une mûle que je suis avec mon caractère de merde je ne peux pas oublier ! Je ne peux pas faire comme si il ne m'avait jamais mentie alors que si , il la fait ! En parlant juste avant de sexe monsieur mon mari me fait des avances , vous direz je dois avoir l'habitude et bien oui mais sa me fais drôle , il est mon mari et j'ai l'impression d'être dans le même état qu'a notre première rencontre ! Donc en fait un sourire qui veut dire qu'il me fait rire avec un roulement des yeux qui veut limite dire qu'il est vraiment ridicule , mais bon ça me rappelle le bon vieux temps ça me fais chaud au coeur tout de même , je ne suis pas si insensible que ça! Pourtant j'essaye de lui montré que je suis une insensible avec un coeur de pierre mais parlez moi de souvenir et je redeviens à moitier la fille que j'étais il y a quelques années ! Et là je me rend compte que sa fait plusieurs minutes que je suis là devant lui et que je l'écoute sans même bronché sur les conneries qui peut me dire , hors d'habitude j'aurais déjà riposté mais parler pour ne rien dire c'est aussi une des choses que je hait le plus au monde donc autant se taire et parler quand il le faudra , c'est à dire dans pas longtemps !

Ce n'est pas très étonnant qu'il soit agressif avec moi vue comment je le traite depuis qu'il est arrivé , je ne le blâme pas bien au contraire je le comprends j'aurais sûrement la même réaction que lui si j'étais à sa place mais je ne le suis pas justement ! Un d'humanité ? LA question à 1 million la ! « L'humilité ? Tu me parle de ça comme si toi tu en avait ! Quand tu ma trahie tu en avait ? Non , tu ma mentie pendant des mois entiers comme si de rien n'était , comme si c'était normal et tu me fait ce reproche là ! Ta vraiment pas honte toi » Ba quoi ? Je me défend aussi , certes je l'attaque et il se défend mais c'est pareil dans les deux sens hein , je ne vais pas rester la planter devant lui et encaisser ce qu'il a me dire en le regardant avec un sourire jusqu'au oreilles ! « Tu ne me reconnait plus ! Et tu t'en étonne en plus ! » Tournant en rond dans le salon de la suite je suis entrin de devenir folle « Tu croyait peut-être que le jour ou on serai amener à ce revoir j'allais te sauté dans les bras et faire comme si je ne t'avais jamais quitter ? Si c'est sa que tu croit et bien désolé de te décevoir alors mais tu te goure mon pote . » Niveau agressivité la j'ivais un peu fort j'avoue que sa la fou quand même mal alors que franchement j'avais pas du tout envie de me prendre la tête avec lui ! Je pensais juste qu'on aller mettre les points sur les i et puis ciao quoi , mais bon j'aurais du savoir qu'avec lui rien ne se passe comme voulue !

J'ai franchement pas envie de tourner autour du pot de discuté pendant des heures et des heures de tout ça ! Sa sert a quoi hein ? A nous rendre dingue ? A s'engueuler encore et encore indéfiniment ? Relevant à moitier le reste de ce qu'il me dit , mais alors qu'il continue son dialogue je réalise clairement qu'il a eu des aventures ! Dans un sens c'est normal au bou de deux ans je ne peux pas lui en vouloir et comme il le dit ce n'est qu'un homme ! Mais voilà dans un sens ce que j'entends la de suite sa me rend malade , j'en suis même écœuré pourtant c'est complétement compréhensible ce qu'il a fait ! Et moi quand je pense que je me fais passer pour une fille qui en a profité pour faire tout et n'importe quoi et bien non la seul fois que j'ai coucher avec un autre c'est le soir ou je suis partie ! J'étais tellement malheureuse , en pleure que j'ai bue comme un trou et un mec est venu me dragué , enfin je vous passe les détails de ce qu'il c'est passer en suite mais des le lendemain je regrettais déjà ce que je venais de faire et depuis je n'ai plus jamais couché avec un autre ! Pensant toujours à Andrew il est tout de même mon mari , l'homme de ma vie même si il c'est passer pas mal de choses !

Alors qu'il termine son récit je le regarde sentant les larmes monté « Et bien tu sait quoi , les apparences sont parfois trompeuses car moi je n'ai couché avec un seul homme depuis mon départ ! La nuit ou je me suis enfuis j'étais tellement saoul et déprimé qu'enfin tu voit ! Il y à toujours eu que toi même si je reste sur mes positions et surtout ce que je pense ! Tu n'est qu'un homme tu la dit ! » Me débrassant d'un revers de la main d'une larme rebel sur ma joue je me dirige vers son bar et me sers un verre de Vodka avec de la glace et pendant que j'y suis je sors un autre verre et lui sers un verre de Wisky le meilleure qu'il y à et celui qu'il aime si je ne montre pas et si il a toujours les même gôuts ! Laissant son verre sur ce fameux bar je bois une gorgé et souffle avant de dire ce que j'ai a dire ! « Je t'aime ! Et je t'aimerais sûrement toute ma vie , tu es l'homme a qui j'ai dis " oui je le veux " mais ce que tu a fait ! Tu ma mentit et sa c'est une chose que je ne pardonne pas ! » Terminant même mon verre cul sec je retourne m'en servir un avant de l'écouté parler à son tour ! Fille méchante et froide ? Hum oui peut-être mais c'est aussi le métier qui veut ça que voulez vous ! Mais à ce moment là je sens que je vais pèter un câble mais d'une force incroyable ! Buvant une nouvelle fois ce verre d'une vitesse étonnante je ne peux m'empêcher de le poser assez fort « Arrête ça ! Arrête ça tout de suite ! De faire comme si ce n'était pas important et en me draguant à moitier ! Oublie pas que je te connait par coeur , on est marié ! » Tout ce que je veux faire c'est partir , sa me rend de plus en dingue de rester là devant lui comme si tout allez bien

