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- KELLAN LUTZ • jonathan atwood
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- KELLAN LUTZ • jonathan atwood Vide
MessageSujet: - KELLAN LUTZ • jonathan atwood   - KELLAN LUTZ • jonathan atwood EmptyMar 12 Juil - 1:12
JONATHAN C. ATWOOD - TYLER C. ATWOOD - NICK C. ATWOOD feat : Kellan Lutz
NAISSANCE : 14/02/1987 à Londres
EMPLOI : Vigil/flic ou autre du fonction de ce genre dans un des casinos. Il était dans la police auparavant donc on ne peut pas trop changer son métier comme ça, surtout que c'est aussi une passion pour lui.
CARACTÈRE : Une forte tête, en plus du charisme qu'il dégage, un brin macho, séducteur mais son histoire d'amour avec Lennon lui en a fichu un coup plus que douloureux. Il semble à présent solitaire, dépressif et renfermé de plus en plus dans son travail. C'est une personne à qui il ne faut pas prendre la tête et n'accorde plus du tout sa confiance! Il vit très mal la fait qu'on le trahisse et la rancune le submerge très longtemps, en général il devient agressif. Quoique amoureux, il était tout de même prêt à lui pardonner cette pseudo-erreur (sans l'oublier) alors qu'il ne l'aurait fait pour personne d'autre.
PETIT PLUS ? Il est complètement perdu depuis sa rupture, il a un penchant prononcé pour l'alcool et est parfois assez morbide.




J'ai bien envie d'écrire "à vous de voir" ou encore "libre" mais je risque de me faire taper sur les doigts par la fondatrice et puis, il faut bien que je donne quelques indications : je n'aime rien imposer de A à Z, j'aime trop les touches personnelles. En fait, je le vois comme un mec qui a grandit seul à Londres, donc fils unique, proche de ses parents et bien aimé, qui jouait au foot avec son père, dont la maman lui lisait des histoires le soir, le chouchou de sa famille sans drame excessif parce que la vie, c'est pas toujours ça et on en lit des tonnes sur les RPG, parfois à l'abus et ce n'est pas ce que je recherche du tout. Il a connu Lennon dès le début du lycée et bien que coureur de jupons, le coup de foudre. Mais pour ce qui est de son passé amoureux ou les détails futiles, cartes blanches. Faut juste savoir qu'il voulait être flic petit et qu'en grandissant, contrairement à bien des garçons il a suivit son ambition et n'en a jamais douté. Aussi, depuis Vegas, il est reconvertit en vigil... un vigil seul, alcoolique et maladroit, qui ne sait comment reconquérir Lennon, celle qui devait être sa future épouse, qui a été enlevée le jour de leur mariage et depuis leurs retrouvailles est devenue étrange, ayant parfois l'esprit dérangé.