**Andrew H. Powell**

Je l’écoutais alors me dire que je l’avais trahi pendant des mois et certes c’était mal mais en quoi étais-je plus salopard que d’autres. Je soupirais en la regardant un peu contrarié par ce qu’elle venait de dire et c’était bien plus fort que moi, je me sentais mal. « Oh Eli… ne me ressort pas la carte du vilain méchant loup. Je n’ai seulement caché une fortune dont j’ai honte. Tu sais à quel point je hais mes parents et tu en connais les raisons donc excuses-moi de n’avoir pas voulu être fière d’être riche juste par ce que je devais te le dire. J’ai fait une erreur, je le sais mais ce n’est pas comme si j’avais été te tromper pendant des mois avec des salopes alors que j’aime ma femme. Je t’étais fidèle. Je n’ai jamais levé la main sur toi et d’autres choses que des femmes vivent et est-ce que tu conçois qu’on dirait que tu es la femme la plus bafouée de la terre alors que je t’ai juste caché une richesse ? Alors non, à côté des hommes qui battent leur femme et qu’ils les trompent avec toutes les freluches du coin pendant qu’elles attendent leur mari à la maison… je n’ai pas tellement honte que ça. », disais-je avec un ton assez sain et pourtant parfais j’augmentais la voix et je me montrais un peu plus sévère car oui, cela m’énervait parfois d’y penser quand je voyais ce que vivait certaines personnes ou ce qu’avait par exemple vécue ma petite sœur. Eli était la femme la plus heureuse comparée à 80% des autres femmes sur terre qui souffrent à cause d’un mari violent et j’en passe. J’avais une dose d’injustice dans mon comportement car oui, je le trouvais injuste de se comporter pareillement avec moi alors que j’aurais pu être un bien pire mari et le premier des salauds mais sauf mon mensonge, je n’avais jamais rien fais contre elle, j’étais même très doué dans mon rôle et je n’avais aucune envies de lui faire de mal mais il ne fallait pas exagérer et je le pensais. Elle disait alors que je ne la reconnaissais plus et tant mieux ? Je m’en fiche… je ne disais rien et la laissant alors terminer sur sa lancée tandis qu’elle en venait à me dire que je penserais peut-être qu’elle me sauterait dans les bras mais le « pote » me fit rire nerveusement et pourtant je ne voulais pas rire.

« Je ne pensais à rien du tout, chérie », oui… le pote méritait une chérie pour la peine et je pensais qu’il fallait que je le dise. Je ne devais pas être le seul à encaisser soyons deux sur le coup. « Tu ne me déçois pas… Je ne pensais même pas que je te reverrais un jour, j’avais même perdu espoir à force de remuer ciel et terre pour une femme qui n’était pas capable de calculer la chance qu’elle avait d’avoir un mari qui lui a seulement caché des dollars… et pas des maitresses. », disais-je alors assez cash mais oui, je souffrais par ses mots et je devais me défendre.

Je n’avais pas à rester là et les encaisser comme au supermarché… alors on passe les codes-barres en supplices et on allonge la note tout simplement. J’aurais bien pu l’attendre aussi et ne pas voir d’autres femmes et j’ai même attendu des longs mois avant de me dire qu’elle ne reviendrait jamais et d’aller ailleurs. Je l’aimais et je l’aime encore et j’étais marié… mais il ne fallait pas se bercer d’illusions, les hommes ont des besoins tout comme les femmes et je ne lui en voudrais même pas si elle avait été voir ailleurs. Je l’écoutais alors continuer en soupirant alors qu’elle me disait qu’elle n’avait couchée qu’avec un seul homme depuis son départ. Je soupirais doucement me sentant un peu mal mais pourtant je me disais… je n’ai rien cherché, elle est parti. « C’est toi qui est parti, je ne t’ai pas demandé de le faire alors bien… », j’haussais les épaules en la regardant et perdant même mes mots.

« Tu n’as eue qu’une seule personne et tu veux que je te dise quoi ? Désolé que tu sois parti et que tu m’aimes au point de rester chaste ? Oh ben désolé alors mais je ne le pense pas car c’est toi qui m’a abandonné. », je ne voulais pas passer en victime et encore moins qu’elle se fasse passer en victime, je voulais dire ce que je pense et ce que je ressens, je ne pouvais pas changer le passer. Tout en parlant, je la voyais servir de l’alcool et donc un verre pour moi et ce qui était difficile et douleur c’était de voir qu’elle se souvenait de ce que j’adorais. C’était dingue tout de même mais cependant je tentais de décrocher de l’alcool… comme je l’avais dit : pour moi les temps étaient difficiles car je buvais beaucoup depuis son départ, beaucoup trop et c’était même un grand inconvénient dans mon boulot que je ne pouvais pas toujours assurer avec de l’alcool dans le sang. C’est vrai que c’est dingue la vie, vous savez ?

Je regardais le verre et hésitant un instant, je secouais la tête en refusant de le boire silencieusement enfin je me le refusais à moi-même et me contentais de la regarder alors qu’elle me dit qu’elle m’aimait et m’aimerait surement toute sa vie mais punaise… j’en doute pas, ça, je n’en ai jamais douté mais savez-vous ce qui se passe dans la tête d’un mari laissé pour compte et abandonné du jour au lendemain ? J’haussais les épaules. « Fine… », oui, je parlais une dose d’anglais mais on va dire français comme à Las Vegas, on parle officiellement anglais. « Tu m’aimes et ce qui est fait, est fait… tu ne pardonnes pas le mensonge ? J’ai compris ça… j’ai eu deux ans pour le comprendre. », je soupirais en détournant le regard et tentant de trouver contenance ou un truc à faire, dire de changer mon occupation et m’occuper l’esprit. Je la voyais boire et reboire pour ensuite me dire d’arrêter ça mais arrêter quoi ? Arrêter de dire que j’aime son sourire. « Attends, tu te fous de moi, là ? Tu me dis que tu m’aimes pour ensuite me dire d’arrêter de te sourire ? Mais bien sûr, je vais arrêter… je vais même arrêter simplement de te trouver aussi belle qu’avant et rayonnante puis j’aime ta coupe, ça te va comme un gant et te rend encore plus magnifique à mes yeux. Je continue ? », je soupirais doucement en approchant et prenant son verre en la regardant. « Je t’assure que l’alcool n’est pas un remède. Crois-moi ça détend mais une fois qu’on commence, on a du mal à arrêter juste pour se sentir mieux de jour en jour. », je prenais le verre et fermais la bouteille avant de la poser plus loin. Hors de sa portée enfin je l’espérais. J’allais alors vers la porte et l’ouvrait. « Mais tu sais, si je te gêne ou que tu ne veux plus avoir à faire à moi… », je montrais alors la porte avec un air assez mal car je venais de faire comprendre en sorte que l’alcool avait été un problème pour moi et je voulais surtout éviter ce sujet ou ce point. « … si tu veux sortir, sors », disais-je en attendant sa réponse et restant devant la porte. « On en souffre tous les deux assez alors soit on arrête de se bouffer et on parle seulement ou alors on s’évite et j’irais ailleurs. », ce n’était pas du chantage mais des options et elle devait les choisir, j’étais gentil comme mari, non ?

**Eli J. Campbell**

L'écoutant parler je me rend compte en fait très vite que Monsieur me fait la moral , c'est la meilleure celle là ! Mais il se croit ou là ? Chez lui ? Non cet hôtel c'est mon chez moi et même si ce n'était pas chez moi il me parle comme si j'avais 5 ans ! Il a toujours eu le don de me faire péter un câble même quand on était ensemble sa lui arriver de temps en temps ce genre de leçon de moral à deux balle qui a le dont pourtant d'en énerver plus d'un croyais moi « STOP , la non STOP tu va pas recommencer hein t'est leçon de moral de merde tu te les gardes hein tu va pas recommencer comme à l'époque en me traitant comme une gamine ! Je ne suis plus la petite Elizabeth toute sage que tu a épousé ! Va falloir que tu te le rentre dans le crane ! » Buvant mon verre encore et toujours, essayant de ne pas péter un câble même si la il y a quelques phrase avec le ton qui monte ça ce n'est pas grave , on a eu pire comme engueulade alors je me dis que là c'est comme le sexe c'est les préliminaires ! Et voilà il recommence ! Je ne suis pas toutes ces filles , je m'en fou des filles qui ce font battre ou qui ne sont pas heureuse , enfin non je trouve sa tragique mais la de suite on parle de moi , de lui , de NOUS DEUX bon sang de bon soir il va me rendre chèvre je vous le dis « Arrête voir de parler des femmes dans le monde , la on parle de toi , de moi enfin de nous deux alors les femmes qui ce font battre même si c'est horrible c'est pas le sujet ! » M'asseyant sur le canapé je ne dis rien fixant la grande bai vitré pendant quelques secondes avant de rajouté très calmement et pourtant si tristement « Faut toujours qu'on vienne à parler des autres mais de ce qui est vraiment important pour une fois » Me sentant de moins en moins bien je me lève d'un coup ne voulant pas lui laisser l'occasion de venir " me consoler " Puis avant même que je comprenne il venait de dire une phrase mais pourtant c'était la phrase choque de la journée , me retournant vers lui comme si je venais de voir un fantôme , il a raison c'est moi qui suis partie , et j'ai beau l'aimé de toutes mes forces et de toute mon âme je sais toujours pourquoi je suis partie et j'ai mes convictions et mes opinons , me mentir a était sa plus grosse erreurs !

Qu'est ce qu'il peut m'énervé aussi quand il y a ce genre de conversation monsieur trouve quand même le moyen d'essayer de me draguer , d'une manière que je déteste en plus avec ces vieux sourire que je connais comme si c'était moi qui les avais fait ! La j'avoue ne plus voir l'homme que j'ai épousé sa fait drôle ! J'aurais aimé enfin je sais pas mais sa aurait était mieux qu'il essaye de me draguer comme à l'époque , enfin bref ! Il est là a me dire tout un tas de "belles " choses on va dire , qu'il arrête , juste qu'il arrête si sa continu je vais m’effondrer et c'est la dernière choses que je veux « Arrête , arrête ça tout de suite ! Ta pas le droit de me dire tout sa merde ! Je suis partie tu devrait m'en vouloir à mort me détester même et non t'est là a me dire des choses qui pourrait me faire fondre mais t'est maso ? » Mon regard ce fait de plus en plus doux ou plutôt triste , quand on était ensemble il me disait toujours tout un tas de choses magnifique mais ce temps et révolue , je suis peut-être toujours sa femme certes mais sa s'arrête là !

Et là il me prend mon verre me disant que sa ne serre à rien de boire juste pour oublier et qu'il sait de quoi il parle ! Oh ! J'ai osé lui faire sa lui qui disait que jamais il tomberait dans l'alcool a cause d'une fille et bien j'ai étais LA fille qui lui a fait ça , le regardant les larmes aux yeux je me remémores la scène ou il m'avait dit sa , c'était peu avant notre mariage quand j'avais eu un coup de panique que je n'étais plus sûre de rien ! « Désolé » Je ne voulais pas le rendre aussi mal , j'avoue qu'étant partie comme une voleuse j'ai pas eu le temps de pensé à lui ce jour la , enfin après j'y est pensé pendant des mois et encore aujourd'hui ! C'est la qu'il me propose de sortir si c'est pour se prendre la tête c'est pas la peine et que si c'est sa il partirait ! Il veut qu'on parle dans un ton normal bien ! M'asseyant une nouvelle fois sur le canapé ! Je le regarde « Six mois après être partie ! je suis rentré à la maison ! Enfin pas complètement » Les larmes commençant a être de plus en plus présente , ayant les yeux fermé « Je t'ai vue avec cette fille ! Vous étiez dans notre chambre ! J'ai vite compris et je suis reparties avec mes valises » C'est dure de devoir lui dire ça je vous jure pourtant je ne comptais pas lui dire maintenant que je l'avais vue avec une autre fille que moi et que ce soir la j'étais même prête à rentré mais en voyant ça sa vous calme de suite ! « Je me sentais tellement mal que je voulais rentré chez moi , te dire a quel point j'étais désolé et en une fraction de seconde tout a changer ! » Qu'il ne pense surtout pas que je lui en veuille , pas du tout je l'ai bien mérité pour une fois

**Andrew H. Powell**

Je n’avais jamais pensé d’elle qu’elle était naïve et gamine, elle avait son petit côté rebelle mais croyait-elle que je le prenais comme une enfant ? C’était faut, je ne disais pas qu’elle faisait son enfant mais qu’elle était excessive. Je l’écoutais en soupirant et me disait qu’elle pensait réellement que je la vois comme un gosse alors que non, du tout mais je me défendais aussi et il n’en était pas moins que beaucoup de femmes auraient aimées avoir seulement un petit mensonge du genre de leur mari. Je dis peut-être ça rapidement ou pas mais toutes les femmes que j’ai connue et auxquels j’ai raconté ce détail… se demandait cruellement pourquoi elle était partie « enfin c’est long à comprendre mais c’est comme ça », disais-je toujours à celle-ci. Je prenais à chaque fois la défense d’Eli en disant que je pouvais la comprendre, mentir c’est mal mais alors qu’elle me disait mes 4 vérités, je n’avais plus vraiment envie de la défendre sur l’instant. Normal, non ? J’étais loin du genre à me laisser en prendre plein la gueule. « J’ai jamais dit que tu étais une gamine », disais-je simplement pour bien qu’elle sache que c’était loin d’être cette conclusion mais plus vite celle… en fait, je n’en sais rien, c’était comme ça. Je me marrais alors qu’elle me disait qu’on parlait d’elle et seulement d’elle et de nous. « Oui, je ne parle pas des autres mais est-ce que tu imagines qu’on dirait la plus triste de toutes les femmes, la plus bafouée ? Tu ne te sens pas un peu égoïste parfois et excessive ? Je ne dis pas, je t’aime comme tu es mais oui, je pense que tu es excessive sur ce point. Je ne veux pas parler des autres mais je veux que tu penses un peu moins à ta petite personne parfois.», oui, c’était peut-être fort mais il fallait mettre ça sur le dos de la colère passive que je ressentais. Je n’étais pas un genre de gars à penser ça et elle le savait que c’était la colère si elle me connaissait assez mais sur le moment, c’était plus fort que moi car je trouvais vraiment ses propos égoïstes et qu’elle ne pensait qu’à elle. Effectivement Vegas avant déteint sur elle quoiqu’elle soit partie avant de venir à Vegas et un peu pour la même raison que tout ce qu’elle déblatérait là donc bon.