(Ex) Grand-amour. On aurait pu s'aimer passionnément pour l'éternité, malgré les dangers et les obstacles pour nous séparer, nous connaissant depuis l'âge de quinze/seize ans et ayant du mal à se quitter, notre séparation forcée durant quinze mois fut un véritable drame au point de nous transformer tous les deux. Cependant tout a changé depuis notre débarquement à Vegas, contre toute logique inattendue : on s'éloigne beaucoup et je le trompe.
AVANT VEGAS ET LA MUTATION DU JEUNE HOMME ICI AVEC ELLE.
Quinze mois plus tard, après ce fameux mariage raté... Je marche seule une ruelle de Londres, je vacille sur mes jambes faibles et mes talons hauts, manquant de glisser à chaque pas sur le trottoir et la pluie battante ne m'aide pas. Les milliers de gouttelettes d'eau tombent en trombe sur mon visage et je suis ivre. L'ivresse me gagne encore une fois, ivre et droguée, comme chaque jour, voilà comment je me retrouve depuis que je erre dans le noir. J'ai perdu la notion du temps, je ne répète qu'une seule chose dont je me rappelle, sans cesse : « Je dois me marier, je devais... » Même seule, même quand on me croise ou que l'on me regarde de travers, ayant à peine conscience que je suis habillée comme une pute. Non, je m'en fiche éperdument. Je file droit, je ne reconnais plus les rues et même le ciel pourtant nuageux m'aveugle, me souvenant même pas de qui je suis à part Lennon et où je vis, ça par contre... Pointant mon doigt vers l'orage qui gronde, puis m'asseyant sur un pilier quelconque, j'entends des klaxons, un bruit assourdissant. Un homme barbu sort d'une voiture, il est grand, sa silhouette me semble familière mais il me fait plus peur qu'autre chose. Apparemment il me connaît mais son arme en main me déstabilise. « Oh god, Lennon... ». Brusquement je me relève, si c'est encore un de ces foutus agresseurs, non merci. L'idiot est à visage découvert cette fois! « Non, non laissez-moi tranquille... » dis-je à peine d'un ton compréhensible. Mon esprit n'est pas clair, ma vue pas davantage. Je suis figée, il tient un flingue, je risque de mourir si je cherche à m'enfuir. Il parait choqué, c'est la meilleure! Que devrais-je dire de moi, il tient UNE ARME. Même s'il a l'allure d'un policier en civil, il reste flippant! « Je veux juste rentrer chez moi... » Ce mec range son revolver, cherche à me prendre dans ses bras : je me débats comme je peux (même si je meurs de froid). « Lâchez-moi, mais vous êtes fous ma parole, vous voulez tous me traumatiser ! » jusqu'à ce qu'il plonge son regard dans le mien, une telle flamme ne peut venir que d'un seul. « Lennon, fixe-moi. » « Jonathan... » Son prénom ronge mes entrailles, je ne l'avais même pas reconnu directement mais l'océan que je regarde a le don de me tranquilliser et ne donne plus un seul coup. Ses prunelles m'hypnotisent, je suis bercée par les vagues que je semble découvrir ou redécouvrir, comme une petite fille excitée à l'idée de partir en vacances à la mer puis d'être enfin à courir sur le sable. Nos jeux de regard sont inoubliables, ils durent toujours. Son visage bouffé par une tonne de poils piquants, je passe les doigts à travers et cette sensation me semble désagréable à souhait car jamais il n'avait arboré un style cromagnon lorsque nous étions ensemble. Ça y est, il réalise pourquoi je semblais si folle, amnésique, son apparence... Mon regard se porte ensuite sur sa gourmette au poignet : celle que je lui ai offerte. Ma main se loge derrière sa tête, lui caressant doucement les cheveux, lui faisant poser sur mon épaule, tandis que l'autre bras se chargeait de mieux le coller à moi, de sentir son torse musclé contre ma cage thoracique et d'avoir un contact avec le bas de son dos. Et puis je pleure, je craque. Je ne peux me retenir depuis tout ce temps, je me laisse aller à en avoir mal à la gorge. Heureuse de le retrouver mais humaine, je me sens soulagée et pathétique, peu en forme cependant et les sanglots m'empêchent de m'exprimer. Quelle chance de tomber sur lui après un long cauchemar ! Mon visage niché à son cou, je m'abandonne à tant d'émotions alors qu'il me passe sa veste sur les épaules, j'évacue tout ce que je peux et me sens terriblement faible. Ma fierté en prend pour son grade mais c'est lui, il est là enfin et ce n'est ni une illusion ni un rêve. J'ai beau ne pas aimer me montrer sous un tel jour, c'est mon futur époux et il me connaît. Je ne songe pas à l'idée qu'il ait pu me remplacer, ceci me semble tout bonnement impossible. Moi-même dans son cas, je me serais donné la mort par lâcheté en pensant que tout est terminé pour de bon, juste pour voir si je pourrais l'avoir ailleurs. « Il faut que je t'emmène à l’hôpital avant, bébé. » Je ne suis pas partante car je déteste les médecins, fronçant les sourcils plus qu'inquiète et sceptique à cette envie : ce qui m'importe est de me reposer dans un lit, un vrai, en sa compagnie. Je balbutie un « No... non. S'il te plaît, ça va passer ! » « Lennon, ce n'est pas négociable ! » Il le dit fermement, obstiné à l'idée de me faire passer des examens et un lavage d'estomac, je le sens et j'en ai peur. Je n'aime pas vraiment les médecins, je ne tombe miraculeusement peu souvent malade et je les évite au maximum. Enfin, mon addiction pour les saloperies est difficilement récupérable et à sentir son souffle alcoolisé, visiblement il n'a aucune morale à me faire. Il reste silencieux ensuite comprenant qu'il a gagné cette manche car je ne suis pas en état de contester sa décision, me porte, mes bras se resserrent autour de son cou fortement, sans l'étrangler non plus, et il oublie son métier pour la journée.
ET PUIS LA MAUVAISE SURPRISE DES PLUS INATTENDUES.


Dernière édition par A. Lennon-Rose Cooper le Jeu 21 Juil - 10:24, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: - KELLAN LUTZ • jonathan atwood   - KELLAN LUTZ • jonathan atwood EmptyJeu 21 Juil - 5:51

Coucou! Je réserve un petit carré pour mes exigences malgré que je n'ai pas encore fini le scénario et j'en suis désolée. Je demanderais principalement une excellente orthographe. Je fais environ de 600 à 1800 mots en rp (parfois plus) donc si possible : me suivre ou alors que je ne vous décourage pas, l'inspiration est souvent une garce. Pour les délais de réponse, je suis irrégulière donc en moyenne une fois par semaine (parfois deux) et je tiens à ce que vous en fassiez autant sauf absence signalée.

Merci de ne pas prendre ce scénario pour l’abandonner une semaine après, j’y tiens réellement. L’avatar peut être changé par : Cam Gigandet, Matt Lanter, Penn Badgley, Ed Westwick ou encore d'autres peut être Chace Crawford aussi bien que je l'ai réservé pour un autre scénario qui devrait débarquer dans le weekend...
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- KELLAN LUTZ • jonathan atwood

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