J’en venais alors à dire ce que je pensais d’elle comment je la voyais et pourtant sans arrière-pensée, justement pour le dire et quand on pense une chose, on le dit. Elle me disait de lui en vouloir à mort ce qui m’amusait à vrai dire car elle n’avait pas à gérer ce que je ressentais au fond. « Ouais mais peut-être que la rage que j’ai contre toi et ton départ a eu le temps de se dissiper en 2 ans mais on progresse… tu te rends donc compte que j’ai aussi le droit de t’en vouloir de ton départ. », j’haussais doucement les épaules en la regardant et soupirant. « Mais malheureusement pour toi… je ne te détesterais jamais et je ne suis pas maso… je souffre déjà… un petit peu plus ne me tuera jamais tiens. J’ai fini par apprendre à vivre sans la femme que j’aime malgré moi », disais-je bien en insistant sur mes derniers mots, c’était plus fort que moi de le faire car je ne voulais pas qu’elle pense que l’oublier soit ce que je voulais. Je ne voulais même pas l’oublier, je ne voulais rien en fait, j’en étais au moment de mon existence ou je ne voulais rien sauf suivre mon métier et la mémoire de ma sœur. Je voulais seulement ça car voilà longtemps ou je savais que je l’avais perdue. « On dit bien : pour le meilleur et pour le pire. Ce n’est pas au pire que je vais te détester… non par ce que moi, je crois en notre union », rajoutais-je alors au final par un petit sourire. J’avais bien remarquée qu’elle faiblissait et je ne voulais pas être le con qui insistait au fond enfin je pense que je n’en jouais pas et si tel était le cas, j’en suis désolé. Vraiment. « Je pourrais continuer et je ne le ferais pas. Je ne suis pas là pour m’amuser à te faire souffrir… je suis là pour le boulot. »

Alors qu’elle comprenait pour l’alcool… je n’ignorais pas son désolée en ne disant rien au début et finissant par me dire qu’elle devait s’en vouloir et je soupirais doucement en le regardant. « C’est pas toi qui m’a donnée la bouteille… je l’ai entamé toute seule », grommelais-je doucement en évitant son regard. Elle en était pour beaucoup mais elle n’en était pas coupable après tout. Si elle l’était… comment ? Elle n’était pas là enfin c’était justement le problème mais au fond… j’ai pris cette bouteille tout seul et je n’allais pas lui mettre ça sur le dos cela serait mal de ma part. Alors que je lui proposais de partir ou de rester… je restais là sur le pas de la porte en voyant qu’elle se mettait sur le canapé. Je refermais alors la porte en prenant le verre et le remettant dans la bouteille. Je m’en fichais mais là, il m’appelait le crétin et je ne voulais pas sombrer. Je n’avais pas eu besoin de club comme les alcooliques anonymes mais seulement une décision j’étais comme ça cela me suffisait pour arrêter : une décision et un « j’arrête ». Il ne fallait pas que je me détruise pour une femme. Je l’écoutais alors surpris de ce qu’elle disait en riant nerveusement alors que j’entendais qu’elle était rentrée et qu’elle m’avait vu enfin « m’avait ». Je l’écoutais et la laissait finir en restant contre le bord du dos, adossé et la regardant alors avant de faire un petit geste de la main en sa direction. « C’était pas moi. Tu sais… t’es partie et moi… je ne pouvais pas vivre « chez nous » sans « nous » et Belinda avait besoin d’un toit ou créché avec la naissance de sa fille et son « copain » de l’époque donc je lui ai laissé l’appart mais ça, tu ne pouvais le savoir qu’en étant là. Je ne prendrais pas la responsabilité. Tu aurais dû vérifier qui était vraiment dans la chambre au lieu de partir comme une voleuse car sache qu’il y a une chose que je n’aurais jamais… ô grand jamais osé faire. », je marquais alors une pause en la regardant bien attentivement… « Inviter une femme, une autre femme dans notre lit… le nôtre. J’aurais été plus que salaud de faire ça et savoir que tu m’en as pensée capable, c’est décevant. Pour quel connard tu me prends vraiment ?», je secouais la tête en pensant à Belinda… ma plus jeune de mes sœurs qui n’a vraiment pas eue la malchance de notre sœur mais vraiment (scénario que je comptais faire ahah mais tu m’aides à le développer, là. C’est gentil !) pas pour autant la belle vie avec une grossesse à 17 ans alors qu’elle était orpheline comme nos parents étaient morts mais déshéritée car contrairement à moi, elle était partie du foyer de famille assez tôt retirée par l’assistance sociale à la mort de notre sœur. « Désolé si ça t’a perturbé cette image mais ne me prend pas pour ce que je ne suis pas non plus… mais je ne peux pas t’en vouloir d’avoir directement été mal donc je m’en excuse. », j’étais galant toujours et je n’allais pas lui jeter la pierre.

**Eli J. Campbell**

J'avoue que c'est assez dure d'être avec lui dans la même pièce après avoir était séparé pendant 2 ans , bon d'accord si je ne serais pas partie on aurait pas était tout seul mais que voulez vous je suis une fille têtue c'est comme ça j'y peu rien maintenant , je suis comme je suis et faut faire avec que sa plaise ou non ! Bon d'accord au moment ou je vous parle je suis la pire des égoïstes qui puisse exister sur cette Terre et vous savez quoi ? Je m'en fou royalement , c'est bizarre j'ai plein de frisson qui parcoure mon corps pendant qui me fait sa séance de moral « Ta fini ? Je sais que je me comporte comme une égoïstes ! Et jm'en fou pour une fois que je peux pensé un peu a ma gueule et bien je le fais et avec plaisir ! Si sa te plait pas c'est ton problème chéri !» Je venais de l'appeler " cheri " exprès tout comme lui quelques minutes auparavant ! Oui pour une fois j'ai décidé de penser qu'a moi , que pour une fois j'avais envie d'être le centre du monde , de faire la grosse fille pourrie qui pense qu'a elle !

Mais comment il fait pour ne pas ma detester ? Je l'ai lachement abandonner pendant 2ans vous vous rendez compte ? Pendant 24 mois , pendant 730 jours (si je sais encore bien compter ma Lily ?) , pendant des semaines entière ! Enfin bref je vais pas dire non plus les jours et les semaines parce que sinon j'ai pas fini moi ! Mais bizarrement au moment ou il a dit a la fin de sa phrase je cite " Je crois en notre union " j'ai juste lever la tête et pendant une fraction de seconde tout ce que j'ai voulue faire c'étais me blottir dans ces bras et lui dire a quel point je peut être désolé ! Mais que voulez vous rien ne se passe comme on veut à la place j'ai simplement ouvert en gros mes yeux comme si j'étais choqué de ce qu'il venait de dire et j'ai baisser la tête , surement la honte qui viens me faire un petit coucou ! Tout de même heureuse de savoir que pour son alcoolisme je ne suis pas fautive a 100% même si j'y suis a 80% , je me sens vraiment idiote pour ça ! Et puis je n'ai pas envie de lui en faire parler et puis c'est pas trop le moment ! Regardant ma montre je m'en rend compte que je reste bien trop longtemps avec lui et que malheureusement j'ai d'autre client que lui !

Au moment ou j'entends le prénom de Belinda je ferme les yeux et secoue la tête ! " OMG qu'elle idiote je suis " Dans un sens sa metonne même pas je 'lai juste à la fenêtre je n'ai pas regarder qui c'était réellement , j'ai même pas regarder si la voiture était devant aussi ! Oh mais quel con franchement ! Et puis franchement il a raison comment est ce que je peux croire qu'il aurait pu coucher avec une autre femme dans notre lit ? Je le laisse terminer sa phrase sans même le couper et le regarde « Je ne sais pas à quoi j'ai pensé ok j'ai vue deux personnes dans notre chambre j'en est conclus que ! Mais tu n'ai pas ce genre d'homme je le sais c'est pour ça que je t'ai épousé aussi ! J'aurais du me douter que c'était Belinda avec son cher et tendre , rien qu'au niveau de la différence de carrure qu'il y a entre lui et toi » Oui car oui mon homme à moi , mon mari est beaucoup mieux foutue que le copain de ma belle soeur ! Et maintenant il s'excuse alors que je suis au bords du gouffre la , j'ai l'impression que tout s’effondre au fur et à me sure qu'on discute « Tu na pas à être désolé tu n'y était pas ! » Laissant quelques secondes je reprends les larmes au bou des yeux prés à couler « Qu'est ce quel me manque manque cette maison d'ailleurs ! Tout me manque » Insistant bien sur le Tout et en le regardant je me lève doucement , passant à côtés de lui même metre ma main dans ces cheveux pour le décoiffer comme j'ai toujours aimé faire et rajoute « Même si j'en est pas envie tu n'est pas mon seul client aujourd'hui ! » Quand soudain une idée me viens en tête « A moins que tu ne veuille réellement mais en insistant vraiment pour que je reste ? Dans ce cas je serais dans l'obligation de délégué mes autres client a mes collegues » Avançant tout de même en direction de la porte car franchement la de suite je suis pas sure qu'il est envie que je reste

**Andrew H. Powell**

« Ohhh… comportes-toi comme tu le veux au fond, je m’en fiche », disais-je en riant nerveusement et puis bon au fond, je ne m’en fichais pas vraiment mais on va oublier ce détail car ce n’est pas ce qui compte. Je n’aimais pas la voir égoïste à ce point car ce n’est pas une chose que j’aime personnellement chez elle et à mon souvenir, elle ne l’était pas avant peut-être avait-elle tellement changée que je ne pourrais que la reconnaitre physiquement ? Je ne voulais pas me dire ça car au fond, je voyais encore la femme que j’aime dans son regard et c’est une chose que vous savez automatiquement quand vous voyez une personne : qui elle est. (T’es une pro des mathématiques enfin je ne sais pas… pas la tête de faire des mathématiques là à vrai dire, mouhahaha) J’évitais un peu son regard tout en laissant les choses continuer mais j’avais vraiment envie de juste passer à la suite sans suivre cette conversation puisque cela fait mal. Vous n’avez jamais eu enfin de juste zapper le mauvais moment pour n’en garder que les bons ? Juste profiter de ce qui est important et ce qui l’est moins et fait mal… les foutres dans les poubelles que vous trouvez en rue et les laisser à ceux qui eux… auront envie d’autant de soucis ?

Personnellement je ne voulais pas du tout subir tout ça, je voulais juste avancer. Je la voyais regarder sa montre et je riais doucement. « Si ça te dérange de rester avec moi, tu peux fuir hein ? », disais-je assez ironiquement car je ne voulais pas qu’elle se force à rester avec moi, je serais un vrai idiot si je tentais de la rattraper car au fond, qui voudrait rattraper la femme qu’on aime en sachant qu’un jour, elle reviendra et d’elle-même ce qui rend encore l’acte plus beau enfin je ne sais pas vous mais je ne voulais pas la forcer en rien. Je voulais qu’elle agisse de son propre gré, on n’arrive jamais à rien quand on est forcé sauf se faire souffrir et faire aussi souffrir l’autre car nous n’y mettant pas de cœur à l’ouvrage. Je baisais doucement mon regard. Je soupirais doucement en la regardant alors qu’elle disait être désolée d’avoir confondu. « Je sais, je sais que tu n’y es pour rien, je ne te jette pas la pierre. », je soupirais doucement en la regardant brièvement et passant la main sur mon front. « Je suis désolé, vraiment même si je n’ai pas à être désolé, je sais que c’est idiot et que je n’ai pas raison mais je sais aussi ce que tu as dû ressentir en voyant ça et pensant ce que tu pensais faussement mais même si ce n’est pas ma faute, je suis désolé car tout ça au fond c’est de la mienne… on souffre tous car je suis un idiot et on va pas y revenir. », disais-je en la regardant brièvement mais vraiment rapidement car en fait, j’en avais marre de la sentir mal et me sentir mal… mais je savais aussi mes torts et les admettrait toujours même si je devrais avouer que l’ampleur avait été bien que trop superficielle.

« Elle me manque aussi mais elle est toujours là, bon d’accord pas dans le coin mais elle est toujours là et je crois que moi, je ne veux pas habiter notre maison sans un notre… en fait, je ne pourrais jamais m’y faire au fond. », fis-je en me disait qu’un « notre » était une chose qu’on vivait et avait à deux et non tout seul donc ce n’était pas logique que j’y sois seul à mon gout et j’en avais bien trop des souvenirs dans cette maison qui n’avait pas aidé à oublier l’alcool. Je crois que c’est un peu pour arrêter l’enfer que j’avais quitté Los Angeles. « Je sais, tu devrais aller bosser… et pas faire le baby sitter », disais-je en souriant un peu car je tentais tout de même de laisser un brin d’humour pour détendre l’atmosphère et je me disais qu’il valait mieux en garder un peu. « Je ne veux pas te forcer, je ne pourrais jamais faire ça mais je ne veux pas non plus que tu partes, 2 ans à rattraper alors… pourquoi rompre cette retrouvaille aussi rapidement… », J’allais alors à la porte en posant ma main sur le bord et l’évitant d’ouvrir celle-ci et la regardant dans les yeux et sans comprendre ce que j’allais faire, j’attrapais sa main et posant l’autre main libre sur sa joue, je l’embrassais rapidement, un baiser volé plus vite, rien que ça pour voir seulement si elle répondrait ? Répondrait-elle ? Je n’en savais rien. « On apprend les hommes au jardin d’enfant et souvent même que nos parents nous apprenent en premier temps à dire « Je t’aime » mais les mots n’ont de sens que quand on prouve qu’ils sont vrais et quand on se bat pour le prouver », disais-je en reculant doucement de ses lévres et le regardant juste dans ses yeux. Des douces paroles ? Allais-je aider ? Je n’en savais rien et peut-être même que je me prendrais une gifle mais j’avais tenté et quand on tente… on peut parfois avoir du positif comme du négatif et entre nous avec tout ce que j’avais traversé en deux ans… tout ce qu’elle pourrait dire ou faire ne me ferait jamais autant mal que son départ… j’ai déjà une plaie béante….

**Eli J. Campbell**

C’est vrai qu'en y pensant je me comporte réellement comme la pire des égoïstes , j'ai pas pour habitude d'être comme ça et encore moins devant Andrew , après vous me direz 2ans sans se voir sa peut changer une personne ! Je ne pense avoir tant changé que ça , juste que j'ai découvert des parties de moi qui était enfuis à l'époque ou on était ensemble ! Les choses changent et les gens change aussi c'est la vie c'est comme ça ! J'avoue que depuis que je suis ici je ne fais rien dans la dentelle toujours à foncer tête baisser sans me soucier des conséquences mais là , de suite , maintenant je m'en soucis beaucoup ! Car si je décide cette fois de fuir encore je ne sais pas si je le reverrait un jour ! Heureusement vous allez dire que je n'ai pas envie de toute façon de partir enfin pas pour l'instant ! Si on continu ce genre de conversation je vais sûrement m'enfuir une nouvelle fois et ça en courant le plus vite possible sans même prendre soin de me retourné , quel ironie ! « Pour une fois que je n'ai pas envie de me sauver comme une voleuse tu me demande si j'veux encore fuir ? Sympa » N'en pêche aprés vous êtes enfuie de chez vous vous voulez revenir et vous voyez deux silhouette dans VOTRE chambre qui s'embrasse vous en concluez quoi vous ? La même chose que moi n'est ce pas ? Je pense sincèrement que c'est une réaction logique enfin heureusement ce n'était pas lui et j'en suis heureuse ! Même si j'avoue être très légèrement jalouse qu'il ce soit taper d'autre nenette mais bon normal ce n'est qu'un homme il a des besoin ! Bizarre quand même une femme peut ne peut pas avoir envie pendant des mois entier pour cause qu'elle soit occupé dans son travaille ou autre mais les mecs non ! C'est bien connu il on leur bite a la place du cerveau ! Pourtant Andrew n'est pas ce genre d'homme enfin il n'était pas comme ça avant , deux ans sans ce voir sa change énormément , il n'est peut-être plus le même homme , j'espère sincèrement qu'il y à toujours l'homme que j'ai épousé en lui ! « Un idiot? Mais mon idiot quand même » Je ne pue m'empêcher de sourire et de lui lancer ce petit pic amusé ! Il faut bien détendre un peu l'atmosphère non ? J'ai pas du tout envie qu'on en vienne encore à hausser le ton , j'ai juste envie qu'on reste ici dans sa chambre à discuté de tout et de rien on même ne rien dire mais tout simplement rester là !

" Baby - Sitter " je ne pu m'empêcher de rire et de me retourné « Une baby-sitter super sexy alors ! » Dis-je en souriant avant de l'entendre dire qu'il souhaitait que je reste , quel soulagement ! Mais sa m'énerve qu'il ne le dise pas clairement « Il faut toujours que tu en face des tonnes , tu ne peut pas simplement me dire " Je veux que tu reste " ? » Sur sa il a visiblement pas du tout changé ! Avant de revenir vers le canapé j'envoie un sms a une de mes collègue en lui disant de prendre toute mes autres baleine pour la journée , sans même lui donné d'explication de toute façon elle va pensé que Mr Powel a du me demandé dix mille trucs ! Enfin bref retournant calmement au canapé je me met même assise à côtés de lui « Alors ? J'attends moi » Oui oui il ne m'avait pas dit clairement qu'il voulait que je reste alors je le taquine enfin oui et non car j'avoue avoir réellement besoin de l'entendre ! « Deux ans c'est long a rattraper quand même tu trouve pas ! Ils nous faudra bien plus qu'une journée » Dis-je en souriant ! Et pourtant j'ai beau l'aimé de toute mes force tout ce que je veux a cet instant c'est savoir comme il va enfin savoir ce qu'il a fait pendant tout ce temps

**Andrew H. Powell**

Je grimaçais doucement alors qu’elle n’avait pas l’air d’apprécier le fait que je lui demandais si elle allait fuir mais je ne sais pas vraiment. C’était surement de la peur. Peureux ? Non mais anxieux après deux ans. Au fond, il est vrai que deux années suffisent pour changer une personne et que se soit un homme ou une femme cela suffira toujours. Bien qu’on ne change jamais… on ne peut pas changer. La vie est ainsi faite. Mais je devais avouer être heureux de savoir qu’elle ne voulait pas fuir en haussant doucement les épaules et la regardant. « Désolé mais je ne peux pas devenir que tu n’as pas envie de fuir… j’ai passé 2 années à te voir me fuir. Il est logique que l’idée soit dans ma tête. », je n’aimais pas trop aller dans le passé à l’instant et surement que nous en avions déjà bien trop parlé. Je n’étais pas vraiment un homme à femme qui les multiplie mais la tristesse, l’alcool et le monde dans lequel je vis n’aidait pas. C’est un peu le monde du showbiz même si je refusais de l’admettre : j’avais les pieds en plein dedans avec mes clients assez riches et célèbre à souhait. Je rigolais en fronçant les sourcils alors que je penchais la tête en entendant que j’étais son idiot et la regardait. « Toujours aussi possessive », disais-je un peu taquin et je le pensais mais j’adorais ça. J’avais toujours aimé ce sentiment que provoque la possessivité de l’autre. Le sentiment qui prouve un peu l’attachement et le fait que je l’aimais et qu’elle m’aimait. Je ne relevais rien cependant pour ne pas en rajouter de trop à ses mots et me sentir mal par la suite car je ne savais pas ce qu’elle voulait ou ce qu’il se passait dans sa tête. Le réveil était juste temporaire peut-être ? Je venais alors de dire qu’elle était mon baby sitter et fronçant doucement le nez, j’hochais la tête en riant et juste ça. Je ne dirais point qu’elle est sexy car le regard que je portais depuis toujours sur elle… le prouvait amplement. Elle l’était et elle le savait qu’elle avait un effet dingue sur moi.

Je venais de tourner autour du pot pour lui dire de rester et pourtant elle voulait que je dise les mots directs « Je veux que tu restes » mais peut-être ne voulais-je pas les sortir au tac ? Je secouais doucement la tête en le regardant et haussant les épaules. « Je ne peux pas juste le dire car je veux que tu restes par ce que tu le veux avant tout et pas par ce que je te le demande. ». Je savais qu’elle voulait l’entendre rien qu’à son regard, ses gestes et son attitude mais aussi ses paroles mais les mots restaient pourtant je les pensais. Je devais les dire et je fis un léger sourire en coin en le regardant. Ils ne venaient pas encore et je l’entendais dire que deux années, c’était long ce qui était le cas, très long même mais je me contentais simplement de la regarder avec une pointe de tendresse car elle se détendait et était plus calme… plus zen et j’aimais ça. Je laissais pourtant ce long silence s’abattre en la regardant juste dans les yeux. « Je veux que tu restes ! », je ne rajoutais rien de plus en regardant un peu autour de nous et puis elle et puis encore autour de nous enfin mon regard ne se stabilisait pas, il voyageait dans la pièce. Je finis par le ranger dans ses yeux et hausser doucement les épaules en la regardant. « On a deux ans à rattraper, c’est vrai mais je ne sais même pas par où commencer. », je fis un léger sourire en inspirant doucement et passant ma main dans mes cheveux pour regardant un peu mes pieds puis tournant la tête vers elle. « J’ai terminé mes études et j’ai ouvert ma boite comme prévu enfin à mon nom et plus en stagiaire ensuite voilà… mon nom s’est rapidement installé et me voilà grand chirurgien. J’ai refait le nez d’Ashley Greene… la semaine dernière et aussi sa poitrine puis j’ai rajouté un peu de muscle à l’autre Edward Cullen sans oublier du botox pour les vieux vampires », je riais doucement. C’était une métaphore en parlant des stars de Twilight en vogue qui m’énervaient en ce moment pour dire que j’étais populaire et assez prisé. « Je ne suis pas fan de tout ça mais j’ai réussi à faire d’une jeune femme… une femme magnifique alors qu’elle avait un bec de lièvre depuis son enfance. », je souris doucement en haussant les épaules. Je me demandais si ma sœur serait fière de moi ou si j’aurais pu l’aider avant qu’elle ne se suicide. C’était souvent ce que j’avais en tête. « Et Belinda a accouchée d’un gamin, Ethan… il est magnifique. », dans mon regard, on pouvait voir que j’étais fière de ma petite sœur. Ce bout de femme qui avait combattu contre l’autorité de mes parents comme elle le pouvait. J’étais fière, oui. Très puis surtout qu’elle ne refera pas les mêmes erreurs avec son enfant. Je lui souris doucement et la regardait. « Assez parlé de moi, et toi ? », je riais et la regardait. « Oh est rajoutons que je dilapide ma fortune pour te prouver que je peux vivre avec au grand jour mais aussi par ce que je n’en veux pas du tout mais alors qu’au final, elle se multiplie comme tu le sais. », je riais nerveusement.

**Eli J. Campbell**

" Toujours aussi possessive " Hum alors là je crois bien qu'il na pas tords j'ai toujours étais possessive que ce soit avec lui ou mes amis ! Enfin surtout avec lui à l'époque je ne supporté qu'une autre fille que moi le regarde ou même le touche mais malheureusement il est canon et beaucoup de femmes lui courait après et c'est toujours le cas maintenant j'en suis sûre ! Physiquement c'est l'homme parfait , si je devais le revoir nu je pense que je ne saurais me contrôler , vive les idée mal placer hein ? Bon après mentalement comme tout le monde il a ces défauts mais c'est ce que j'aime chez lui ! Cette façon qu'il a parfois de me faire culpabiliser ou quand il a cette façon de me regarder et j'ai juste l'impression d'être un glaçon entrain de fondre , il y en a tellement ! Mais je ne l'échangerait pour rien au monde car au bou du compte il reste MON mari !« SI je n'étais pas possessive tu te serait surement poser des questions ! » Rajoutai-je avant de baisser la tête comme si j'allais rougir comme une gamine de 5 ans !

A ce moment là j'ai juste envie de le tuer ! Purée mais dit les ces 6 mots à dire c'est rien de grave pourtant ! Je le regarde l'air de dire " Bon sa y est t'accouche la ? " Et puis d'un coup sans même que je réalise vraiment il venait de le dire ! J'ai des frissons qui s'on venu s’abattre sur mon corps pendant une fraction de seconde j'ai cru aussi que mon coeur allez lâcher ! D'un coup mon regarde se fait plus tendre et je deviens du zen attitude incroyable ! « Tu ne peut même pas imaginé le bien que sa me fais d'entendre ça » Etant à présent assise à ces côtés je l'écoute me dire qu'il a refait le nez d'Ashley Green ce qui d'ailleurs me fait lâcher un petit rire car je sens son ironie dans tout ça ! Les stars de Twilight , OMG on en a marre ! Sa deviens de plus en plus grave , ils en parlent partout , dans les journaux , magazine , même à la télé ! Et puis d'un coup il m'explique qu'il a refait le bec de lièvre d'une femme ! Je le regarde avec tellement de fierté et d'admiration pour ce qu'il fait , je sais que tout ce qu'il souhaite c'est réparé les erreurs de la nature ! Un bec de lièvre ou tout simplement une mal formation etc... Et c'est sa qui fait qu'il en est là , sa soeur était comme ça , une de ces femmes ayant un bec de lièvre mais tout a changé ! Je savais qu'il deviendrait un chirurgien renommé j'ai toujours cru en lui : Posant ma main sur la sienne je le regarde les larmes aux yeux « Je suis fière de toi t'imagine même pas ! J'ai toujours crue en toi malgré ce que tu pouvait penser je savais que tu y arriverait un jour ou l'autre ! » A ce moment là je sers un peu plus ma main sur la sienne en souriant avant de la retiré comme une sorte de gene ou je ne sais pas trop quoi qui me dit " NON NE FAIT PAS SA " Il y a toujours Eli la femme d'Andrew mais Eli la célibataire et arrogante est toujours présente !

Bellinda à eu un gamin ? Wouaaaa si il a tout du côtés de la famille Powel il doit être magnifique , et apparemment il est magnifique mais bon c'est l'oncle il n'est pas objectif mais bon en général tout les bébés sont superbes ! « Belinda un bébé ! Woua dire qu'elle est plus jeune que moi et que j'en est même pas un ! Impressionné , mais bon c'est un choix de vie ! Je ne me vois pas avec un bébé , mais si il a tout du côtés Powel sa doit être un canon ce petit ange ! » Riais-je juste avant de repartir dans mes pensés ! un bébé ? Vous imaginez ? Je ne sais même pas si j'ai envie d'en avoir un ! Je ne sais même pas si un jour j'aurais envie d'en avoir un , mais ce qui est sûre c'est que pour l'instant je n'en veux pas du tout !

Et puis la c'est le drame il ne veut plus parler de lui mais de moi ! Qu'ai-je fais pendant 2 ans ? « Il n'a rien a dire sur mes 2 ans passer loin de toi quand je suis partie j'ai du mettre 6 mois avant de réussir à bien vouloir continuer a vivre normalement ! Et même si c'était dure que je pensai à toi tout le temps j'ai trouver ce job et depuis j'y boss ! Etant assez connue dans le coin j'ai pas mal de casino qui veulent me voir chez eux mais ici je me sens bien , je sens chez moi ! Enfin presque ! » C'est vrai il n'y a rien a dire sur ces 2 ans ! Je ne suis pas aussi intelligente et doué qu'Andrew je ne suis qu'une simple hôtesse

**Andrew H. Powell**

Je riais alors qu’elle me disait que si elle n’était pas possessive, cela ne serait point normal et c’est vrai. Comment les gens pourraient changer ? Il y a des choses qui restent les même alors que l’on ne s’en rend pas compte. Parfois… attention, on arrive à changer mais c’est une couche fine qui dés une première contrariété s’efface pour revenir au principal et donc ruiner tous les efforts pour devenir meilleur ou pire. J’en connaissais le principe. J’ai tant bien que mal tenté de changer tout cela et devenir un homme plus riche et qui profitait de sa richesse mais l’argent ne fait jamais le bonheur. Je ne pouvais pas oublier qu’il m’avait retiré tant de choses et apporté un malheur incalculable. Enfin passons les mauvais souvenirs. Les 6 mots, je ne pouvais pas les dires ? Si mais pourtant je ne voulais pas les dire car si je voulais une chose c’était qu’elle soit libre de ses actes, ses pensées, ses idées et ses gestes. Je ne voulais pas « diriger » ma femme. Je voulais qu’elle puisse être elle quand elle le veut et quand elle le peut. Je lui souris quand elle disait que cela lui faisait du bien en le regardant avec une tendresse assez touchante et bouleversante. Je n’en revenais pas vraiment de tout ça… cette histoire tournant autour de l’argent, son départ. Là, je la regardais et me demandait comment nous en étions arrivés là, un mensonge aussi simple soit-il. Je ne pouvais pas comprendre comment nous étions maintenant presque des inconnus… savoir le neuf dans la vie de ma femme me dépassait. Je ne voulais pas que nous en soyons là. Je ne l’ai jamais voulu. Parlant alors de mes échelons dans le métier comme avec ironie et humour… son rire me rassurait et il faisait bon de l’entendre comme une mélodie qui résonne dans ma tête tandis qu’elle s’apprêtait à me dire qu’elle était fière de moi et je souris doucement, vraiment doucement car je l’espérais au fond… ressentir la fierté de la part de la femme que j’aime. Un brin de fierté d’elle après tout ce qu’on avait traversé, c’était comme… génial… vivifiant. Une drogue que je pourrais consommer encore et encore surtout qu’elle croyait en moi. A part Belinda, personne n’avait jamais dit croire en moi depuis des années, pas même mais parents. Je n’en revenais pas de l’entendre et pourtant je ne savais pas comment réagir. Devrais-je la prendre dans mes bras et la serrer contre moi ? Je n’en savais rien et j’en mourrais d’envie pourtant, oui… c’était là dans ma tête… cela faisait le tour de mes neurones quant à savoir… dois-je le faire ? Je le voulais. Elle prenait ma main et la serrait un peu avant de retirer celle-ci… je ressentais comme un mal être… comme si elle me repoussait sans que j’aille vers elle, cette idée de la prendre dans mes bras disparue aussitôt car je ne voulais pas me retrouvé repoussé alors que je ne voulais pas ça, je voulais que tout aille pour le mieux dans le meilleur des mondes. Je souris doucement tandis qu’elle parlait de Belinda et le fait qu’elle soit plus jeune alors qu’elle n’en a pas. J’avais toujours voulu des enfants ce qui était un peu problématique entre nous cependant je savais que je ne lui demanderais jamais se sacrifice et que cette envie pourrait être de côté comme toujours… on doit faire des sacrifices en amour. « Il est canon… », je prenais mon portefeuille et l’ouvrais pour lui montrer la photo et lui souriant. Je ne me rendais pas compte que dans la poche à côté… il y avait encore cette photo de notre mariage qui n’avait jamais délogée de son rang, elle était là comme un souvenir, comme à sa place et ne voulait pas quitter ce portefeuille de cœur donc juste ces deux photos décoraient les espaces à décorer. Je partais alors sur un autre sujet car parler d’elle était sans aucuns doutes plus « passionnant » que de moi qui ai juste déprimé en attendant son retour, non ? Je fronçais le nez en écoutant attentivement ce qu’elle me disait. Je souriais en sachant qu’elle pensait à moi tout le temps en prenant sa main de moi-même et effaçant mes peurs tout en me mettant à la caresser à l’aide de mon pouce et le regarder brièvement puis regardant nos mains et puis elle. « Je suis désolé… », je lui souris avec tendresse et étant vraiment sincère dans mes mots et oui, j’étais désolé de lui avoir menti, une chose que je ne pouvais qu’excuser même si j’avais mais raison mais oui, je voulais me faire pardonner. « Pourquoi presque ? », disais-je en fronçant les sourcils doucement et penchant la tête. « Tu sais… quelques soit l’endroit… tu seras toujours toi-même. Tu seras toujours la femme que j’ai épousée et la femme que j’aime… la femme que j’aimerais toujours par ce que cette femme, elle me rend invulnérable dès que je la vois. », je la regardais avec le regard que j’avais toujours porté sur elle depuis le premier baiser… l’instant mémorable de ce premier baiser, je le revivais dans ma tête à l’instant en me souvenant que nous étions comme là… assis côte à côte alors que j’avais sa main dans la mienne et que je la regardais avec ce même regard. Je remontais ma main libre vers sa joue en ne la quittant pas du retard et lui souriant doucement. « Replonges dans le passé, oublies tout le reste ! », je caressais sa joue alors que ses mots caressaient mes lèvres pour en sortir d’un chuchotement tout fin tandis que je m’approchais d’elle en espérant qu’elle ne me repousse pas et juste… m’approchant en la regardant à chaque avancé, chaque millimètres. « Repousses-moi si tu veux me repousser mais je n’irais pas loin. Je ne mentirais pas, je ne partirais pas… je ne te laisserais plus filer entre mes doigts… Je ne te laisserais pas quitter cette chambre sans que tu saches que je suis toujours le même. », je finis alors par approcher totalement de ses lèvres et l’embrassant en mettant ma main dans le bas de son dos et la rapprochant plus de moi en priant de toute mes forces pour que ce baiser ne soit pas interrompu par son recul.

HJ : J'aurais bien continuée encore mais je ne sais pas comment elle va réagir x) !

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